Musique (665) : Guerre civile et yaourt allégé (3)

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Un peu d'Izarra :
https://www.youtube.com/watch?v=LFWrl8CdURg
Un peu de Saucisson-Pinard :
https://saucisson-pinard.blogspot.com/2023/11/melenchon-sindignait-deja-il-y-80-ans.html
Que fait donc Ursula Breton ? "Incompétence, ton nom est u. "e."", disait -- presque -- l'euroBarde ! Et toujours pas de bouton de dénonciation eurocitoyenne ! Force ne doit pourtant pas rester à'lronie ; que la subtilité le cède à la force !

Écrit par : Blumroch | 28/11/2023

Blumroch > Patience, nos libertés sont grignotées comme la mer grignote la falaise et un jour...

Écrit par : Pharamond | 28/11/2023

@Pharamond : Ils mettent les bouchées doubles. C'est la preuve qu'ils ont peur, croient les candides. :-(

Écrit par : Blumroch | 28/11/2023

Blumroch > Alors je suis candide.

Écrit par : Pharamond | 28/11/2023

@Pharamond : No kidding ? Pour ma part, je pense que c'est comme dans une course automobile : en vue de l'arrivée, tu mènes et tu accélères quand même par impatience.

Écrit par : Blumroch | 28/11/2023

Blumroch > De mon côté, je crois qu'ils savent que leur projet est une construction truffée de malfaçons et qu'ils tentent de finir le travail avant que trop de monde ne s'en aperçoive. Ce qui n'empêchera pas la bâtisse de s'écrouler avec nous dessous.

Écrit par : Pharamond | 28/11/2023

@Pharamond : Quand c'est vraiment important, le camp d'en face sait engager du personnel compétent -- il existe encore, malheureusement. Le signalement des méchants, c'est, pour l'heure, encore anecdotique par rapport à ce qu'il pourrait être. Il en ira autrement pour ce qui compte vraiment afin d'asservir définitivement les populations : la numérisation de toutes les activités, l'obligation du fric numérique programmable, et la mise en place de l'évaluation "sociale" du bétail.

Écrit par : Blumroch | 28/11/2023

Blumroch > On peut engager les meilleurs maçons du monde si les plans sont foireux le maison ne tiendra pas debout longtemps.

