25/08/2023
Musique (657)
Rich men north of Richmond
Oliver Anthony
17:02 | Lien permanent | Commentaires (39)
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Rich men north of Richmond
Oliver Anthony
17:02 | Lien permanent | Commentaires (39)
Commentaires
Du même, toujours dans le registre de la country pop...uliste , *I want to go home* :
https://www.youtube.com/watch?v=xB9n0XA8dks
Et par association de titre, ce *Take me home* accompagnant le générique de fin de l'honnête FPS *Prey* :
https://www.youtube.com/watch?v=0uyliYBoLu8
Écrit par : Blumroch | 25/08/2023
Awaken With JP :
https://www.youtube.com/watch?v=-p2iO8wEhN4
Un des commentaires :
Babylon Bee headline: "Country Music Industry Confused by Man Actually From Country Making Actual Music"
Écrit par : Blumroch | 26/08/2023
De Jaime Semprun dans *L'abîme se repeuple* :
//
La domestication par la peur ne manque pas de réalités effrayantes à mettre en images ; ni d’images effrayantes dont fabriquer la réalité. Ainsi s’installe, jour après jour, d’épidémies mystérieuses en régressions meurtrières, un monde imprévisible où la vérité est sans valeur, inutile à quoi que ce soit. Dégoûtés de toute croyance, et finalement de leur incrédulité même, les hommes harcelés par la peur et qui ne s’éprouvent plus que comme les objets de processus opaques se jettent, pour satisfaire leur besoin de croire à l’existence d’une explication cohérente à ce monde incompréhensible, sur les interprétations les plus bizarres et les plus détraquées : révisionnismes en tout genre, fictions paranoïaques et révélations apocalyptiques. Tels ces feuilletons télévisés d’un nouveau genre, très suivis par les jeunes téléspectateurs, qui décrivent un monde de cauchemar où tout n’est que manipulations, leurres, trames secrètes, où des forces occultes installées au cœur de l’État complotent en permanence pour étouffer les vérités qui pourraient se faire jour ; vérités effectivement sensationnelles, puisqu’elles concernent en général les menées d’extraterrestres.
//
Semprun aurait sans doute ri des ceusses capables de relier des faits avec logique ou vraisemblance pour en tirer de probables hypothèses ordinairement peu flatteuses pour le bétail comme pour les bergers et les patrons d'iceux. Il aurait eu tort : ignorer l'existence des comploteurs -- maladroits ou cyniques -- et de leurs plans est aussi sot que les voir à l'oeuvre en toutes occasions. Et cette manière très gauchiste de tout mélanger pour assimiler les sceptiques et les méfiants aux gogos et duconnos... Et cette fausse élégance consistant à ne pas mentionner les *X-Files* pour bien faire comprendre qu'en bon intellectuel, on les ignore -- même procédé chez Beketch qui, sommé par son public de donner son avis sur un feuilleton pour ados, avait affecté n'en pas connaître le titre transformé en *Pouffy contre les vampires*, même s'il savait que c'était évidemment une oeuvre de propagande sataniste.
Écrit par : Blumroch | 26/08/2023
Contrairement aux apparences (faut être les ricains de wikiquote pour se faire berner[0], ricains qui n'ont pas pris la peine de lire la préface de cet habile collage qu'est *La confession de Talleyrand*[1]), cette réflexion n'est pas du grand ministre mais elle aurait pu l'être :
//
Celui qui n'a pas vécu au dix-huitième siècle avant la Révolution ne connaît pas la douceur de vivre et ne peut imaginer ce qu'il peut y avoir de bonheur dans la vie. C'est le siècle qui a forgé toutes les armes victorieuses contre cet insaisissable adversaire qu'on appelle l'ennui. L'Amour, la Poésie, la Musique, le Théâtre, la Peinture, l'Architecture, la Cour, les Salons, les Parcs et les Jardins, la Gastronomie, les Lettres, les Arts, les Sciences, tout concourait à la satisfaction des appétits physiques, intellectuels et même moraux, au raffinement de toutes les voluptés, de toutes les élégances et de tous les plaisirs. L'existence était si bien remplie qui si le dix-septième siècle a été le Grand Siècle des gloires, le dix-huitième a été celui des indigestions.
//
("et même moraux" est savoureux. France, mère de la Civilisation...)
On irait bien adapter le propos à notre atroce époque. Le tournant serait, selon l'âge et le regard, à 1945, à 1968, à 1981 ou aux années 90. Le choix importe peu ; le caractère irréversible, si.
Crom, je ne t'ai jamais adressé la moindre prière mais ces salauds d'euroschwabotarécolos reviennent à la charge pour s'en prendre maintenant aux animaux de compagnie, toujours sous le mensonger prétexte de sauver Gaia (vu chez Bonnal). Ils ont déjà convaincu la masse des gueux abrutis, "doomed to die", de très bientôt renoncer à tout ce qui fait une vie simplement tolérable -- quand eux, les dieux, n'abandonnent évidemment *rien* de leurs biens et pouvoirs. Que ces crétins déments exterminent une humanité imbécile et complice qui ne songe pas à se défendre, passe encore ; mais des p'tites bêtes qui n'ont rien demandé et qui ne peuvent se défendre, non.
