23/10/2025
Musique (725)
Ancestors
Huun Huur Tu
20:41 | Lien permanent | Commentaires (23)
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

« Je plussoie (107) | Page d'accueil | Pépiements (448) »
Ancestors
Huun Huur Tu
20:41 | Lien permanent | Commentaires (23)
Commentaires
Eclairante récente contribution de l'excellent Aldo à la bonne humeur générale :
//
Au Royaume-Uni, il y a eu un vote suite au décès d'un élu Travailliste a Caerphilly. On s'attendait a la montée de Reform, mais la population a fait barrage a "la haine" et au "populisme". Résultat : c'est un parti centre-gauche qui l'emporte.
//
(vérification faite chez walesonline.co.uk)
Bref, foutriquet 2.0, merDz et tous les autres sont là pour l'éternité -- avant l'instauration de l'imminente et définitive tyrannie numérique, on aurait évoqué les fameux mille ans --, quoi qu'ils fassent contre des troupeaux de [autocensuré] désireux d'aller joyeusement à la mort -- la leur, pas celle de leurs bourreaux.
Écrit par : br | 25/10/2025
J'ai longtemps pensé que la freudienne pulsion de mort était une invention ; j'avais apparemment tort, comme le démontre cette nouvelle contribution d'Aldo à l'universelle allégresse :
//
Après des années de colère, d'immigration incontrôlée, de criminalité, de répression policière, de délits d'opinion et de crise économique, les Irlandais élisent une extrême gauche pour présider leur pays...
//
Pas eu le courage de vérifier. :-(
On a beau savoir depuis longtemps que les masses sont faites de krons, on a beau savoir que les propos de Mencken sur le bétail électoral sont -- malgré les apparences -- d'une indulgence et d'un humanitarisme excessifs, c'est quand même fort.
Sandrine, HidalgogolE, Ersilia : présentez-vous ensemble à la prochaine présidentielle. En tant que triumkronnat, vous avez toutes vos chances.
Écrit par : br | 26/10/2025
https://youtu.be/B0Fq_22cfFA
Écrit par : EQUALIZER | 26/10/2025
Vieux conseil : si tu ne peux parler, alors chante. La Mite doit, comme tout le monde, être très las, de céder à ce qui est, pour lui, de la facilité :
https://www.youtube.com/watch?v=xnsLtWf29zw
Écrit par : br | 26/10/2025
br > Une fois domestiqués les animaux ne quittent plus leur maître même si celui-ci les bat.
J'aime bien le côté chansonnier de la Mite.
EQUALIZER > Très différent du morceau que j'ai mis dans le billet, mais sympa.
Écrit par : Pharamond | 27/10/2025
Pour reprendre la définition de saint Littré, on sait le panégyrique un discours public ordinairement à la louange, parfois fielleuse, d'un individu. Son auteur était soit un admirateur plus ou moins sincère, soit l'intéressé[1] --pour d'assez évidentes raisons.
En ces temps de nouveautés hardies, on a maintenant le panégyrique rédigé par littératron amélioré prétendu "intelligent", comme ici :
https://nicolasbonnal.wordpress.com/2025/10/27/on-ferme-on-va-voir-le-ciel/#comments
C'est... édifiant.
[1] Avant Cécile Guilbert célébrant le chef des situs pour obtenir les bonnes grâces d'un pape de l'édition feignant le dissident seul contre tous -- faut oser --, Debord a ainsi rédigé son *Panégyrique* n'ayant, heureusement, rien à avoir avec ce *Roland Barthes par Roland Barthes* qui avait suscité l'ironie dévastatrice du regretté René Pommier.
Écrit par : br | 28/10/2025
br > Ce qu'on soumet à ChatGPT est toujours vu de façon très favorable, il a été programmé pour et l'avoue quand on le lui demande.
Écrit par : Pharamond | 28/10/2025
@Pharamond : Je n'ai donc plus qu'à interroger ce ChatGPT pour lire enfin un éloge, hélas mensonger !, de Blumroch. ;-)
Écrit par : br | 28/10/2025
br > Il faudrait que ChatGPT trouve ton œuvre sur le net.
Écrit par : Pharamond | 28/10/2025
@Pharamond : L'automate pourra explorer les archives d'un excellent blog pour happy few, placé sous les signes de la diététique et de la polémologie. ;-)
Écrit par : br | 28/10/2025
@Pharamond : Incidemment, toujours aussi plaisante et un peu déprimante, ta Galerie des Beautés[1] occidentales bientôt disparues... La modernitude ne laissera, elle, d'hommages qu'à la laideur et à la kronnerie.
