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12/08/2024

Musique (690)

Work

Charlotte Day Wilson

 

Commentaires

Et ça, qu'en dites vous?
https://www.youtube.com/watch?v=Z6Og5aECH3Y

Écrit par : realist | 12/08/2024

realist > C'est très différent... et un peu facile de sortir les classiques.

Écrit par : Pharamond | 12/08/2024

Dans *En relisant, en n'écrivant pas* (à paraître dans un univers alternatif), Roulio Gracque consacrera sans doute quelques lignes à ces deux ouvrages instructifs : *Comment se défendre* de Georges Dubois et les *Lois psychologiques de l'évolution des peuples* de l'autre grand Gustave (on trouvera le premier chez Gallica, le second chez Les classiques des sciences sociales si l'on n'a pas l'édition des Amis de Gustave Le Bon). Par avance, quelques extraits qui se passent de tout commentaire et de toute paraphrase -- on verra aisément pourquoi.

Dubois :
//
De tous les dangers, quels qu'ils soient, le plus grand est le manque de sang-froid et de courage.
//

Le Meilleur :
// pp. 24 et 25
Même dans les époques les plus troublées, produisant les plus étranges changements de personnalités, on retrouve aisément sous des formes nouvelles les caractères fondamentaux de la race. Le régime centralisateur, autoritaire et despotique de nos rigides jacobins fut-il bien différent, en réalité, du régime centralisateur, autoritaire et despotique que quinze siècles de monarchie avaient profondément enraciné dans les âmes ? Derrière toutes les révolutions des peuples latins, il reparaît toujours, cet obstiné régime, cet incurable besoin d'être gouverné, parce qu'il représente une sorte de synthèse des instincts de leur race. Ce ne fut pas seulement par l'auréole de ses victoires que Bonaparte devint maître. Quand il transforma la république en dictature, les instincts héréditaires de la race se manifestaient chaque jour avec plus d'intensité ; et, à défaut d'un officier de génie, un aventurier quelconque eût suffi. Cinquante ans plus tard l'héritier de son nom n'eut qu'à se montrer pour rallier les suffrages de tout un peuple fatigué de liberté et avide de servitude. Ce n'est pas Brumaire qui fit Napoléon, mais l'âme de sa race qu'il allait courber sous son talon de fer [1].

[Note 1] A son premier geste, écrit Taine, les Français se sont prosternés dans l'obéissance, et ils y persistent comme dans leur condition naturelle, les petits : paysans et soldats, avec une fidélité animale ; les grands : dignitaires et fonctionnaires, avec une servilité byzantine. — De la part des républicains, nulle résistance ; au contraire, c'est parmi eux qu'il a trouvé ses meilleurs instruments de règne, sénateurs, députés, conseillers d'Etat, juges, administrateurs de tout degré. Tout de suite, sous leurs prêches de liberté et d'égalité, il a démêlé leurs instincts autoritaires, leur besoin de commander, de primer, même en sous-ordre, et, par surcroît, chez la plupart d'entre eux, les appétits d'argent ou de jouissance. Entre le délégué du Comité de Salut Public et le ministre, le préfet ou sous-préfet de l'Empire, la différence est petite ; c'est le même homme sous deux costumes, d'abord en carmagnole, puis en habit brodé.

// pp. 31 et 32
L'influence du caractère est souveraine dans la vie des peuples, alors que celle de l'intelligence est véritablement bien faible. Les Romains de la décadence avaient une intelligence autrement raffinée que celle de leurs rudes ancêtres, mais ils avaient perdu les qualités de caractère : la persévérance, l'énergie, l'invincible ténacité, l'aptitude à se sacrifier pour un idéal, l'inviolable respect des lois, qui avaient fait la grandeur de leurs aïeux. C'est par le caractère que 60,000 Anglais tiennent sous le joug 250 millions d'Hindous, dont beaucoup sont au moins leurs égaux par l'intelligence, et dont quelques-uns les dépassent immensément par les goûts artistiques et la profondeur des vues philosophiques. C'est par le caractère qu'ils sont à la tête du plus gigantesque empire colonial qu'ait connu l'histoire. C'est sur le caractère et non sur l'intelligence que se fondent les sociétés, les religions et les empires. Le caractère, c'est ce qui permet aux peuples de sentir et d'agir. Ils n'ont jamais beaucoup gagné à vouloir trop raisonner et trop penser.

