14/03/2007
Le tour de France des monuments (choix absolument arbitraire) : Noyal-Pontivy (56)
18:45 | Lien permanent | Commentaires (2)
09/03/2007
Épaves
2 helicopters
21:05 | Lien permanent | Commentaires (4)
Insolite (4)
19:45 | Lien permanent | Commentaires (2)
Le monôme des zombis
Ce sont les enfants du rock débile, les écoliers de la vulgarité pédagogique, les béats de Coluche et de Renaud, et somme toute, les produits de la culture Lang. Ils sont ivres d'une générosité au degré zéro, qui ressemble à de l'amour mais se retourne contre tout exemple ou projet d'ordre. L'ensemble des mesures que prend la société pour ne pas achever de se dissoudre : sélection, promotion de l'effort personnel et de la responsabilité individuelle, Code de la nationalité, lutte contre la drogue, etc., les hérisse. Ils ont peur de manquer de moeurs avachies. Voilà tout leur sentiment révolutionnaire. C'est une jeunesse atteinte d'un sida mental. Elle a perdu ses immunités naturelles; tous les virus décomposants l'atteignent.
Louis Pauwels
Editorial du Figaro magazine du 06/12/86.
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Potemkine
On imagine généralement que les dictatures, en l'absence de toute contradiction officielle, sont à défaut d’être humaines au moins efficaces dans le domaine des prises de décisions. C’est loin d'être exact, pour la simple raison que pour prendre les résolutions qui s’imposent, surtout en cas de crise grave, il faut avoir les données les plus exactes possibles, et dans les dictatures l’information ne remonte que sous des formes erronées destinées à complaire au despote et à ses sbires, sans compter l'ambiance inhibitrice de suspicion générale et l'incompétence d'individus qui se sont hissés à des postes essentiels plus par accointances ou zèle idéologique que réelles capacités. Le pouvoir se construit ainsi de jour en jour un monde fantasmé et paranoïaque coupé des réalités.
« Puisque que le peuple m’aime, ceux qui manifestent ne sont que des bandits : faites tirer dans le tas ! »
« J’ai apporté le bonheur à mon peuple malgré mes ennemis, ceux qui me haïssent ne méritent pas de vivre. »
« L’ennemi est à nos portes ? Que notre vaillante armée soit prête à mourir jusqu’au dernier homme pour protéger le pays et son leader ».
On a raillé les ordres impossibles à exécuter donnés par Adolf Hitler depuis son bunker les dernières semaines de la Seconde guerre mondiale, mais que savait-il vraiment de la situation du moment ? Après tout sur le papier une brigade est une brigade, les désertions, le morale, l’entraînement, le ravitaillement, l’effectif réel et toutes ces contingences sont affaires de subalternes. Par fanatisme, complaisance, peur ou refus de voir la réalité, ses courtisans et ses généraux l’avaient entretenu dans un univers chimérique où il croyait encore que les événements étaient soumis à sa volonté. De même, Ceausescu effaré de se voir accusé de crimes divers lors de sa parodie de procès ou Saddam Hussein persuadé que son armée allait repousser celle de la coalition étaient-ils, à leur manière, sincères.
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Le tour de France des monuments (choix absolument arbitraire) : Vienne
19:00 | Lien permanent | Commentaires (2)
05/03/2007
American dream
Rudy Sparkuhl
Facade
22:43 | Lien permanent | Commentaires (3)