Un bon mouvement, Crom : un véritable Astéroïde de l'Apocalypse, une gigantesque et imprévisible éruption solaire de la Fin des Temps, ou même le simple déclenchement accidentel de quelques dizaines de têtes nucléaires (Paris, Bruxelles, Berlin, Washington pour commencer...). The choice is yours !
La fin de *Knowing* sans la mièvrerie -- les nunucheries ne sauraient convenir à un vrai dieu.
;-)
[0] https://en.wikiquote.org/wiki/Charles_Maurice_de_Talleyrand-P%C3%A9rigord
[1] https://www.gutenberg.org/files/20564/20564-h/20564-h.htm
Écrit par : Blumroch | 27/08/2023
Dans la rubrique "Politicards, tous gamellards ; résistants, tous marchands", cette page, peut-être exacte, mentionnée par un commentateur chez nobody nowhere :
https://www.lelibrepenseur.org/enikma-la-nouvelle-magouille-de-la-secte-soralienne/
Comment disait le vieux Romain auteur du *Tonneau de l'Enéide*[1], déjà ?... Ah oui :
Quid non mortalia pectora cogis,
auri sacra fames ?
Pendant la fin du monde, les affaires continuent.
[1] Just joking.
Écrit par : Blumroch | 27/08/2023
Un peu de Couperin :
https://www.youtube.com/watch?v=S5nd0mx_fRM
(dans le livret du disque, passage très divertissant sur le clavecin utilisé)
Un peu d'Holborne :
https://www.youtube.com/watch?v=LCtkO7KXSIs
Écrit par : Blumroch | 27/08/2023
Ioutube n'ayant pas encore ajouté à ses pages le bouton "Je m'indigne, je dénonce à Ursula Breton", La Mite peut encore, pour le moment, explorer le pays du chaos rampant déconcertant :
https://www.youtube.com/watch?v=t5Epo3YEmYU
Bientôt, ce qui pourra tenir lieu d'"hébergement sécurisé" sera une tombe -- et encore, car avec des barbares ne respectant strictement rien...
Écrit par : Blumroch | 28/08/2023
Piqûre de rappel concernant ces bienveillants milliardaires résolus à avoir notre peau avec l'aide de leurs complices collectivistes et autres tarécolos. C'est ici un de leurs valets qui s'adresse à un mouton et lui expose le Grand Plan d'Asservissement :
//
Yet the test should be so simple : just listen to any prophet and if you hear him speak of sacrifice -- run. Run faster than from a plague. It stands to reason that where there's sacrifice, there's someone collecting sacrificial offerings. Where there's service, there's someone being served. The man who speaks to you of sacrifice, speaks of slaves and masters. And intends to be the master.
//
Traduction : si c'est bon pour eux, ce n'est pas bon pour nous.
Devise des [autocensuré] aux commandes grâce à la kronnerie majoritaire : "Honte de rien, peur de rien".
Écrit par : Blumroch | 28/08/2023
On sait le laquais Breton ami d'Anastasia comme d'Ursula, et surtout ennemi de tout appel à la révolte qui pourrait contrarier ses maîtres -- les visibles et les autres. Page à censurer d'urgence, donc :
https://fr.wikisource.org/wiki/La_R%C3%A9volte_des_anges
Existent des éditions *imprimées* de ce brûlot philosophique, qui exigeront la création de commandos spécialisés dans l'incinération des livres, pas si nombreux, peu susceptibles d'obtenir l'*imprimatur* de la Nouvelle Inquisition Européenne. Dans le contexte du réchauffisme militant, je suggère ce nom, qui fera sourire -- jaune -- les plus âges : "les brigades rouges Fahrenheit 451".
Écrit par : Blumroch | 28/08/2023
Le philosophe Georges Gusdorf avait prévu l'apparition du mauvais esprit platonicien qui sévit chez ioutube. La preuve ? Il nous avait donné en 1953 *Mite et métaphysique* (voir *supra*). ;-)
(Excellent bouquin soit dit en passant, qu'un fort improbable curieux trouvera, avec une autre orthographe, chez "Les classiques des sciences sociales" avec la *Rétractation* de 1983).
Écrit par : Blumroch | 28/08/2023
Blumroch > Joli morceau d'Holborne.
Écrit par : Pharamond | 28/08/2023
Un sur dix ; ça pourrait être pire. ;-)
Écrit par : Blumroch | 28/08/2023
Blumroch > Que dire pour les autres commentaires ?
Écrit par : Pharamond | 28/08/2023
Chaipamoi... par exemple, trouver rigolote l'idée des Brigades rouges Fahrenheit 451 pour en finir avec les vrais livres ; juger effarante le projet des tarécolos d'en finir avec les p'tites bêtes de compagnie (ils y reviennent tous les deux ou trois ans pour habituer les krons à cette idée, et un jour, on verra une belle loi scélérate ad hoc votée par des pourritures et appliquée par des ordures)...
