07/11/2024
Pépiements (290)
Je ne pense pas être misogyne mais je constate : qui embrassaient les GI sans pudeur ni retenue à la Libération, qui faisaient des crises d'hystérie aux concerts des Beatles, qui exhibent leurs pleurnicheries sur les réseaux sociaux à l'annonce de l'élection de Trump ?
19:53 | Lien permanent | Commentaires (12)
Commentaires
@Pharamond : Tu es injuste. Dans les vidéos d'hystériques déplorant l'élection de Trump, y'a *aussi* d'assez évidentes fausses femmes. ;-)
Jolie facétie de Gabriela Manzoni, récemment : "Je suis misogyne à cause de ma mère".
Écrit par : BR | 07/11/2024
BR > Gabriela Manzoni est-elle réellement une femme ?
Écrit par : Pharamond | 07/11/2024
@Pharamond : C'était la légende d'une image détournée représentant une tête masculine. Yep, Manzoni est bien une femme qui a écrit un roman pour lectrices modernes d'une platitude étonnante, en plus d'être fait de tous les poncifs de la presse des pouffs de ce temps.
Écrit par : BR | 07/11/2024
Edit/fix pour le principe : trahi par ma mémoire. La légende est : "Je suis devenu misogyne parce que ma mère ne m'a pas laissé le choix."
Manzoni ne brille que par phrase. Dès qu'elle s'essaie au paragraphe, c'est nettement moins bien.
Salut aux Kameraden, bon courage.
Écrit par : br | 07/11/2024
BR > C'est effectivement plus amusant avec cette légende ;-)
J'ignorais la dame, puisque c'en est une, (mauvaise) romancière.
Écrit par : Pharamond | 08/11/2024
Cet échange sur Manzoni me fait penser à cet aphorisme du grand chauve disant à peu près ceci:
La femme est incapable de création, elle n'est bonne que dans la reproduction.
Manzoni n'échappe pas à cette loi avec son roman raté et ses détournements réussis.
Écrit par : Sven | 09/11/2024
@Sven : Rapporté par Boswell[0], ce jugement de Samuel Johnson ici *légèrement* modernisé :
"Sir, a woman's writing[1] is like a dog[2]'s walking on his hind legs. It is not done well; but you are surprised to find it done at all."
[0] On cherchera le texte original dans cette page :
https://www.gutenberg.org/cache/epub/8918/pg8918-images.html
[1] "Thinking" était envisageable, dans l'esprit de cet oxymore : "femme et qui pense" (yep, y'a aussi "macroniste et qui pense"). Evidemment, les dames d'élite -- elles existent, ont toujours existé, mais n'existeront sans doute plus -- ne sont pas concernées. On a observé que la proportion d'abrutis était la même dans tous les groupes -- masculins, féminins ou autres.
[2] Autre variante : Duconno, nom d'une race de roquets proches du clébard de Combaz en ce qu'ils croient au petit cirque de l'autre se prenant pour Balzac -- ambition excessive.
Écrit par : br | 09/11/2024
@BR
Si vous insistez j'insisterais aussi et ce ne sera pas forcément a votre avantage.
L'érudition, aussi estimable soit-elle est sans rapport avec l'intelligence ou la sagesse (Pauwells n'a jamais été foutu d'entrer a Mensa bien qu'il ait essayé plusieurs fois)
Les insultes "bas de gamme" ne sont pas non plus des arguments convaincants et donnent une piètre idée de leur auteur.
Écrit par : realist | 09/11/2024
Sven > C'est cruel. je crois tout simplement que les hommes et les femmes sont animés par des pulsions différentes et que cela changent énormément de choses.
Écrit par : Pharamond | 10/11/2024
@ br
Le COVID a été un révélateur impitoyable.
A force d'infantiliser la population, on a une population se sales gamms capricieux.
Écrit par : Sven | 10/11/2024
@ Pharamond
Toutes les études biologiques (activation d'aires différentes du cerveau pour une même activité) et comportementales l'ont mis en évidence.
L'égalité a du plomb dans l'aile
Écrit par : Sven | 10/11/2024
Sven > Si de plus j'ai ta caution scientifique ;-)
Écrit par : Pharamond | 10/11/2024
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