[1] "Schönheitengalerie", en langue bochienne.
Écrit par : br | 28/10/2025
br > C'est beaucoup lui demander.
Merci. Les couchers de soleil et les automnes sont beaux et tristes peut-être parce qu'ils marquent la fin de quelque chose auquel nous étions attachés.
Écrit par : Pharamond | 28/10/2025
Tatiana V. aurait-elle adhéré à l'Ahnenerbe ?
https://youtu.be/0qr21gtwmZc
Ce n'est pas la pire des vidéos consacrées à l'opération de réappropriation eurolumpenprolétarienne menée par des importés.
Écrit par : br | 30/10/2025
br > Ceux qui viennent de la gauche et qui sont sincères ont souvent des idées mal pensantes décomplexés par leur passé dans le camp d'en face.
Écrit par : Pharamond | 30/10/2025
De nombreuses lectures et une petite aptitude au sophisme permettent aux mauvais esprits, surtout taquins, de soutenir des thèses paradoxales qui ne sont ni vraies ni fausses.
On sera donc peut-être étonné d'apprendre la sainte Antiquité aussi hostile à l'individu que l'est la maudite modernitude. Les manifestations du capitalisme néo-féodal, désireux de nous asservir corps et âme ("Vous n'aurez rien, comme vous ne serez rien : de simples ressources à notre disposition et dont nous disposerons à notre fantaisie"), ne sont pas si originales que ne le prétendent ses propagandistes incultes autant que stupides. La nécessaire, épuisante et désespérée lutte que l'âme libre doit mener contre la tyrannie étatique, assistée ou non par l'informatique, est de toutes les époques et de tous les pays, comme en témoigne ici un très grand historien qu'on reconnaîtra aisément :
//
La cité avait été fondée sur une religion et constituée comme une Église. De là sa force; de là aussi son omnipotence et l'empire absolu qu'elle exerçait sur ses membres. Dans une société établie sur de tels principes, la liberté individuelle ne pouvait pas exister. Le citoyen était soumis en toutes choses et sans nulle réserve à la cité; il lui appartenait tout entier. La religion qui avait enfanté l'État, et l'État qui entretenait la religion, se soutenaient l'un l'autre et ne faisaient qu'un; ces deux puissances associées et confondues formaient une puissance presque surhumaine à laquelle l'âme et le corps étaient également asservis.
Il n'y avait rien dans l'homme qui fût indépendant. Son corps appartenait à l'État et était voué à sa défense; à Rome, le service militaire était dû jusqu'à cinquante ans, à Athènes jusqu'à soixante, à Sparte toujours. Sa fortune était toujours à la disposition de l'État; si la cité avait besoin d'argent, elle pouvait ordonner aux femmes de lui livrer leurs bijoux, aux créanciers de lui abandonner leurs créances, aux possesseurs d'oliviers de lui céder gratuitement l'huile qu'ils avaient fabriquée.
La vie privée n'échappait pas à cette omnipotence de l'État. La loi athénienne, au nom de la religion, défendait à l'homme de rester célibataire. Sparte punissait non-seulement celui qui ne se mariait pas, mais même celui qui se mariait tard. L'État pouvait prescrire à Athènes le travail, à Sparte l'oisiveté. Il exerçait sa tyrannie jusque dans les plus petites choses; à Locres, la loi défendait aux hommes de boire du vin pur; à Rome, à Milet, à Marseille, elle le défendait aux femmes. Il était ordinaire que le costume fût fixé invariablement par les lois de chaque cité; la législation de Sparte réglait la coiffure des femmes, et celle d'Athènes leur interdisait d'emporter en voyage plus de trois robes. A Rhodes et à Byzance, la loi défendait de se raser la barbe.
L'État avait le droit de ne pas tolérer que ses citoyens fussent difformes ou contrefaits. En conséquence il ordonnait au père à qui naissait un tel enfant, de le faire mourir. Cette loi se trouvait dans les anciens codes de Sparte et de Rome. Nous ne savons pas si elle existait à Athènes; nous savons seulement qu'Aristote et Platon l'inscrivirent dans leurs législations idéales.
