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27/06/2023

Musique (652)

You left me in the dark

Victoriya

I walk with ghosts

Scott Buckley

Commentaires

Détournement facile.
//
Le résistant n’est qu’un rouage, le plus faible du monde moderne ; mais c’est un rouage pensant. Il ne faut pas que le WEF entier s’arme pour l’écraser. Une loi, un paramètre suffit pour le tuer. Mais quand le WEF l'écraserait, le résistant serait encore plus noble que ce qui le tue ; parce qu'il sait qu'il meurt ; et l'avantage que le WEF a sur lui, le WEF n'en sait rien.

Ainsi toute notre dignité consiste dans la résistance physique. C'est de là qu'il faut nous relever, non de la résistance virtuelle à force de billets, touittes et vidéos. Travaillons donc à résister énergiquement. Voilà le principe de la morale.
//
En attendant, la victoire revient au WEF, qui d'ailleurs a imprimé sa marque sur ses victimes et s'en moque... germaniquement.
Tous les habiles sophismes de l'immense Blaise P. n'y pourront rien. La victoire qui n'est que morale s'appelle une défaite.

Pour l'original qu'on a pu oublier, c'est ici :
https://fr.wikisource.org/wiki/Pens%C3%A9es_(Pascal)/2e_%C3%A9d._Desprez/Texte_entier

Écrit par : Blumroch | 28/06/2023

Blumroch > Je crois que le temps des mots touche à sa fin, ce sera l'action ou la nuit, et je vois le jour baisser.

Écrit par : Pharamond | 28/06/2023

@Pharamond : On peut tuer en silence, quel que soit le camp.

Écrit par : Blumroch | 28/06/2023

N'aurais-je pas eu la lubie de vérifier rapidement l'existence d'une citation attribuée à Euripide -- apparemment forgée -- dans un épisode du feuilleton *Lewis*, que j'aurais ignoré cette facétie pour vieux khagneux et assimilés :
https://remacle.org/bloodwolf/tragediens/euripide/Phedre.htm
La fin rappelle un poème d'Alphonse Allais.

Écrit par : Blumroch | 28/06/2023

Chez nobody nowhere, article réjouissant qu'on trouvera facilement en rétablissant un mot autoeurocensuré par précaution : "Quand vous tuez un [***] en France qui ne respecte pas la loi..."
Partir, encore partir, toujours partir... mais pour où ?
Les milichiens que le régime ne soutient pas -- ne fait même pas *semblant* de soutenir -- soutiennent toujours, eux, le régime. Go figure...
Impossible de savoir si les gamellards frontistes ont participé, comme les autres, à l'émouvante minute de silence.
Observation banale, mais vraie : si les soulèvements et émeutes avaient pour protagonistes de vrais autochtones, la riposte serait bien différente, et on les verrait enfin en action, ces beaux véhicules blindés équipés de mitrailleuses à 1000 coups par minute. Oubliant le concert donné par Elton John, foutriquet 2.0 irait bredouiller une martiale déclaration *officielle* de guerre au peuple français ou à ce qui en reste.
Grande époque où tout aura été médiocre, des victimes aux assassins, sans oublier les spectateurs.
Damn, la journée commence déjà bien et je n'ai pas encore jeté un oeil au site de Bonnal... ;-)

Écrit par : Blumroch | 29/06/2023

Blumroch > C'est le salut par la foi revue et corrigées par les demi-dieux de l'oligarchie mondialiste et de leurs apôtres. Peu importe les actes seuls une soumission au dogme compte. Le jésuitisme acrobatique des médias et des salons parisiens est là pour rassurer le fidèle. Religion formidable dans laquelle il n'est nul besoin de prier, seulement de fermer les yeux.