Écrit par : Blumroch | 28/08/2023
Blumroch > Chaque jour qui passe nous enfonce un peu plus dans un cauchemar éveillé (woke ?) par mille délires auxquels les écrivains de SF les plus imaginatifs n'avaient pas songé, je ne sais plus quoi dire.
Écrit par : Pharamond | 28/08/2023
@Pharamond : Attention, tu vas redécouvrir la fin du *Tractatus* de Wittgenstein. ;-)
Écrit par : Blumroch | 28/08/2023
Blumroch > Je ne suis pas un intellectuel, je me contenterai un immense ras-le-bol.
Écrit par : Pharamond | 28/08/2023
En attendant la fin, quelques extraits de *La nef des fous* et du *Crépuscule des illusions* (on les trouvera chez certain site canadien célèbre, consacré aux "sciences" sociales). Les propos du franc-tireur Georges Gusdorf, professeur oublié ("Oubli, n. m. : Toujours injuste."), n'ont rien perdu de leur pertinence ; on verra facilement les analogies avec certains événements récents, jusque dans le respect des guichets permettant aux tribus de percevoir le tribut. Quant aux résultats, prévisibles, de la couardise et de l'apathie devant les manifestations du mal...
// Les ceusses à l'origine des problèmes ne sauraient prétendre les résoudre, sauf à vouloir nuire par deux fois... au moins.
On aura beau changer les institutions et constitutions, il est impossible, avec les mêmes hommes, de faire du nouveau.
// Un petit nombre de sauvages violents l'emportera toujours sur une masse apathique ou complice. Toute ressemblance épatatiépatata...
La révolte étudiante à Strasbourg ne se limita pas à ces délectations verbales. Un petit groupe résolu, à la pointe du combat, eut le courage de recourir à l'action directe pour faire valoir ses revendications. Bien entendu, les locaux universitaires se couvrirent d'un florilège d'inscriptions variées, auquel les murs blancs de la toute neuve faculté des Lettres offraient un support particulièrement favorable. Cette activité graphique n'avait à Strasbourg rien d'original ; elle appartient au folklore du mouvement estudiantin. Plus caractéristique est l'enlèvement d'une plaque scellée à la mémoire de Jean Cavaillès, jeune professeur à l'université de Strasbourg, l'une des figures les plus nobles de la Résistance, fusillé par les Allemands au cours de la dernière guerre. Sans doute voulait-on faire entendre que les valeurs incarnées par ce patriote victime des nazis ne s'accordaient pas avec la nouvelle éthique révolutionnaire.
Les locaux administratifs furent envahis. Chassé de son bureau, le doyen s'inclina de bonne grâce. Un peu partout, des portes furent fracturées, des collections de livres furent volées, des souvenirs universitaires disparurent ; la collection de disques de l'institut de Musicologie fut entièrement pillée. Les machines à écrire, à polycopier, à imprimer constituaient un butin de choix ; elles furent réquisitionnées pour être mises au service de la bonne cause. Bon nombre d'appareils furent purement et simplement sabotés et démolis. Les enragés s'en prirent même un jour à un innocent plafond, qui fut systématiquement arraché, élément par élément, en vertu d'une impulsion destructrice d'autant plus significative qu'elle était tout à fait gratuite.
Bien entendu, ces déprédations furent l'œuvre d'une minorité. Elles étaient désapprouvées par la grande masse des étudiants, y compris bon nombre de révolutionnaires qui ne voulaient pas cela, et le manifestèrent à l'occasion en votant des motions de blâme à l'encontre des «saboteurs». Mais ces motions étaient platoniques ; elles n'empêchaient pas les déprédations de se poursuivre la nuit suivante. Jamais la majorité ne se résolut à des gestes concrets à l'encontre des enragés. Quelqu'un qui assistait à la destruction du plafond, dont je viens de parler, m'a rapporté qu'elle eut lieu devant un groupe de témoins nettement hostiles. Mais le vandale mit ses camarades au défi de l'empêcher de poursuivre son étrange travail. Personne ne bougea. D'ailleurs un jeune collègue me déclara à ce propos : «Qu'est-ce que vous voulez, on ne fait pas la révolution sans casser quelques carreaux...» Les contribuables français payèrent la note, dont le montant ne fut pas révélé.
// "Eviter le pire", "accommodements raisonnables" : lâchetés certaines de susciter, à juste titre, le mépris universel -- toute concession mène au cimetière.
Le mot d'ordre des chefs de l'université était qu'il fallait «éviter le pire». En ce qui me concerne, je ne suis pas parvenu à comprendre le sens d'une telle formule, dont le résultat pratique était de laisser le champ libre aux plus excités des agitateurs. «Eviter le pire», telle avait été aussi la préoccupation du régime de Vichy sous l'occupation allemande : il fallait donner aux envahisseurs tout ce qu'ils exigeaient pour éviter qu'ils ne réclament encore davantage. Cette justification subtile n'a pas réussi à sauver Laval du poteau d'exécution ; il ne semble pas qu'elle ait auparavant atténué en France les horreurs de la guerre. Le pire n'est pas toujours sûr, et d'ailleurs la démission des responsables ne fait qu'encourager ceux auxquels ils sont confrontés à accroître encore leurs exigences. [...] Prétendre «éviter le pire», c'est peut-être le meilleur moyen de le susciter ; c'est, en tout cas, excuser ainsi toutes les dérobades.