// p. 37
«Si la France, comme le dit justement Saint-Simon, perdait subitement ses cinquante premiers savants, ses cinquante premiers artistes, ses cinquante premiers fabricants, ses cinquante premiers cultivateurs, la nation deviendrait un corps sans âme, elle serait décapitée. Si elle venait au contraire à perdre tout son personnel officiel, cet événement affligerait les Français parce qu'ils sont bons, mais il n'en résulterait pour le pays qu'un faible dommage.»
[...]
C'est une erreur spéciale aux peuples latins de croire qu'il y ait parallélisme entre l'instruction et l'intelligence. L'instruction implique uniquement la possession d'une certaine dose de mémoire, mais ne nécessite pour être acquise aucune qualité de jugement, de réflexion, d'initiative ni d'esprit d'invention. On rencontre très fréquemment des individus abondamment pourvus de diplômes quoique très bornés, mais on rencontre, aussi fréquemment, des individus fort peu instruits et possédant pourtant une intelligence élevée.

// p. 38
Lorsque le socialisme s'étendra en maître sur l'Europe, sa seule chance d'exister quelque temps sera de faire périr, jusqu'au dernier, tous les individus possédant une supériorité capable de les élever, si faiblement que ce soit, au-dessus de la plus humble moyenne.

// p. 46
A part de rares exceptions, tous les grands empires réunissant des peuples dissemblables ne peuvent être créés que par la force et sont condamnés à périr par la violence. Pour qu'une nation puisse se former et durer il faut qu'elle se soit constituée lentement, par le mélange graduel de races peu différentes, croisées constamment entre elles, vivant sur le même sol, subissant l'action des mêmes milieux, ayant les mêmes institutions et les mêmes croyances.

// p. 64
Pénétrer dans la pensée d'individus avec lesquels nous vivons, mais dont certaines différences d'âge, de sexe, d'éducation nous séparent, est déjà fort difficile ; pénétrer dans la pensée de races sur lesquelles s'est appesantie la poussière des siècles est une tâche qu'il ne sera jamais donné à aucun savant d'accomplir. Toute la science qu'on peut acquérir ne sert qu'à montrer la complète inutilité de telles tentatives.

// p. 84
Prenons d'abord la France, c'est-à-dire un des pays du monde qui ont été soumis aux bouleversements les plus profonds, où, en peu d'années, les institutions politiques semblent avoir le plus radicalement changé, où les partis semblent le plus divergents. Si nous envisageons, au point de vue psychologique, ces opinions si dissemblables en apparence, ces partis sans cesse en lutte, nous constaterons qu'ils ont en réalité un fond commun parfaitement identique qui représente exactement l'idéal de notre race. Intransigeants, radicaux, monarchistes, socialistes, en un mot tous les défenseurs des doctrines les plus diverses, poursuivent avec des étiquettes dissemblables un but parfaitement identique : l'absorption de l'individu par l'État. Ce que tous veulent avec la même ardeur, c'est le vieux régime centralisateur et césarien, l'État dirigeant tout, réglant tout, absorbant tout, réglementant les moindres détails de la vie des citoyens, et les dispensant ainsi d'avoir à manifester aucune lueur de réflexion et d'initiative. Que le pouvoir placé à la tête de l'État s'appelle roi, empereur, président, etc., il n'importe, ce pouvoir, quel qu'il soit, aura forcément le même idéal, et cet idéal est l'expression même des sentiments de l'âme de la race. Elle n'en tolérerait pas d'autre.

// p. 85
[...] les peuples latins se soucient fort peu de liberté et beaucoup d'égalité, supportent aisément tous les despotismes, à la seule condition que ces despotismes soient impersonnels. Peut-être encore trouveraient-ils [Louis XIII et Louis XIV] bien excessifs et bien tyranniques les règlements innombrables, les mille liens qui entourent aujourd'hui le moindre des actes de la vie, et feraient-ils remarquer que quand l'État aura tout absorbé, tout réglementé, dépouillé les citoyens de toute initiative, nous nous trouverons spontanément, et sans aucune révolution nouvelle, en plein socialisme.