Il y a dans l'histoire de Sparte un trait que Plutarque et Rousseau admiraient fort. Sparte venait d'éprouver une défaite à Leuctres et beaucoup de ses citoyens avaient péri. A cette nouvelle, les parents des morts durent se montrer en public avec un visage gai. La mère qui savait que son fils avait échappé au désastre et qu'elle allait le revoir, montrait de l'affliction et pleurait. Celle qui savait qu'elle ne reverrait plus son fils, témoignait de la joie et parcourait les temples en remerciant les dieux. Quelle était donc la puissance de l'État, qui ordonnait le renversement des sentiments naturels et qui était obéi!
L'État n'admettait pas qu'un homme fût indifférent à ses intérêts; le philosophe, l'homme d'étude n'avait pas le droit de vivre à part. C'était une obligation qu'il votât dans l'assemblée et qu'il fût magistrat à son tour. Dans un temps où les discordes étaient fréquentes, la loi athénienne ne permettait pas au citoyen de rester neutre; il devait combattre avec l'un ou avec l'autre parti; contre celui qui voulait demeurer à l'écart des factions et se montrer calme, la loi prononçait la peine de l'exil avec confiscation des biens.
Il s'en fallait de beaucoup que l'éducation fût libre chez les Grecs. Il n'y avait rien, au contraire, où l'État tînt davantage à être maître. A Sparte, le père n'avait aucun droit sur l'éducation de son enfant. La loi paraît avoir été moins rigoureuse à Athènes; encore la cité faisait-elle en sorte que l'éducation fût commune sous des maîtres choisis par elle. Aristophane, dans un passage éloquent, nous montre les enfants d'Athènes se rendant à leur école; en ordre, distribués par quartiers, ils marchent en rangs serrés, par la pluie, par la neige ou au grand soleil; ces enfants semblent déjà comprendre que c'est un devoir civique qu'ils remplissent. L'État voulait diriger seul l'éducation, et Platon dit le motif de cette exigence: « Les parents ne doivent pas être libres d'envoyer ou de ne pas envoyer leurs enfants chez les maîtres que la cité a choisis; car les enfants sont moins à leurs parents qu'à la cité. » L'État considérait le corps et l'âme de chaque citoyen comme lui appartenant; aussi voulait-il façonner ce corps et cette âme de manière à en tirer le meilleur parti. Il lui enseignait la gymnastique, parce que le corps de l'homme était une arme pour la cité, et qu'il fallait que cette arme fût aussi forte et aussi maniable que possible. Il lui enseignait aussi les chants religieux, les hymnes, les danses sacrées, parce que cette connaissance était nécessaire à la bonne exécution des sacrifices et des fêtes de la cité.
On reconnaissait à l'État le droit d'empêcher qu'il y eût un enseignement libre à côté du sien. Athènes fit un jour une loi qui défendait d'instruire les jeunes gens sans une autorisation des magistrats, et une autre qui interdisait spécialement d'enseigner la philosophie.
L'homme n'avait pas le choix de ses croyances. Il devait croire et se soumettre à la religion de la cité. On pouvait haïr ou mépriser les dieux de la cité voisine; quant aux divinités d'un caractère général et universel, comme Jupiter Céleste ou Cybèle ou Junon, on était libre d'y croire ou de n'y pas croire. Mais il ne fallait pas qu'on s'avisât de douter d'Athéné Poliade ou d'Érechthée ou de Cécrops. Il y aurait eu là une grande impiété qui eût porté atteinte à la religion et à l'État en même temps, et que l'État eût sévèrement punie. Socrate fut mis à mort pour ce crime. La liberté de penser à l'égard de la religion de la cité était absolument inconnue chez les anciens. Il fallait se conformer à toutes les règles du culte, figurer dans toutes les processions, prendre part au repas sacré. La législation athénienne prononçait une peine contre ceux qui s'abstenaient de célébrer religieusement une fête nationale.