Il est probable que l'exemple venait de très haut.
// Interruption de la révolution de 12h à 14h. La sportule continuera à être distribuée au guichet habituel.
Un professeur hongrois, interrogé par des étudiants désireux de savoir ce qu'il pensait de leur insurrection, leur répondit qu'il avait participé à plusieurs révolutions et à plusieurs guerres, mais qu'en aucune de ces circonstances historiques il n'avait constaté un arrêt total des opérations aux heures des repas, afin que chacun pût aller paisiblement consommer la nourriture servie dans les restaurants universitaires, à frais partagés par l'Etat. De fait, les bourses furent versées avec une régularité imperturbable au plus fort de la rébellion. Le bureau qui les distribuait fut le seul des locaux administratifs épargné par la vindicte étudiante, et l'on pouvait voir les «insurgés» prendre sagement leur place dans la file pour toucher l'argent de cet Etat bourgeois dont ils décrétaient chaque jour la totale suppression.
// Dans ce cas comme dans d'autres, analogues, la mafia étatique est complice.
Il est fort difficile de définir ce qu'est exactement un adulte -- c'est en tout cas quelqu'un qui prend ses responsabilités -- quelqu'un qui est responsable de ses actes. Qui casse les verres les paie, énonce un dicton d'adultes. Rien de plus infantile que la prétention à l'impunité : dépaver les rues, incendier les voitures, briser les vitrines, insulter la police et «casser du flic», convertir des bâtiments publics en cour des miracles et dégrader systématiquement les meubles et immeubles -- autant d'occupations que le citoyen adulte normal ne peut se permettre sans risquer des sanctions sévères. L'étudiant, pour sa part, revendique le droit de saccager et piller ses lieux de travail, de troubler l'ordre public sans risquer la moindre sanction ; l'amnistie est pour lui un privilège qui va de soi.
// Brillante idée d'émission télévisée : *La Science, c'est vous !* Bergier avait ri des lois de la physique mises au vote.
Un professeur de Sorbonne, évoquant les nouvelles perspectives de l'enseignement, disait : «Jusqu'à présent, je commençais mon cours sur Descartes en disant : Descartes est né en 1596. Désormais, je demanderai aux étudiants leur opinion sur cette date de naissance. L'un dira : 1793, un autre 1223, un autre 40 avant Jésus-Christ... On fera la moyenne, et on décidera que Descartes est né en 1813...»
// Déjà, l'Onfrayant et tous ces misérables normalienzagrégés qui, comme Campistron, pullulent sur tous les plateaux tivi en impressionnant un Brighelli trop prompt à voir de l'intelligence chez tous les notoires, comme ce Zemmour qu'il affecte de mépriser.
L'une des formes modernes de l'opium du peuple est cette infraphilosophie, cette philosophie du pauvre qui, dans ses divagations sans méthode, peut développer de brillants paradoxes sur n'importe quel sujet, avec la consolation de penser qu'ils seront oubliés bientôt après avoir été formulés. Cette littérature se dévalue en effet encore plus vite que la monnaie ; savoir d'actualité, savoir sur l'actualité, elle disparaît sans retour peu après avoir été consommée. Elle ne dure que le temps de faire illusion ; mais c'est déjà trop.
// N'empêche qu'à un moment, c'est le seul argument à opposer aux krons et autres nuisibles. Le dialogue humaniste n'est possible que si les deux camps sont composés de raisonnables.
J'entends bien qu'on va m'objecter que je n'ai rien compris. Les violents d'aujourd'hui ne se proposent nullement de réhabiliter les ignobles tortionnaires d'Auschwitz, de Ravensbruck, de Bergen-Belsen et autres lieux de sinistre mémoire, justement mis au ban de l'humanité. La violence que l'on exalte en ce moment est une violence hygiénique, saine et sainte, volontiers arrosée d'eau bénite. C'est une violence pour le bon motif, au contraire de la violence fasciste, laquelle était perverse dans son principe même, et manifestement démoniaque. D'un côté, donc, une violence au service des valeurs, de l'autre une violence qui impliquait le reniement de toutes les valeurs.
// Ah, quand même...
Sous un régime d'oppression, lorsque l'injustice établie s'appuie sur cette complicité que constituent pour elle l'apathie générale et la peur, alors l'insurgé, le résistant utilisent la seule voie qui leur reste : ils répondent au mal par le mal, à la violence par la violence, préférant tuer et mourir plutôt que de poursuivre leur vie dans la honte et l'indignité. La lutte contre l'oppresseur, contre le tyran est l'une des formes les plus hautes de l'honneur humain ; elle a toujours été reconnue comme telle.