Écrit par : Pharamond | 28/11/2023

Depuis que nous consentons à communiquer avec votre espèce, ami terrien, vous n'avez cessé de demander, presque d'exiger, des renseignements sur nous autres Octopussiens, espérant probablement bénéficier de nos sciences et techniques considérablement supérieures aux vôtres. Vous avez trop lu et vu de ces oeuvres que vous appelez, d'un mot délicieux, "science-fiction" : la fédération galactique des planètes unies n'existe pas, et surtout, vous n'avez rien à nous apprendre ; nous n'avons aucun intérêt à enrichir vos connaissances -- à vous détruire non plus, en tout cas pour le moment. Ne l'oubliez pas : au hasard de nos explorations dans cette galaxie ("S'aventurer sans crainte là où nul Octopussien n'a encore posé le regard ou un tentacule" est la devise de notre flotte spatiale, devise dont vous connaissez, je crois, une variante sur votre planète), *nous* vous avons trouvés, et non l'inverse ; si nous conversons par l'intermédiaire de ce que vous appelez "courrier électronique", c'est parce que nous avons intercepté et analysé d'abord vos primitifs protocoles de communication, ensuite vos documentaires historiques, qu'ils prennent la forme d'images ou de textes. C'est par jeu, peut-être aussi pour tromper notre ennui, que nous avons choisi de vous révéler notre présence. Nous savons tout de vous, et vous ne saurez rien de nous -- du moins rien d'essentiel. Vos pathétiques tentatives pour repérer notre vaisseau nous ont bien divertis.
Voici tout ce que je suis autorisé à vous confier : si nous ne sommes évidemment pas humains, nous ne sommes pas très différents de vous, à ceci près que nous sommes plus intelligents, comme vous le savez et comme vous le redoutez avec raison. Vos qualités et vos défauts sont aussi les nôtres, même si, comparés à vous, nous sommes des hyperanthropes -- ou plus exactement des hyperoctopodes.
En voici une preuve décisive qui fait la différence entre la barbarie et la civilisation : nos premiers Sages ont très tôt compris que l'organisation sociale, hélas nécessaire, était l'implacable ennemie du *sevagram* et de l'individu. Ayant constaté que l'exercice du pouvoir n'attirait, à tous les niveaux, que des parasites et des petits esprits toujours désireux d'exploiter et d'asservir leurs congénères par tous les moyens, à commencer par la force et le mensonge, ils ont offert deux cadeaux divins aux Octopussiens pour résister à toute tentative d'oppression quel que soit le régime : d'une part, l'affirmation du droit naturel et absolu à détenir des armes pour se défendre (vie, famille et biens sont sacrés) ; d'autre part, la création du Bureau des annulations. Cette organisation, à la fois publique et secrète, recrute par cooptation parmi les meilleurs d'entre nous ; elle existe depuis des milliers de révolutions de notre planète, et les pires tyrans n'ont jamais eu l'audace impie de s'y opposer, crainte de déchaîner sa fureur vengeresse. Elle n'agit jamais de sa propre initiative mais seulement quand des Octopussiens soucieux du bien public et las des abus lui signalent, preuves à l'appui, une mauvaise action, quelle qu'en soit la nature, contre la population. En fonction du nombre de signalements et de la nature du crime objectivement -- j'y insiste -- constaté, les chefs du Bureau décident des légitimes représailles à mener contre les coupables. Un tirage au sort désigne alors, parmi les membres de l'honorable société, celui qui aura l'honneur d'être le *dr'akhomiloff*, le Juste Juge Vengeur chargé d'exécuter promptement le *f'haanfogt*, la sentence : toujours la mort -- les crimes contre le peuple ne sauraient admettre une peine plus légère --, mais administrée par des moyens variés, plus ou moins rapides, plus ou moins douloureux. On trouvera toujours sur le lieu de l'exécution, parmi les restes du coupable s'ils existent encore, une carte au libellé sobre : "Pour le Peuple et pour le Bureau".
Au grand étonnement de nos savants et de nos moralistes, cette institution n'a jamais découragé les pires des Octopussiens, les plus médiocres aussi, de prétendre à diriger les affaires publiques ou à y participer, sous tous les régimes politiques que nous avons connus. D'étrange manière aussi, depuis des millénaires, le Bureau trouve toujours matière à intervenir, mais c'est, comme le dit un de vos grands conteurs, une autre histoire...
Quand vous aurez adopté et mis en pratique cette grande idée (comme le dit le proverbe : "L'oeil de la vérité anime le tentacule de la justice ; la voix de la sagesse, le tentacule de la vengeance"), vous serez plus dignes de notre attention, peut-être de notre bienveillance.
L'honnêteté m'oblige à vous le dire : nous n'y comptons pas trop car vous n'êtes pas assez intelligents, pas assez rationnels : dépourvus de bon sens en un mot.
De fait, plusieurs de vos penseurs ont envisagé une institution comparable qui a parfois existé chez vous sous une forme rudimentaire, mais vos pareils, en majorité, la condamnent comme vous condamnez, en paroles, la violence que vous pratiquez hypocritement : vos maîtres sont méprisables ; vos congénères ne valent pas mieux, qui tolèrent tous les abus et même les encouragent en ne réagissant jamais de manière efficace contre leurs bourreaux. En vérité, vous n'êtes encore que des *voïs*, et vous le resterez sans doute.

Puisse ce brouillon inspiré par une remarque du Kamerad EQUALIZER chez La Mouette lui donner l'envie de rédiger une suite à son dernier feuilleton désopilant. Quand Ursula Breton sera parvenue à ses fins, ce sera le premier octobre, c'est-à-dire trop tard (Fred Hoyle).

Écrit par : Blumroch | 29/11/2023

On peut rêver sur cette épitaphe en forme de promesse :
HIC JACET
ARTHURUS REX QUONDAM REXQUE FUTURUS
Elle a inspiré à un certain Ernest Rhys[1], en 1905, ce sizain :
//
ARTHUR'S GRAVE : THE EPITAPH

Some men do say King Arthur is not dead,
__But by the will of our Lord Jesu sleeps,
____Yet to awake, deathless, and reassure us:
And therefore is it, that grave where he is laid
__This legend hath, that still his kingdom keeps:
____Arthurus Rex Quondam, Rexque Futurus.
//
Non, *Excalibur* n'est pas kitsch ! ;-)

[1] https://en.wikipedia.org/wiki/Ernest_Rhys
[2] https://d.lib.rochester.edu/camelot/text/rhys-arthurs-grave-the-epitaph
Yep, pas d'appel de note. ;-)

Écrit par : Blumroch | 29/11/2023

@Pharamond

Je partage votre point vue.
Je ne dirais pas qu'ils ont "peur" mais qu'ils sont très inquiets quant à la réussite de leur projet, et à juste titre.