Écrit par : Pharamond | 29/06/2023

Quand ils ont fermé les comptes de Nigel Farage, je n'ai rien dit -- eh, j'aime Ursula et j'étais opposé au Brexit.
Quand ils ont autorisé le tir à vue sur les gens avec des lunettes, je n'ai rien dit -- eh, je ne lis pas de livres et j'aime netflix.
Quand... -- pour la suite, voir Niemoller en essayant d'oublier le caractère méprisable du texte.
https://news.sky.com/story/nigel-farage-claims-his-bank-accounts-are-being-closed-without-explanation-12912144
Les taxis notent les clients, les clients notent les taxis comme ils notent les commerces, le fric des hoi polloi -- d'ailleurs dépossédés de leurs biens -- aura une date d'expiration, les ethniques laissent libre cours à leur rage animale avec l'aide du régime qui, responsable de leur présence, n'entreprendra rien contre eux (comme disait Bonnard, le bourgois aime l'anarchie -- pour le pecus vulgare -- et les milichiens -- pour sa défense).
Et tous ces [autocensuré] de gammellards d'offrir à foutriquet 2.0 le statut dont rêvent ses maîtres : Diktant à vie -- voir le *Voyage en Absurdie*. On verra le permis de vivre à points (a.k.a. "crédit social") bien avant la fatidique année 2030 chérie par Schwab et sa clique.
Quand on aura mérité le statut d'*unperson*, on ne le restera pas très longtemps. Je vois bien le dément autoriser la chasse, évidemment télévisée, à l'anticonformiste. On deviendra, pour un temps assez bref, le héros d'un film dystopique de série B.
Et les krons trouveront tout cela très bien.

Écrit par : Blumroch | 01/07/2023

Dans "Viva Il Duce !" du 15 juin 2018, ce commentaire d'actualité avec un peu d'avance :
//
Vous oubliez le principe qui les régit, ces braves gens : "Nous ne sommes pas des salariés comme les autres, nous avons une noble mission qui nous dépasse et qui dépasse nos maîtres" (Ayn Rand l'a bien exprimé avec le personnage d'Elsworth Toohey et la grêve du personnel de *The Banner* contre Wynand). A en croire n'importe quel journalope, son patron, c'est sa conscience et, à la rigueur, son devoir de médiation entre le public (tous des crétins) et la Vérité (forcément gauchiste). Ce qui va avec l'intériorisation de la censure qui n'est même plus vue comme censure, puisqu'un seul point de vue est légitime, en attendant d'être le seul "légal".
Je respecte la règle des 80/20 mais dans ce cas, je pense que 95/5 serait plus exact. Et les 5 pour cent ne seraient pas exactement nationalistes.
//
Apparemment, c'est aujourd'hui 98/2. Dans un monde normal, le patron du JDD aurait viré la rédaction entière pour la remplacer facilement par des *employés* plus efficaces, moins nombreux et surtout plus conscients des réalités : on travaille pour un patron ; qui paie commande ; et si on n'est pas content, on démissionne.
Et pendant ce temps, Méchancon prétend interdire à sa clientèle la destruction de quelques bâtiments, leur laissant ainsi, implicitement (il se croit très malin), la liberté de piller et détruire tous les autres. Dans un monde normal, il serait déjà face à un peloton d'exécution avec ses complices.
Un recueil d'Alphonse Allais s'intitule *La vie drôle*. Pour relater nos derniers moments, c'est *La vie pas drôle* qui s'imposera.
J'ai la flemme de chercher mais je crois avoir annoncé la fin des blogs pour la fin de l'année. Cela ira peut-être plus rapidement, comme tout. 2030, c'est peut-être 2025.

Écrit par : Blumroch | 02/07/2023

Fourni par PunMaker en mode almanach Wormword : Naheul ? Beurk !
C'est un approximatif résumé de la situation qui en vaut bien d'autres.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Donjon_de_Naheulbeuk

Écrit par : Blumroch | 02/07/2023

La Mite, moins féroce que je ne l'aurais pensé, attribue encore une force au réel :
https://youtu.be/HK4iKZoIdJU
C'est toujours mieux que les désarmantes mièvreries des Poulin et Aldo. Quant à la candide Ventôse, signalée par Paul-Emic, elle se montre moins kronne que Branconno qui parvient à l'emporter sur la championne Sandrine.