// p. 89, citant le sociologue Herbert Spencer :
«Ma foi dans les institutions libres, si forte à l'origine, s'est vue dans ces dernières années considérablement diminuée... Nous reculons vers le régime de la main de fer représenté par le despotisme bureaucratique d'une organisation socialiste, puis par le despotisme militaire qui lui succédera si toutefois ce dernier ne nous est pas brusquement apporté par quelque krach social.»

// p. 93
[Note 2] L'Amérique que je viens de décrire est celle d'hier et d'aujourd'hui, mais ce ne sera sans doute pas cette de demain. Nous verrons dans un prochain chapitre que par suite de l'invasion récente don nombre immense d'éléments inférieurs non assimilables, elle est menacée d'une guerre civile gigantesque et d'une séparation en plusieurs Etats indépendants toujours en lutte comme ceux de l'Europe.

// p. 97
[...] les peuples qui ont conservé leur unité et leur force, comme jadis les Aryens dans l'Inde, et, de nos jours, les Anglais dans leurs diverses colonies, sont ceux qui ont toujours évité soigneusement de se mêler à des étrangers. La présence d'étrangers, même en petit nombre, suffit à altérer l'âme d'un peuple. Elle lui fait perdre son aptitude à défendre les caractères de sa race, les monuments de son histoire, les œuvres de ses aïeux.

// p.100
C'est, aujourd'hui, vers les États-Unis d'Amérique que se dirigent comme d'un commun accord ces nouveaux Barbares, et c'est par eux que la civilisation de cette grande nation est sérieusement menacée. Tant que l'immigration étrangère a été rare, et composée surtout d'éléments anglais, l'absorption a été facile et utile. Elle a fait l'étonnante grandeur de l'Amérique. Aujourd'hui les États-Unis sont soumis à une gigantesque invasion d'éléments inférieurs qu'ils ne veulent ni ne peuvent s'assimiler. Entre 1880 et 1890 ils ont reçu près de 6 millions d'émigrants, presque exclusivement composés de travailleurs médiocres de toutes origines. Actuellement sur 1,100,000 habitants, Chicago ne compte pas un quart d'Américains. Cette ville renferme 400,000 Allemands, 220,000 Irlandais, 50,000 Polonais, 55,000 Tchèques, etc. Aucune fusion n'existe entre ces émigrants et les Américains. Ils ne se donnent même pas la peine d'apprendre la langue de leur nouvelle patrie et y forment de simples colonies occupées à des travaux mal rétribués. Ce sont des mécontents, et par conséquent des ennemis.

// p. 102
C'est un instinct très sûr que celui qui enseignait aux peuples anciens à redouter les étrangers ; ils savaient bien que la valeur d'un pays ne se mesure pas au nombre de ses habitants, mais à celui de ses citoyens

// p. 109
En religion comme en politique le succès est toujours aux croyants, jamais aux sceptiques, et si aujourd'hui l'avenir semble appartenir aux socialistes, malgré l'inquiétante absurdité de leurs dogmes, c'est qu'il n'y à plus qu'eux qui soient réellement convaincus, les classes dirigeantes modernes ont perdu la foi en toutes choses. Elles ne croient plus à rien, pas même à la possibilité de se défendre contre le flot menaçant des barbares qui les entourent de toutes parts.

// p. 111
L'esprit critique constituant une faculté supérieure fort rare, alors que l'esprit d'imitation représente une faculté infiniment répandue, l'immense majorité des cerveaux accepte sans discussion les idées toutes faites que lui fournit l'opinion et que l'éducation lui transmet.