Ils vont se viander très gravement après avoir fait des dégâts considérables car leur vision du contrôle des populations est trop simplette et ne tient pas compte de la complexité du réel et de la fragilité des technologies.

Mais ce ne sera pas une intervention "divine" ni les Russes qui sauveront la mise (dixit Combaz :-D )

Écrit par : realist | 29/11/2023

Blumroch > Amusante histoire. Un lien vers celle d'EQUALIZER ?

realist > L'inquiétude n'est-elle pas une forme de petite peur ? ;-)

Écrit par : Pharamond | 29/11/2023

@Pharamond : Le Kamerad EQUALIZER a simplement cité, dans une billet consacré à la Gueuse, *Le bureau des assassinats* -- le roman ou le film ou les deux, je ne sais.

Je faisais référence à sa série de cartes blanches :
http://guerrecivileetyaourtallege3.hautetfort.com/archive/2020/03/26/carte-blanche-12-6223829.html

Écrit par : Blumroch | 29/11/2023

Blumroch > D'accord, j'avais mal lu.

Écrit par : Pharamond | 29/11/2023

Parce qu'il a évoqué l'emprise de "la finance" sur les merdias -- sans même ilustrer son propos avec des exemples précis --, un ancien ministricule est accusé par les gauchistes de n'aimer guère une certaine catégorie de la population... que bien des gauchistes n'aiment pas beaucoup non plus. A en croire sa fiche de police, l'individu entretiendrait d'excellentes relations, parfois tarifées, avec un groupe ennemi de ladite catégorie.
Au cours d'une comédie électorale, Fla{m|n}by prétendit, avec une ironie très supérieure à ses moyens ordinaires, avoir pour ennemie "la finance" -- crainte d'être pris au sérieux par ses maîtres, il prenait soin d'envoyer, le lendemain, une de ses âmes damnées aux représentants de la finance ennemie pour les rassurer : son propos était destiné au bétail des veautants et n'était qu'une (pauvre) habileté tactique (autrement dit : c'était un mensonge).
Etrangement, personne n'avait accusé cette [autocensuré], ce [autocensuré] d'être hostile à la catégorie mentionnée *supra*.

Écrit par : Blumroch | 30/11/2023

Blumroch > C'était au temps où l'on prenait encore la peine de mentir à la populace. C'était tout de même une forme d'hommage : on faisait cas de son opinion. Ce n'est même plus la peine.

Écrit par : Pharamond | 30/11/2023

@Pharamond : A tolérer les mensonges et les affronts, on appelle le bâton, l'in{j|f}ection et l'évaluation à prétexte écolosocial.

Écrit par : Blumroch | 30/11/2023

J'ai lu HPL en français ; j'ai ensuite lu HPL en anglais ; j'ai lu sur HPL ; à son sujet, je ne crois pas avoir lu plus [up2U] qu'ici, ou rarement :
https://bistrobarblog.blogspot.com/2018/07/de-la-science-fiction-en-general-et-de.html
https://bistrobarblog.blogspot.com/2018/07/de-la-science-fiction-en-general-et-de_16.html

Écrit par : Blumroch | 01/12/2023

Stonehenge du pauvre, les "Georgia Guidestones", avec leur célèbre programme tarécoloschwabien, ont d'abord été légèrement endommagées par une explosion avant d'être démolies sous prétexte de sécurité. A en croire la fiche kikipedia ricaine[1], les coupables sont toujours inconnus : "No motive has been publicly shared, and no suspects publicly identified. On July 14, 2022, and again on July 25, 2022, the GBI gave an update, with no significant progress on the case being made since the bombing." (admirable "no significant" qu'on croirait un moussisme).
L'attraction touristique pour méchants complotistes devait rapporter, puisque "In late July 2022, Elberton Mayor Daniel Graves said the town planned to rebuild the monument exactly as it was."
Pas de "Build Back Better", dans ce cas. Astonish, nein ?