Écrit par : Blumroch | 03/07/2023

Quand foutriquet 2.0, martial, avait déclaré "Nous sommes en guerre", plusieurs mauvais esprits avaient précisé "contre les Français". Eh bien, cette fois, nous sommes en guerre contre les Anglais. Combien de temps avant de voir Douarphe Moussa capituler ?

Écrit par : Blumroch | 03/07/2023

Blumroch > La mite dit simplement : "Le seul côté positif est que chaque minute supplémentaire qui s’écoule dans cette situation est cent fois plus efficace que tout ce que je pourrais dire." Mais comme ses vidéos ont une efficacité nulle (elle ne prêche que els convertis et les autres s'en moquent) il n'est pas réellement optimiste car cent fois rien égale rien.

Écrit par : Pharamond | 03/07/2023

100 x 0 = 0, mais 100 x 0,000000001 ? ;-)
La réalité n'a plus aucune importance depuis longtemps, pour les ceusses qui avaient déjà compris comme pour les ceusses qui ne comprendront jamais.

Judicieuse -- et donc déprimante -- analyse de la situation par Paul-Emic :
https://polemiquepolitique.wordpress.com/2023/07/04/vous-venez-dassister-a-une-repetition-grandeur-nature/#comments
La réponse de la mafia étatique aurait évidemment été sanglante avec de simples Français ordinaires (le moment Ferry), mais c'est un point de détail dans ce tableau sinistre.

Écrit par : Blumroch | 04/07/2023

Sous les signes de *L'année dernière à Marienbad* et d'*Alphaville* :
https://www.youtube.com/watch?v=0DjHKqb365A
https://www.youtube.com/watch?v=G6Kspj3OO0s
https://www.youtube.com/watch?v=QXctSjshB1M
Bientôt, on donnera dans le *Dies Irae* et le *Requiem*.

Écrit par : Blumroch | 04/07/2023

Instructif :
https://fee.org/articles/un-deletes-article-titled-the-benefits-of-world-hunger-was-it-real-or-satire/
"Hungry people are the most productive people, especially where there is a need for manual labour."
L'hommage à la modeste proposition de Swift est peu probable dans ce réconfortant exemple de cynisme et de morgue tranquilles. Ayant tombé le masque, les maîtres osent enfin parler en maîtres et non plus en démagogues, et ils ont bien raison : même confrontée aux textes schwabiens, la populace n'en croit pas ses yeux et ne sort toujours pas, massivement, les fourches.
Vrai que dans un monde où 300 [autocensuré] "mineurs" peuvent sereinement piller et presque détruire une petite ville devant 35 flics adultes *obéissants* dépourvus de courage...

Écrit par : Blumroch | 04/07/2023

Blumroch > Texte intéressant de Paul.Emic, mais je ne crois pas en la préparation de quoi que ce soit de ces mystérieux organisateurs. Pour qui ? Pourquoi ?

Sympathiques variétés au charme un peu surannée.

Écrit par : Pharamond | 04/07/2023

@Pharamond : Test en conditions réelles.

L'atmosphère des deux premiers clips est réussie.



// AUREA MEDIOCRITAS
L'on peut tenir à peu près pour certains ces deux points-ci, à savoir :

1. Que le médiocre est ce qu'il y a de plus avantageux dans les facultés de l'esprit.
2. Que beaucoup de qualités sont des défauts, que beaucoup de défauts ou de vices sont des qualités.

Si, par une faveur d'en haut, vous aviez le pouvoir de choisir entre toutes les qualités et tous les talents, il est à présumer que, séduit par les apparences, vous opteriez pour quelqu'une de ces facultés brillantes auxquelles le monde paraît attacher un certain prix. Ce serait cependant un très mauvais calcul ; car il est avéré que les petites qualités sont infiniment plus utiles que les grandes et que les grands talents sont loin de valoir les petits. Echangez donc beaucoup de savoir contre un peu d'habileté, beaucoup d'esprit contre un peu de sens commun, beaucoup de profondeur contre un peu de surface, quelques avantages extérieurs contre n'importe quoi. Avec quoi attire-t-on la foule sinon par de petits moyens et des artifices grossiers ?