// p. 112
Dans les civilisations modernes, les vieilles idées qui servaient de base à la coutume et à l'opinion étant presque détruites, leur empire sur les âmes est devenu très faible. Elles sont entrées dans cette phase d'usure durant laquelle les idées anciennes passent à l'état de préjugé. Tant qu'elles ne sont pas remplacées par une idée nouvelle, l'anarchie règne dans les esprits. Ce n'est que grâce à cette anarchie que la discussion peut être tolérée. Écrivains, penseurs et philosophes doivent bénir l'âge actuel et se hâter d'en profiter, car ils ne le reverront plus. C'est un âge de décadence peut-être, mais c'est un des rares moments de l'histoire du monde où l'expression de la pensée est libre. Il ne saurait durer. Avec les conditions actuelles de la civilisation les peuples européens marchent vers un état social qui ne tolérera ni discussion ni liberté. Les dogmes nouveaux qui vont naître ne sauraient s'établir, en effet, qu'à la condition de n'accepter de discussions d'aucune sorte et d'être aussi intolérants que ceux qui les ont précédés.

// p. 113
Sans doute, il n'est pas besoin d'être un grand psychologue, ni un grand économiste, pour prédire que l'application des idées socialistes actuelles conduira les peuples qui les adopteront à un état d'abjecte décadence et de honteux despotisme : mais comment empêcher les peuples qu'elles séduisent d'accepter l'évangile nouveau lui leur est prêché ?

// p. 114
Il n'est pas donné aux hommes d'arrêter la marche des idées lorsqu'elles ont pénétré dans les âmes. Il faut alors que leur évolution s'accomplisse et elles ont le plus souvent pour défenseurs ceux-là même qui sont marqués pour leurs premières victimes. Il n'y a pas que les moutons qui suivent docilement le guide qui les conduit à l'abattoir. Inclinons-nous devant la puissance de l'idée. Quand elle est arrivée à une certaine période de son évolution, il n'y a plus ni raisonnements, ni démonstrations qui pourraient prévaloir contre elle. Pour que les peuples puissent s'affranchir du joug d'une idée, il faut des siècles ou des révolutions violentes ; les deux parfois. L'humanité n'en est plus à compter les chimères qu'elle s'est forgées et dont elle a été successivement victime.

// p. 122
L'égalité ne peut exister que dans l'infériorité, elle est le rêve obscur et pesant des médiocrité vulgaires, Les temps de sauvagerie l'ont seuls réalisée.

// p. 124
Les inventeurs de génie hâtent la marche de la civilisation. Les fanatiques et les hallucinés créent l'histoire.

// pp. 127 et 128
La cellule cérébrale qui n'est plus exercée cesse, elle aussi, de fonctionner, et des dispositions mentales qui avaient demandé des siècles pour se former peuvent être promptement perdues. Le courage, l'initiative, l'énergie, l'esprit d'entreprise et diverses qualités de caractère fort longues à acquérir peuvent s'effacer assez rapidement quand elles n'ont plus l'occasion de s'exercer. Ainsi s'explique qu'il faille toujours à un peuple un temps très long pour s'élever à un haut degré de culture, et parfois un temps très court pour tomber dans le gouffre de la décadence.

Quand on examine les causes qui ont conduit successivement à la ruine les peuples divers dont nous entretient l'histoire, qu'il s'agisse des Perses, des Romains, ou de tout autre, on voit que le facteur fondamental de leur chute fut toujours un changement de leur constitution mentale résultant de l'abaissement de leur caractère. Je n'en vois pas un seul qui ait disparu par suite de l'abaissement de son intelligence.

Pour toutes les civilisations passées, le mécanisme de la dissolution a été identique, et identique à ce point que c'est à se demander, comme l'a fait un poète, si l'histoire, qui a tant de livres, n'aurait pas qu'une seule page. Arrivé à ce degré de civilisation et de puissance où, étant sûr de ne plus être attaqué par ses voisins, un peuple commence à jouir des bienfaits de la paix et du bien-être que procurent les richesses, les vertus militaires se perdent, l'excès de civilisation crée de nouveaux besoins, l'égoïsme se développe. N'ayant d'autre idéal que la jouissance hâtive de biens rapidement acquis, les citoyens abandonnent la gestion des affaires publiques à l'État et perdent bienôt toutes les qualités qui avaient fait leur grandeur. Alors des voisins barbares ou demi-barbares, ayant des besoins très faibles mais un idéal très fort, envahissent le peuple trop civilisé, puis forment une nouvelle civilisation avec les débris de celle qu'ils ont renversée.