[1] https://en.wikipedia.org/wiki/Georgia_Guidestones

Écrit par : Blumroch | 02/12/2023

La tyrannie foutriquétiste prenait déjà prétexte de cette [autocensuré] de JO[P] pour mettre en place de manière permanente les outils d'espionnage et de contrôle du bétail. Un "français" -- ne pas rire -- tue un touriste et en blesse deux autres, et le site atlantico[1] s'inquiète non de la sécurité des personnes mais de celle de ces [autocensuré] JO[P], en citant un laquais étatique : "Dorénavant, il va peut-être falloir réfléchir à des processus de sécurisation des J.O. plus poussés." Caméras toujours plus intrusives, drones de surveillance (bientôt équipés d'armes ?), déclaration préalable et autorisation conditionnelle pour se rendre dans certains quartiers... Que veulent-ils de plus ? Le tir à balles réelles sur les foules ?
Etrangement, ces imbéciles et ruineuses compétitions se passaient de tout ce cirque jusqu'à récemment.
Quand il ne rêve pas à la révolte des hackers, le délirant Combaz attend un orage magnétique : il ferait mieux de "prier fort" (Bonnal) pour l'astéroïde de l'Apocalypse -- comme dans *Starship Troopers*, ze mouvie.

[1] Encore une url de la mort qui tue :
https://atlantico.fr/article/pepite/attaque-au-couteau-a-paris-les-jeux-olympiques-menaces-attentat-terroriste-attaque-au-couteau-jeux-olympiques-ceremonie-d-ouverture-des-jeux-securite
[P] Ce n'est pas un appel de note mais une référence à la répugnante démagogie d'HidalgogolE qui exige de mentionner les compétitions réservées aux handicapés -- correction : "aux personnes différemment valides mais aussi valides que les autres et même mieux valides".

Écrit par : Blumroch | 03/12/2023

Qu'attend donc la mafia étatique, en tout cas sa branche moussique, pour n'autoriser que la vente et la détention de couteaux lichtenbergiens[1] ? La mesure, proclamée de manière solennelle par foutriquet 2.0 ("Le vent se lève, il faut tenter de *sur*vivre..."), donnerait aux derniers krons et candides, encore majoritaires, l'illusion d'être protégés des bourreaux amateurs par des bourreaux professionnels.

[1] "un couteau sans lame auquel ne manque que le manche".

Écrit par : Blumroch | 03/12/2023

Le hasard me fait tomber sur cette page qui fait rêver : https://ndf.fr/nos-breves/11-03-2023/le-salvador-reussit-actuellement-la-plus-spectaculaire-et-polemique-reduction-de-la-criminalite-de-lhistoire-contemporaine-le-taux-dhomicide-est-passe-de-103-pour-100-000-habitants-en-2/
Existent donc encore des méchants capables d'ignorer les couinements de la conscience universelle qui pense bien, des méchants insensibles au jugement des ONG et autres moralisateurs qui défendent les criminels et n'ont cure des victimes.
Le plus étonnant est encore qu'avec d'aussi beaux résultats, que j'espère authentiques, ce monsieur Nayib Bukele ne soit approuvé que par 92% de la population.

Écrit par : Blumroch | 04/12/2023

@Pharamond : Une manière de rubrique Dieselpunk :
https://resistancerepublicaine.com/2023/12/04/les-voitures-de-la-gestapo/

Écrit par : Blumroch | 04/12/2023

Blumroch > Pas encore lu l'article sur HPL.

La Salvador ou le triomphe de la volonté.

Résistance laïque fait dans le racolage, c'est pitoyable.