Les anciens ne connaissaient donc ni la liberté de la vie privée, ni la liberté d'éducation, ni la liberté religieuse. La personne humaine comptait pour bien peu de chose vis-à-vis de cette autorité sainte et presque divine qu'on appelait la patrie ou l'État. L'État n'avait pas seulement, comme dans nos sociétés modernes, un droit de justice à l'égard des citoyens. Il pouvait frapper sans qu'on fût coupable et par cela seul que son intérêt était en jeu. Aristide assurément n'avait commis aucun crime et n'en était même pas soupçonné; mais la cité avait le droit de le chasser de son territoire par ce seul motif qu'Aristide avait acquis par ses vertus trop d'influence et qu'il pouvait devenir dangereux, s'il le voulait. On appelait cela l'ostracisme; cette institution n'était pas particulière à Athènes; on la trouve à Argos, à Mégare, à Syracuse, et nous pouvons croire qu'elle existait dans toutes les cités grecques. Or l'ostracisme n'était pas un châtiment; c'était une précaution que la cité prenait contre un citoyen qu'elle soupçonnait de pouvoir la gêner un jour. A Athènes on pouvait mettre un homme en accusation et le condamner pour incivisme, c'est-à-dire pour défaut d'affection envers l'État. La vie de l'homme n'était garantie par rien dès qu'il s'agissait de l'intérêt de la cité. Rome fit une loi par laquelle il était permis de tuer tout homme qui aurait l'intention de devenir roi. La funeste maxime que le salut de l'État est la loi suprême, a été formulée par l'antiquité. On pensait que le droit, la justice, la morale, tout devait céder devant l'intérêt de la patrie.
C'est donc une erreur singulière entre toutes les erreurs humaines que d'avoir cru que dans les cités anciennes l'homme jouissait de la liberté. Il n'en avait pas même l'idée. Il ne croyait pas qu'il pût exister de droit vis-à-vis de la cité et de ses dieux. Nous verrons bientôt que le gouvernement a plusieurs fois changé de forme; mais la nature de l'État est restée à peu près la même, et son omnipotence n'a guère été diminuée. Le gouvernement s'appela tour à tour monarchie, aristocratie, démocratie; mais aucune de ces révolutions ne donna aux hommes la vraie liberté, la liberté individuelle. Avoir des droits politiques, voter, nommer des magistrats, pouvoir être archonte, voilà ce qu'on appelait la liberté; mais l'homme n'en était pas moins asservi à l'État. Les anciens, et surtout les Grecs, s'exagérèrent toujours l'importance et les droits de la société; cela tient sans doute au caractère sacré et religieux que la société avait revêtu à l'origine.
//
Les ravages de la nouvelle religion tarécologique, sotte autant que criminelle, seront "intéressants" à observer, pour les ceusses ayant l'infortune d'être aux premières... loges.
On pourrait s'amuser à évoquer aussi la vraie figure du tyran, mais à quoi bon ? On s'en tiendra à cette anecdote instructive :
//
Un tyran de Corinthe demandait un jour à un tyran de Milet des conseils sur le gouvernement. Celui-ci, pour toute réponse, coupa les épis de blé qui dépassaient les autres.
//
Écrit par : br | 31/10/2025
br > Google m'apprend qu'il s'agit de Fustel de Coulanges.
La notion de liberté était autre à l'époque, les Grecs par exemple ne voulaient pas tomber sous le joug d'une autre cité ou des Perses et estimaient conserver ainsi leur liberté.
Enfin la gouvernance actuelle a ceci d'inédit qu'elle n'est ni de gauche ni de droite, ni capitaliste, ni socialiste, un peu de tout en même temps, et pour finir, enrobée d'une forme de religiosité.
Écrit par : Pharamond | 31/10/2025
@Pharamond : Trop facile... ;-)
Quand un groupe, quelle que soit sa taille, s'arroge tous les droits sur chaque individu, c'est un signal de départ.
La dictature qui vient sur ses pattes de colombe jadis, d'éléphant aujourd'hui, est collectiviste, qui englobe toutes les variétés -- comme pour les lessives : bien des marques, une seul produit.
Écrit par : br | 01/11/2025
La Mite fabuliste :
https://www.youtube.com/watch?v=EMuJmb9zNew
Manifestement, personne ne veut comprendre que foutriquet 2.0 se moque de son impopularité, qui doit au contraire lui procurer des extases malsaines. "Qu'ils me haïssent pourvu qu'ils nous obéissent, à mes milichiens, à mes complices Compagnons de la Gamelle, à mes maîtres de la Phynance et surtout à moi, dont la personne est bien sacrée puisqu'ils n'osent toujours pas y attenter, se gardant bien de venir me chercher".
J'attends avec impatience les prochains mauvais coups du régime contre les populations, qui en appelleront alors, comme le souhaite un Cassen délirant, au triumkronnat BZ2V (l'animal avance sans rire que les vedettes de la réacosphère sont à la *hauteur* des *médiocrités* macronistes, sans prendre la mesure de son aveu).