// p. 131
L'État, quel que soit le régime nominal, est la divinité vers laquelle se tournent tous les partis. C'est à lui qu'on demande une réglementation et une protection chaque jour plus lourdes, enveloppant les moindres actes de la vie des formalités les plus byzantines et les plus tyranniques. La jeunesse renonce de plus en plus aux carrières demandant du jugement, de l'initiative, de l'énergie, des efforts personnels et de la volonté. Les moindres responsabilités l'épouvantent. Le médiocre horizon des fonctions salariées par l'État lui suffit. Les commerçants ignorent les chemins des colonies et celles-ci ne sont peuplées que par des fonctionnaires. L'énergie et l'action sont remplacées chez les hommes d'État par des discussions personnelles effroyablement vides, chez les foules par des enthousiasmes ou des coères d'un jour, chez les lettrés par une sorte de sentimentalisme larmoyant, impuissant et vague, et de pâles dissertations sur les misères de l'existence. Un égoïsme sans bornes se développe partout. L'individu finit par n'avoir plus d'autre préoccupation que lui-même. Les consciences capitulent, la moralité générale s'abaisse et graduellement s'éteint. L'homme perd tout empire sur lui-même. Il ne sait plus se dominer ; et qui ne sait se dominer est condamné bientôt à être dominé par d'autres.

// p. 134
[...] les peuples de l'Europe vont être obligés de subir la redoutable phase du socialisme. Il marquera une des dernières étapes de la décadence. En ramenant la civilisation à des formes d'évolution tout à fait inférieures, il rendra faciles les invasions destructrices qui nous menacent.

Écrit par : BR | 16/08/2024

BR > Je ne suis d'accord avec toutes ces affirmations et certaines sont datées : le danger qui nous menace est inédit même si ses matérialisations nous apparaissent pour l'instant familières.

Écrit par : Pharamond | 16/08/2024

@Pharamond : *Mutatis mutandis*, comme d'habitude.
La tyrannie est intemporelle dans ses buts comme dans ses méthodes. La seule originalité de la nôtre, c'est la numérisation -- on aurait pu en rester à l'Apple ][ voire, pour les plus réacs, à la carte AIM65.

Écrit par : BR | 16/08/2024

BR > C'est la première fois dans l'Histoire que le but ultime est le triomphe du mondialisme, une planète sans frontières gouvernée par une technocratie à l'idéologie quasi mystique. Il y a eu des essaie dans ce sens, mais jamais à cette échelle et avec ces moyens.

Écrit par : Pharamond | 16/08/2024

@Pharamond : La tyrannie, locale ou globale, reste la tyrannie. ;-) Etre considéré comme du bétail par le despote d'une principauté ou d'un empire, c'est pareil.

Écrit par : BR | 16/08/2024

Ultime message du sieur nobody après la fermeture de son blog :
http://lachute.over-blog.com/2024/07/courrier-de-nobody.html
Tout n'est pas délirant.

Écrit par : BR | 21/08/2024

BR > C'est très différent car dans une tyrannie locale la population a toujours des sources de comparaison et d'informations extérieures, un espoir d'intervention étrangère ou d'exil, pas dans une tyrannie globale.

Non, même si son jargon m'échappe un peu, ce n'est pas délirant.

Écrit par : Pharamond | 21/08/2024

@Pharamond : Nul besoin de comparer une situation locale avec d'autres pour savoir qu'on est en tyrannie (quant à espérer des secours venus d'ailleurs...). Une bibliothèque suffit, et en l'absence d'icelle, les simples observation et réflexion.

Écrit par : BR | 21/08/2024

BR > Sans comparaison difficile d'évaluer sa situation (pour la bibliothèque il faut encore qu'on autorise les 'bons' livres) et des régimes se sont effondrés sous pression extérieure, sans oublier l'exil.

Écrit par : Pharamond | 22/08/2024

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