// Pas mieux.
En démocratie, la minorité devait s'incliner devant la majorité, lorsque celle-ci avait formulé clairement sa façon de penser. C'est ainsi que des élections libres permettaient à un peuple de se prononcer et de choisir son destin. Ce principe de la majorité est remis en question aujourd'hui. Une minorité agissante, s'appuyant sur les techniques de la propagande, entreprend d'imposer sa volonté à la masse jugée invertébrée, et dont on espère qu'elle se laissera finalement séduire ou violenter par l'élite révolutionnaire. Celui qui sait ce qu'il veut, et le veut résolument, a toujours une bonne chance de mener à bon port le grand troupeau des indécis et des imbéciles.
// Cri du coeur poussé par le fils de bourge en révolte contre le monde moderne : "Pas touche à ma Jaguar !".
[...] les émeutiers parisiens, dans leur croisade contre la civilisation, renversaient et brûlaient les automobiles d'autrui, après avoir laissé leurs propres voitures dans un coin tranquille, à une distance suffisante des théâtres de leurs opérations.
// Astucieux.
L'écrivain communiste français Henri Barbusse publia jadis, sous le titre *Jésus*, une vie de Jésus, puisée aux bonnes sources. Dans cet évangile selon Barbusse, le messie hébreu était présenté, déjà, comme un meneur insurrectionnel. Or Barbusse, qui suivait d'assez près les textes sacrés, avait éprouvé quelques difficultés avec la parole fameuse : «Rendez à César ce qui est César», par laquelle Jésus recommande à ses disciples de payer le tribut à l'autorité occupante romaine. Le commentateur révolutionnaire s'en était tiré d'une manière particulièrement brillante : les pièces de monnaie étant faites du bronze qui sert aussi à fabriquer les épées et poignards, Jésus avait voulu engager ses auditeurs à prendre les armes contre l'occupant capitaliste et bourgeois. Je signale cette ingénieuse interprétation à nos vicaires de choc.
// Pas mieux non plus.
La révolution technique contemporaine fait de chaque conscience le centre d'un espace mental, que sillonnent sans arrêt les messages contradictoires des communications de masse. Entre les informations qui ne cessent de nous assaillir, il n'y a aucune commune mesure, aucune concordance essentielle. L'érotisme le plus agressif se mêle à la propagande politique, et l'intention commerciale à la spiritualité. Les moyens de défense intellectuels risquent à tout instant d'être submergés par les images qui s'adressent directement aux sens et à l'imagination. On peut d'ailleurs et on doit se demander ce que peut être la vie mentale de l'enfant en proie aux images avant même d'être capable de la moindre réflexion, sans cesse assailli, provoqué, pris au piège par des sortilèges sur lesquels il ne dispose d'aucun pouvoir de contrôle. L'adolescence d'aujourd'hui représente sans doute la première génération qui ait dû une bonne partie de sa formation aux écrans magiques des téléviseurs.
Captivé par ce jeu, l'être humain n'est plus qu'un corps mort, ballotté par les flots successifs de propagandes incohérentes. Il faudrait une force d'âme transcendante ou la sagesse d'un surhomme pour maintenir un peu d'ordre dans ce désordre qui est le rythme propre de notre existence. L'absence de sens est devenue le sens de la vie. L'homme-masse est un individu convulsionnaire en état d'épilepsie permanente.
// Le wokisme n'est pas une idée neuve en Europe.
Un jeune assistant, au début de l'année 1968, me contait qu'un étudiant, chargé par lui de commenter une page de Rousseau, l'avait interprétée à tort et à travers. Le professeur avait alors voulu lui faire comprendre que cette page de Rousseau avait un sens, le sens même que l'auteur avait voulu lui donner. Chaque mot, chaque expression devait recevoir la signification qu'une lecture attentive de l'œuvre permettait de lui attribuer, dans le contexte général de la pensée de Rousseau. Mais l'étudiant ne l'avait pas entendu de cette oreille : «J'ai bien le droit d'expliquer ce texte comme bon me semble. De quel droit m'empêchez-vous de faire usage de ma liberté ?» L'étudiant n'avait pas voulu en démordre et, furieux de l'oppression exercée par le maître, il avait renoncé à suivre les cours.
// Les catégories protégées par la mafia étatique ont changé d'origine, pas de nature.
Des enfants «bien élevés», s'il en existe encore, peuvent être rappelés à l'ordre, et même punis, s'il est permis d'employer ce mot suspect, au nom de la morale puérile et honnête qu'on leur a enseignée. Mais les enfants sans éducation, les dévoyés sauvages des banlieues, bénéficient de la liberté et de l'impunité accordées par nos sociétés à ceux qui se situent en dehors du droit commun. L'enfant bourgeois, dans le règne idéalisé de la raison, sera l'objet d'une sanction s'il dérobe une friandise qui ne lui avait pas été préalablement donnée ; mais le «loubard» de banlieue peut voler des bicyclettes et des motocyclettes, agresser les passants en toute sécurité, assuré que la police et la justice fermeront les yeux sur ces activités innocentes, qui font partie de son statut particulier. Le respect du bien d'autrui ne lui est pas opposable ; le vol est reconnu comme un droit de l'homme pour certaines catégories sociales, avec le consentement de la magistrature.