Écrit par : Pharamond | 04/12/2023

Idée de conte dont je trouve l'idée fort rigolote, mais que je ne perdrai pas mon temps à rédiger (j'avais commencé, quand je me suis soudain demandé pourquoi et pour qui, avant de fermer WordPerfect 5.1 pour DOS) : Schwab, ses maîtres, ses complices et quelques laquais (dont le Gauleiter de l'eurorégion CalifaFrance) sont réunis pour célébrer le triomphe universel de l'Agenda 2030. Eh oui, les pays censés résister au Moloch (Russie, Chine, pays des Afriques, pays des Amériques et alii) ont cédé, comme les autres -- ils n'étaient que des leurres. Le goût du pouvoir absolu sur le bétail est le même partout. Le troupeau a enfin été réduit de 90% ; les survivants connaissent un esclavage inédit, total, dégradant, pire que l'enfer. L'âge des wannabegods commence, et ils y croient, ces crétins nuisibles, ils y croient.
L'ami Klaus barbant commence à retracer les débuts du Plan et les laborieuses étapes de sa réalisation, avec ses retards et ses échecs (certains véritables, provoqués par l'incompétence ; d'autres délibérés, eux, pour berner les candides) face à une résistance pathétique d'inefficacité, incapable même de faire comprendre aux populations que l'oligarchie veut leur mort par tous les moyens reposant sur le mensonge et la malveillance.
Lassant son auditoire, notre orateur mauvais rhéteur en arrive enfin, laborieusement, au présent, au triomphe du Plan permis par la [maudite] technique, quand un invité très particulier fait son apparition spectaculaire autant qu'inattendue, qui va expliquer la vie aux tarécoloschwabiens : Satan, qui seul a autorité sur le bétail humain, par faveur spéciale de son Père avec qui Il n'est pas si brouillé qu'on ne le croit ordinairement.
On aurait droit à un petit discours amusant, notamment sur la notion de limite. Le final pourrait être un retour à la vie normale, les tarécoloschwabiens étant livrés à la féroce vindicte des populations enfin éclairées -- Lucifer, c'est le porteur de lumière. Parmi les scènes à faire, le lent écartèlement des écolos par des trotinettes électriques.
Le rôle de Satan serait évidemment passé sous silence : rien ne serait pire pour Lui comme pour son Père qu'un troupeau trouvant, par peur, la foi à partir de faits objectifs.

Écrit par : Blumroch | 05/12/2023

*The Shadow* et *The Rocketeer* -- peut-être des doublons :
https://www.youtube.com/watch?v=nkPVjjFYOD8
https://www.youtube.com/watch?v=BXbL0iukdCo

Écrit par : Blumroch | 05/12/2023

Blumroch > Un happy end venant de toi, je suis surpris :-)
Le diable c'est aussi celui qui divise...

Agréables musiques épiques.

Écrit par : Pharamond | 05/12/2023

@Pharamond : L'aurais-je écrit que le titre aurait été : *Le protecteur*. ;-) L'idée de ce retournement me semblait amusante ; au reste, j'aimerais mieux négocier avec le diable, que je suppose intelligent, qu'avec les crétins de Blackrock, du Wef ou de Bruxelles.

Les deux films sont de fort bons divertissements.

Écrit par : Blumroch | 05/12/2023

Blumroch > A condition de décliner l'offre à déjeuner afin de ne pas partager le même brouet.

Je n'ai vu que le second. Agréable, c'est vrai.

Écrit par : Pharamond | 05/12/2023

@Pharamond : On n'accepte pas l'invitation à dîner, quelle que soit la longueur de la cuillère et des autres couverts ; au besoin, on invoque un engagement *ultérieur* (la formule est de Wilde) ; on doit néanmoins pouvoir bavarder agréablement, comme dans *Heaven can Wait*.

Dans ce cas, à l'occasion, visionne le premier. Je les ai revus récemment avec le même plaisir.

Écrit par : Blumroch | 05/12/2023

Blumroch > Peut-être, même si cela me semble tout de même risqué.

J'ai vu la bande annonce et le côté dieselpunk un peu kitsch semble plaisant.

Écrit par : Pharamond | 05/12/2023

@Pharamond : Le plaisant *Capitaine Sky et le Monde de demain* était beaucoup plus "dieselpunk" -- dans mon souvenir.

Intéressante carte signalée ce jour par l'excellent Bonnal :
https://worldpopulationreview.com/country-rankings/average-iq-by-country
Yep, avec les réserves d'usage. On vit sur des approximations.
Dommage que la récupération des données en CSV ne soit, apparemment, pas disponible. Cette rage des graphiques au lieu de tableaux est irritante.

Écrit par : Blumroch | 06/12/2023

Gag : mon vieux Firefox n'affichait correctement ni le tableau source "pays Q.I." ni la proposition de récupérer les données via une adresse de courrier (on se demande bien pourquoi cette exigence, d'ailleurs, au lieu d'un bouton "Téléchargement"). Découverte faite en convertissant le fichier HTM en TXT. Un navigateur Brave un peu plus récent, lui, montre bien la page complète. Go figure...