Écrit par : br | 02/11/2025
br > S'il continue Brigitte va lui faire un procès.
Je ne pense pas que ce soit le cas. Premièrement, les dirigeants occidentaux sont mis en place par le Système pour liquider les nations, mais ils doivent exécuter leur tâche avec le minimum de remous ce que Macron ne réussit visiblement pas, ce qui mécontente ses maîtres. Deuxièmement, c'est un mégalomane persuadé d'être plus intelligent que tous le monde et son taux de popularité actuel lui prouve qu'il n'est pas parvenu à embobiner la population, ce qui est une source de vexation pour lui.
Écrit par : Pharamond | 02/11/2025
@Pharamond : Ouais. Il continue à faire ce qu'il veut sans la moindre opposition, sinon quelques articles et déclarations au caractère inoffensif (Minc a-t-il présenté des excuses pour avoir contribué à le lancer ? Non.) ; ce qui ne lui interdit pas de continuer à nuire ouvertement ou sournoisement, seul ou avec deux autres tarés comparables, sturmer et merdz, qui agissent de même, quand ils sont pourtant eux aussi censés être assez impopulaires. Les mauvais sondages n'incitent pas les salauds à la prudence, parce qu'ils savent pouvoir compter sur leurs appuis. Ils peuvent *tout* se permettre. Les maîtres de foutriquet 2.0 s'irritent peut-être *un peu* des libertés et initiatives que prend leur créature, ils ne font rien pour y mettre un terme, ce qui serait pourtant très facile : faut croire qu'il suit le plan, comme le démontre la fin prochaine du Gau Fwansse.
Il se contrefiche de l'avis d'une population qu'il méprise, déteste et dont il organise ouvertement la disparition -- il rêve certainement à la future saint-Barthélémy version envahisseurs. Plus il est haï -- ce qui reste d'ailleurs à démontrer --, plus il est heureux d'être ainsi confirmé dans le sentiment qu'il a d'être seul à avoir raison contre tous et, justement, de valoir plus qu'un troupeau qu'il n'a jamais cherché à séduire ou à se gagner -- ce qui ne lui servirait à rien. Sous les huées, il n'est pas contrarité : il *jubile*.
Écrit par : br | 02/11/2025
br > Je n'ai pas dit que cela l'empêchait de faire ce qu'il a à faire, mais comme tout pervers il aurait aimé être apprécié malgré tout, ultime manipulation qui aurait prouvé son intelligence. Malheureusement pour lui c'est loin d'être le cas. Le Système le soutiendra car elle ne veut pas de précédent avec un de ces poulains qui démissionne en cours de mandat, mais l'homme est grillé et ne servira plus à des postes importants ultérieurement. Il sent tellement mauvais que ceux qui veulent continuer en politique prennent leurs distances.
Écrit par : Pharamond | 03/11/2025
@Pharamond : Euroführer de l'Euroreich suffira sans doute à ses ambitions, s'il ne nous précipite pas d'abord dans une guerre (relire le classique de Gaxotte : y'a des parallèles étonnants).
Vieille fable de l'animal qui feint d'être mortellement atteint pour faire le tri entre ses crétins fidèles et ses courtisans opportunistes. Tout ce que je vois, c'est que ce [autocensuré], cet [autocensuré], cette [autocensuré] est bien parti pour remettre la muselière à une population qui, ne pensant rien, n'a rien à dire, et ne verra donc aucun inconvénient au Grand Silence.
Et sinon, foutriquet 2.0 laissera temporairement la place à un autre foutriquet portant la marque du R.u.N. : comme lui contrôlé par une vieille blonde, comme lui russophobe, comme lui inculte, comme lui sans personnalité, comme lui probablement malsain, et comme lui favorable à l’u.e., à l’o.t.a.n., au dolleuro ainsi qu’à l’ucraine.
Bétail de poissons rouges.
Écrit par : br | 03/11/2025
br > C'est prêter un esprit bien sophistiqué à Macron. Il est médiocre comme la grande majorité de la classe politique et il ne doit son pouvoir de nuisance qu'à la toute puissance du Système qui a infiltré tout les rouages de la société qui lui a signé un chèque en blanc en échange de quelques acquis sociaux qu'il est en train de lui reprendre et de quelques gadgets qu'elle ne pourra bientôt plus se payer.
Écrit par : Pharamond | 03/11/2025
Écrire un commentaire