// Un propos qu'on doit encore, sauf erreur, pouvoir *citer*, mais qu'on ne pourrait probablement plus formuler aujourd'hui.
L'Européen d'aujourd'hui, et en particulier l'intellectuel, est toujours prêt à exalter les civilisations exotiques et à dénigrer la sienne. Il est de bon ton d'aller chercher des richesses enfouies dans les traditions africaines et d'exalter la culture arabe, composante admirable de l'ordre mondial. Or le monde arabe, depuis Avicenne, Averroès et Ibn Khaldoun n'a guère fourni de contributions notables au palmarès mondial des lettres et des arts, des sciences et des techniques ; on ne trouve pas de noms arabes parmi les prix Nobel de physique, de chimie ou de médecine, depuis qu'existent les prix Nobel. Cette constatation simple souligne que le monde islamique s'est endormi depuis des siècles laissant à d'autres le soin d'inventer l'aspirine et la pénicilline, la physique atomique et la relativité, la cybernétique et la bicyclette aussi bien que le transport aérien.
// Tout pour ceux qui ne {s|f}ont rien !
[...] le fait que certaines nations sont plus industrieuses, plus prospères que d'autres, peut être considérée comme une infraction aux droits de l'homme. Les mœurs politiques et sociales d'aujourd'hui pénalisent ceux qui travaillent et prodiguent encouragements et secours à ceux qui ne font rien.
// Et une panne d'Internet, donc...
Des techniques de plus en plus efficaces permettent d'intervenir directement sur la vie physique et mentale des individus en l'orientant dans tel ou tel sens souhaité. Toutes sortes d'agressions mettent en cause la conscience personnelle par la voie du sens auditif ou du sens visuel, sollicités et envahis par des incitations et excitations d'une violence toujours croissante. Acquisitions magnifiques du progrès technique, la photographie, le cinéma, la radio, la télévision et tous les moyens de ce qu'on appelle la communication de masse développent une hypersensibilité cosmique, harcelant l'être humain de sollicitations auxquelles il lui est toujours plus difficile de résister. Dès le deuxième tiers du vingtième siècle, les dictateurs totalitaires se servaient avec habileté de tous les moyens de la publicité et de la propagande pour imposer leur domination aux peuples fascinés et asservis. Ces moyens n'ont fait que croître et multiplier depuis lors, imposant à l'humanité un régime d'intoxication collective, auquel il semble impossible de résister, sinon en fermant les yeux et en se bouchant les oreilles. Ces technologies nouvelles sont devenues des éléments constituants de la vie quotidienne, suscitant de tels besoins que, s'ils cessaient d'être satisfaits, la masse des hommes souffriraient de carences suscitant une exaspération aux conséquences imprévisibles. Une panne de la radio, une interruption du service de la télévision entraîneraient sans doute des émeutes.
// C'est un disciple de Brunschvicg qui le dit...
Nietzsche est sans doute le premier à avoir prévu la faillite de la civilisation occidentale, perçant à jour l'illusion des positivismes à courte vue et les dangers de la démocratie ; il a dénoncé avec vigueur la mystification des savants, grands prêtres des masses modernes ; il a décrit les formes nouvelles d'une barbarie qui menaçait de submerger le monde industrialisé, victime de la médiocrité ambiante. Nietzsche a annoncé la mort de Dieu, c'est-à-dire l'impossibilité désormais de donner un sens intelligible à l'univers humain, que ne cautionne plus aucune Providence transcendante. De cette mort de Dieu résulte ensemble la mort de l'homme, dont le destin est lié analogiquement avec celui de Dieu, en vertu de la réciprocité entre l'anthropologie et la théologie, effacées conjointement dans l'universelle perdition du sens.
// Rien à ajouter. Les relais ont changé, pas les principes.
Nietzsche n'avait pas prévu le prodigieux développement des forces de décadence diagnostiquées par lui en son temps, qui était encore celui de l'imprimerie à diffusion limitée, par le livre et le journal. La puissance de l'intoxication collective a été multipliée dans des proportions qui échappent à toute évaluation précise par l'avènement des moyens de communication de masse. Le monde actuel est enfermé dans les réseaux d'une civilisation de l'image et du son, auquel nul ne peut échapper. L'individu est harcelé jour et nuit, interpellé du dedans et du dehors par les rumeurs planétaires qui sollicitent non seulement son intelligence mais aussi son imagination, sa sensibilité, ses pires instincts. Les messages à l'usage des masses doivent, pour atteindre leur but, être formulés dans le langage des masses, et mettre en œuvre les valeurs les plus banales c'est-à-dire les plus dégradées, les plus disqualifiées et les plus disqualifiantes. Il suffit, pour s'en convaincre, d'un coup d'œil jeté sur l'étalage d'un vendeur de journaux et de magazines proposés à la curiosité des foules. Les pédagogies aujourd'hui en faveur soutiennent que les meilleurs élèves de la classe, qualifiés péjorativement de «surdoués», font du tort aux médiocres et aux débiles. Il convient donc de freiner leur soif de connaissances et leur ardeur au travail, suspectes d'«élitisme», pour les aligner sur les moins aptes, selon la norme de l'égalitarisme démocratique. Le cinéma, la radio, la télévision contribuent de leur mieux à cette dégradation générale, condition indispensable à un succès populaire.