Écrit par : Blumroch | 06/12/2023

Signé Bernstein, le célèbre générique des *Sept mercenaires* :
https://www.youtube.com/watch?v=jHdl5X3HtQU
Et la version qu'en donne Horner pour la fin d'un film en forme de reprise que je préfère ne pas visionner :
https://www.youtube.com/watch?v=R4dWIwgO9Lc
L'hommage musical est d'autant plus sympathique que la pratique semble rare, dans le nouvel Hollywood.

Écrit par : Blumroch | 06/12/2023

Blumroch > La reprise d'Horner est très proche de l'originale.

Je n'ai pas vu, non plus, le remake.

;-)
http://guerrecivileetyaourtallege3.hautetfort.com/apps/search/?s=mercenaire

Écrit par : Pharamond | 06/12/2023

@Pharamond : L'originale me semble plus dynamique.
J'ai cru comprendre que les "remakes" modernes s'efforçaient de rappeler le moins possible leurs modèles, notamment pour la musique, sans doute par crainte des comparaisons.

Quel billet et quels commentaires ! ;-)

Écrit par : Blumroch | 06/12/2023

@Pharamond : Chez DRALN, "Oil and Petrol", c'est de la provoc', à considérer les joies que nous réservent pour très bientôt, grâce à l'apathie des populations, les ordures de l'agenda 2030 !

Écrit par : Blumroch | 06/12/2023

On connaît ce dessin humoristique ricain montrant l'oncle Sam, tenant un paquet de mesures liberticides, face à un employé au comptoir d'un grand magasin, qui demande : "Et pour l'emballage du cadeau, que préférez-vous ? Celui marqué SECURITE ou celui marqué PROTECTION DES PETINENFANTS ?" Faudrait y ajouter : "celui marqué POUR LA PLANETE".
De fait, ces pauvres et mensongers prétextes suffisent aux populations pour tout accepter, jusqu'à et y compris leur asservissement, leur extermination bientôt.
Bruce Schneier évoque souvent le "security theatre”, cet ensemble d'actions gouvernementales sans aucune utilité pour accroître la sécurité des biens et des personnes, mais qui donnent au public l'illusion que la mafia étatique agit et prend au sérieux le problème. Un effet collatéral de la muselière, sans doute.
Savoir comment cette mauvaise comédie à la Potemkine peut avoir marché et marcher encore...

Écrit par : Blumroch | 07/12/2023

Blumroch > Ils appellent ça des reboots, je crois.

Commentaires que l'on oserait plus faire.

L'affiche date de 1930, un siècle avant...

Elle marche parce que le monde marche encore et que la population veut bien croire à tout si ça lui donne l'illusion de faire fonctionner la société encore un peu.

Écrit par : Pharamond | 07/12/2023

Blumroch > Je ne sais que penser des surprenantes révélations sur HLP. Attendons la suite.

Écrit par : Pharamond | 07/12/2023

@Pharamond : Eh bien, apparemment, ils ne connaissent pas la recette du Reboot Better.

Toujours plus de liberté.

Bon choix de date -- tu verras *infra*.

Les gens sont des krons.

Surprenantes révélations, en effet.