// Rare exemple d'un philosophe ne vouant pas le militaire aux gémonies.
Les incontestables vertus du guerrier font de lui un genre d'homme plus sympathique et estimable que bien d'autres types d'humanité.
// Leçon, anecdotique et inattendue, de captivité.
Lorsque j'entends aujourd'hui les beaux discours des diététiciens, je ne peux éviter de penser que nous avons vécu pendant cinq ans envers et contre toute diététique, sans nous en trouver plus mal, au bout du compte. A chacun d'en juger selon ses préjugés. Les peseurs de vitamines et de calories m'ont toujours paru un peu suspects ; ces fanatiques de l'alimentation équilibrée tiennent de l'idéologue, du mystificateur ou du trafiquant, sans doute un peu des trois à la fois.
// On y arrive.
Un jour viendra où une autre éminence ministérielle supprimera par décret un système très coûteux et le remplacera par un ordinateur central alimentant des millions de récepteurs de télévision dispersés à travers le territoire. Economie énorme : un seul professeur, le même pour tout le monde ; plus besoin de bâtiments ; chacun reste chez soi. De plus le professeur unique, dûment mandaté, pourra diffuser la doctrine du gouvernement.
// Insupportable élitisme.
Le droit à l'éducation est certes un droit imprescriptible ; mais l'institution universitaire est destinée à la sélection et à la promotion des plus aptes. Il y a des athlètes de l'esprit et des infirmes de l'esprit ; il est contraire au droit naturel de les mélanger dans les mêmes équipes avec d'autres plus doués, dont ils retarderont ou inhiberont les progrès. Même un idéologue socialisant, ennemi juré de l'élitisme, s'il s'agit de faire réparer sa voiture s'adressera à un mécanicien réputé pour son habileté plutôt qu'à un bricoleur célèbre pour ses erreurs et malfaçons. De même dans le cas où il doit avoir recours au dentiste ou au médecin. Les travaux de l'esprit requièrent une vocation et des aptitudes. Le système entier de l'enseignement procède, de bas en haut, à une distillation fractionnée des meilleurs éléments, peu à peu promus, selon leurs capacités, aux études les plus sévères. La justice, la démocratie dans ce domaine, c'est que chacun ait sa chance, et puisse s'avancer aussi avant que le lui permettent ses aptitudes personnelles.
// Faudrait jamais trop en savoir.
Un jour m'est tombée sous les yeux une lettre de Michelet à son ami Edgar Quinet, écrite au lendemain de la révolution de 1830. Pendant les journées de Juillet, Michelet se trouvait en vacances au bord de la mer. Rentré précipitamment à Paris, il a vite fait d'évaluer la situation ; il adresse à Quinet un billet le sommant de venir de toute urgence dans la capitale. Il y a des places à prendre, et les absents ont toujours tort ; il faut être là pour participer à la curée. J'avais toujours considéré Michelet comme un grand honnête homme, un tenant de la justice sociale et de la démocratie. Cette lettre a marqué pour moi son auteur d'une tache indélébile. Alors quoi, lui aussi...
// Attitude bien peu *moderne*.
Mais aussi, pourquoi s'obstiner à penser et à communiquer sa pensée, alors que personne ne vous le demande, et qu'on pourrait aussi bien jouir des bienfaits de l'oisiveté dans le contexte d'une civilisation qui met son honneur à suivre la pente de la dégradation et de la disqualification culturelles ? Un étudiant canadien me disait un jour : «On dirait que vous vous acharnez à dresser le bilan d'une culture en voie de disparition, peut-être pour le mettre à l'abri, le préserver jusqu'à des temps meilleurs, où il sera possible à des générations moins ingrates de renouer le fil...»
// Qui novi ? Nihil.
Seule l'ignorance générale du passé permet à bon nombre de ces inventeurs si pénétrés de leur propre génie d'affirmer qu'ils ouvrent une ère nouvelle dans le devenir des connaissances humaines.
// Que dire de ce siècle-ci, euroschwabotarécolo ?
Le vingtième siècle est le siècle le plus horrible de l'histoire, parce qu'il dispose de moyens techniques d'oppression, d'asservissement et d'extermination sans commune mesure avec ceux qui se trouvaient disponibles dans les âges antérieurs.
//
Écrit par : Blumroch | 29/08/2023
Pour l'essentiel, un énergique programme de redressement ne suscitant que peu de réserves :
https://everywherenobody.wordpress.com/2023/08/31/brics-45-de-la-population-mondiale-51-de-ressources-fossiles-30-pib-mondial-je-propose-un-programme/
Reste à trouver les équipes pour l'appliquer sans faiblesse, en ignorant les probables réactions de désapprobation. Va falloir inventer la machine à remonter le temps jusqu'à... très loin.
Écrit par : Blumroch | 31/08/2023
Blumroch > Amusant le programme proposé, mais pas très crédible.
Écrit par : Pharamond | 31/08/2023
@Pharamond : C'est comme la *Décentralisation* d'Alphonse Allais : faudrait essayer.
Écrit par : Blumroch | 31/08/2023
Face au nombre toujours plus grand des lois et décrets ayant pour but de nous asservir totalement et définitivement pour obéir aux ordres de la Schwabian Society, plusieurs candides parient sur l'augmentation du nombre de "résistants". Ce sera le contraire, sans oublier que la "résistance" à coups de clics déterminés, de décapants retouittes et d'exhaustives revues de presse n'est pas d'une efficacité extraordinaire. En face, ils doivent bien en rire. Vérification au prochain coronacircus ou à la fin de la propriété privée, en attendant les autres mesures inacceptables qui seront pourtant parfaitement acceptées par le bétail concerné. Face au triomphe du mensonge et de la kronnerie, il n'y aura rien et pire, il n'y aura presque personne.
Bonnal a raison de conseiller de faire des stocks de bouffe aux insectes ou, pour les plus chanceux, de quitter vite la planète en demandant l'asile politique à d'éventuels amis extra-terrestres. Ces deux recommandations étant certainement plus efficace que la prière. ;-)
Si quelqu'un a une machine à remonter le temps... (et pas celle de la nouvelle de Bester[1], *The Men Who Murdered Mohammed* :
https://en.wikipedia.org/wiki/The_Men_Who_Murdered_Mohammed
[1] Comparatif d'un superlatif, fallait l'faire. ;-)
Écrit par : Blumroch | 01/09/2023
edit/fix : "efficaces"
La nouvelle de Bester figure au sommaire de l'anthologie *Histoires à rebours* (Livre de Poche)
Écrit par : Blumroch | 01/09/2023
Intermède musical inattendu découvert grâce à une page de "résistance républicaine" :
https://www.youtube.com/watch?v=BKezUd_xw20
https://www.youtube.com/watch?v=37uHqbWccY0
Pas certain que ces dames et leurs spectateurs trouvent leur place dans le nouvel ordre euroschwabien du monde.
Écrit par : Blumroch | 01/09/2023
Blumroch > je veux bien, mais il faudrait des moyens que nous n'avons pas et que nous n'aurons jamais.
Ce n'est pas nous pour nous-même qui leur faisons peur, mais nous en tant que média de la réalité qui elle leur fait peur.
J'avoue ne jamais avoir été grand amateur de ce genre de numéros qui mélangent les genres.
Écrit par : Pharamond | 01/09/2023
Anecdotique mais rigolo : annulation du festival ricain "Burning Man" en raison d'une sécheresse asymptomatique :
https://echelledejacob.blogspot.com/2023/09/secheresse-asymptomatique-dans-le.html
Plus drôle encore, la brève "BURNING RAINMAN", ici :
https://www.takimag.com/article/the-week-that-perished-257/
Ces faux révoltés n'ont apparemment jamais eu l'idée de s'inspirer de la fin de *The Wicker Man* (celui de 1973) -- en remplaçant le flic par un schwabien se prenant pour une lumière, par exemple.
Écrit par : Blumroch | 03/09/2023
Ze Moth of the Week :
https://www.youtube.com/watch?v=uezuCwDjAUY
Écrit par : Blumroch | 04/09/2023
test
Écrit par : Pharamond | 04/09/2023
test
Écrit par : Pharamond | 04/09/2023
@Pharamond : Si c'est un test pour détecter les doublons, c'est un échec. ;-)
Écrit par : Blumroch | 04/09/2023
Blumroch > :-)
Non, je viens de changer de PC et j'avais un problème pour me connecter sur H&F.
Écrit par : Pharamond | 04/09/2023
Blumroch > Amusante l'anecdote sur Burning Man qui devrait changer de nom.
Pas encore vu La Mite, je suis en train de transférer les dossiers de mon ancien PC et de télécharger diverses choses.
Écrit par : Pharamond | 04/09/2023
test
Écrit par : Pharamond | 04/09/2023
@Pharamond : Un malheur informatique ?
Écrit par : Blumroch | 04/09/2023
Blumroch > Non, j'ai gardé mon ancien PC 10 ans, j'ai un peu de mal à m'adapter au niveau.
Écrit par : Pharamond | 04/09/2023
@Pharamond : Garde l'ancien ! J'ai toujours mon P2-233 de 1997. ;-)
Écrit par : Blumroch | 04/09/2023
Blumroch > Pour en faire quoi ?
Écrit par : Pharamond | 05/09/2023
@Pharamond : PM demain ! ;-)
Écrit par : Blumroch | 05/09/2023
Blumroch > ça marche ;-)
Écrit par : Pharamond | 05/09/2023
Les commentaires sont fermés.