//

*Le choix*

-- Chérie, chérie, ça marche ! Ma machine à voyager dans le temps fonctionne comme je l'avais prévu ! Les tests sont concluants, tous les cobayes sont revenus sains et saufs -- la mouche, la souris, le chien, et même notre voisin macroniste dont j'avais drogué, au nom de la Science et de la Physique Quantique, le jus d'orange quand nous l'avons invité hier à prendre un verre. Grande idée, d'ailleurs, que je dois à nos ministres et députés, habitués à tous les mauvais procédés dans tous les domaines ; j'étais presque résolu à l'assommer, cet imbécile, pour qu'il fasse office de chrononaute volontaire à l'insu de son plein gré. Endormi qu'il était pendant tout le voyage temporel, il ne pouvait rien voir, mais il est parti et revenu en bon état. Ramené chez lui ce matin, il semblait en bonne santé quand nous l'avons revu. Aucune différence dans son activité intellectuelle apparente -- laquelle était, c'est vrai, à peine mesurable. En tout cas, il fait toujours l'éloge de son idole.
-- C'est magnifique, mon chéri. Et maintenant, vas-tu rédiger un article pour présenter au monde ta théorie et ta machine ?
-- Plus tard. Je veux d'abord savoir ce que l'avenir nous réserve. J'aurais évidemment préféré remonter dans le temps pour rencontrer quelques grands noms -- César, Richelieu, Roger Bacon, Fermat, Gamow, Hoyle, Lovecraft, Heinlein... --, mais le voyage dans le passé est malheureusement impossible, comme j'ai en vain tenté de l'expliquer à ta jolie tête. De plus, pour d'impérieuses raisons, la machine ne peut aller à plus de sept ans dans le futur, et je devrai donc me contenter d'explorer l'année 2030. Je serai le premier chrononaute humain conscient, c'est déjà quelque chose.
-- Les changements risquent de n'être pas très importants...
-- Nous verrons bien. Pour l'heure, accompagne-moi au laboratoire, tu dois assister à ce moment historique. Avec qui le partager sinon avec toi ? A tes yeux, le voyage sera instantané : la capsule va disparaître et réapparaître en un clin d'oeil. J'emporte le matériel nécessaire pour enregistrer et filmer. Je compte rester là-bas une journée. Par les dieux, j'ai l'impression d'être le héros de Wells !

Non sans un peu d'inquiétude, la jeune femme vit son mari entrer dans la capsule, exacte reproduction de celle du film de Cronenberg. Elle sourit à la pensée qu'il avait un temps hésité, en vrai gamin qu'il était parfois, à donner à sa machine la forme d'une De Lorean célèbre. Il avait à peine refermé la porte qu'un éclair illumina la pièce ; il émergea instantanément de l'habitacle, manifestement un peu étourdi.

-- Comment te sens-tu, chéri ? Qu'as-tu vu ?
-- Je vais bien. Je... mes souvenirs sont un peu flous. Je sais être arrivé en 2030 ; à ma grande surprise, j'avais un comité d'accueil.
-- Pas des Morlocks, j'espère !
-- Non, pas des Morlocks. Bref, j'étais attendu. Ils m'ont dit m'avoir espionné depuis le début de mes travaux. Trahi par nos optiphones et par mes quelques recherches sur Internet. Qu'on ne me parle plus des VPN ! Et ce n'était apparemment pas une bonne idée que d'avoir contacté Jean-Pierre Petit pour avoir son avis sur un point de détail de ma théorie de Janus asymétrique... J'ai manifestement déclenché des alertes...
-- C'est effrayant, mais bon, le régime flique tout le monde, c'est de noriété publique. Raconte-moi donc la suite. Je viens de vérifier ton matériel : il est manifestement tombé en panne puisque tu n'as rien filmé, rien enregistré non plus. Quelle malchance !
-- Je... Je ne sais pas. Nous n'avons pas quitté le laboratoire. C'était interdit. Je crois qu'à partir de mon PC, ils m'ont tout montré du nouvel ordre social de 2030 et des changements survenus en seulement sept ans.
-- Alors, raconte !
-- C'est un peu le brouillard dans ma tête. Je n'ai que des impressions confuses. Je sais qu'ils m'ont ordonné de repartir à notre époque pour éviter tout risque de paradoxe temporel. Je revois la seringue, l'appareil bizarre... Ah, je me souviens maintenant : ils m'ont donné le choix de me souvenir ou d'oublier. Je ne sais plus exactement. Si seulement je pouvais...
-- Tu aurais donc choisi l'oubli. Je me demande bien pourquoi.
-- Moi aussi, ma chérie, moi aussi.

(Inspiré par une nouvelle d'épouvante-fiction portant le même titre, écrite par un auteur parfaitement inconnu, un certain Waylan Hilton-Young. On la trouvera dans les *Histoires paradoxales*. J'avais eu, voici plusieurs décennies, une idée comparable mais moins habile -- mon voyageur temporel était frappé d'une amnésie sans intervention extérieure et il devenait fou de manière lovecraftienne, après avoir vu les horreurs des prochains millénaires.)

Écrit par : Blumroch | 07/12/2023

edit/fix "notoriété". D'autres peut-être aussi. Who cares ?