// AUREUS STULTUS AUT KRONNUS
Il est très porté, surtout en France, de parler avec dédain de ce qu'on appelle les sots ! C'est une locution tout à fait insupportable ; les sots sont des gens qui réussissent, qui parviennent, qui s'enrichissent, qui sont bien appointés, bien établis, des gens en place, des gens titrés, nouvellement décorés, des députés, des gens de lettres en renom, des académiciens, des journalistes. Peut-on jamais être un sot quand on fait si bien ses affaires ? Évidemment non.

Une femme au-dessus du commun, dont la destinée fut tragique, résumait ainsi les impressions que lui avait fait éprouver la vue des hommes de son temps :
"La chose qui m'a le plus surpris depuis que l'élévation de mon mari m'a donné le moyen de connaître beaucoup de personnes, et particulièrement celles employées dans les grandes affaires, c'est l'universelle médiocrité, elle passe tout ce que l'imagination peut se représenter, et cela dans tous les degrés, depuis le commis jusqu'au ministre, au général et à l'ambassadeur ; jamais, sans cette expérience, je n'aurais cru mon espèce si pauvre."

// QUESTION D'ECHELLE
La philosophie ne répond que des individus, mais la religion répond des masses.

// 4*1=1
A un sot qui se vantait devant lui de savoir quatre langues : Je vous en félicite ; vous avez quatre mots contre une idée.

// REPUTATION REVISEE
Machiavel est à la mode. "Machiavélique" est un adjectif flatteur. Il est étrange que certains prennent pour professeur de succès cet homme qui a tout raté.
On l'appelle pompeusement le secrétaire florentin. Il était chef de la deuxième chancellerie, c'est-à-dire chef du bureau des Affaires secondaires et assez mal payé, envoyé de temps à autre en mission au-dehors, sans pouvoir toujours se faire rembourser ses frais de voyage. Il s'attache à Solderini, gonfalonier à vie. Soderini est renversé, Machiavel révoqué, emprisonné, passé trois fois à l'estrapade, finalement relâché mais suspect aux deux camps : à l'un parce qu'il a été emprisonné, à l'autre parce qu'on l'a libéré. Le voici solliciteur. Il dédie *Le Prince* à Laurent de Médicis. Il présente au pape ses *Histoires florentines*. Peine perdue. Enfin, on l'écoute à Rome ; il décroche un emploi, mais c'est quand la galère pontificale commence à faire eau qu'il s'y embarque. Charles-Quint prend Rome. Machiavel disparaît, n'ayant rien été.
Si. Il a eu deux succès : il a gagné une fois à la loterie vénitienne et pendant un carnaval il a fait jouer une comédie à demi obscène, *La Mandragore* qui a été applaudie. Si c'est ça le machiavélisme...
Et son héros ? L'infaillible, le glorieux, l'admirable César Borgia ? Fils de pape, il devait tout au pape. Alexandre VI mort, il n'est plus rien. Dépouillé, emprisonné, il est expédié en Espagne par Jules II. Chef de mercenaires au service du roi de Navarre, il est tué obscurément. Si c'est ça le machiavélisme...

// LUCIDITE
Seuls les pessimistes sont gais parce qu'ils sont seuls à avoir de bonnes surprises, seuls à prendre le monde pour ce qu'il est peut-être, une vaste sottise.

// ELOGE DE LA MUSELIERE
Depuis un certain nombre d'années, la notion de liberté tend à se confondre avec celle du pouvoir. Il est donc très logique que les détenteurs du pouvoir tiennent ceux qui veulent les remplacer pour des ennemis de la liberté et la leur refusent pour mieux se défendre. C'est toute l'histoire de la radio et de la télévision dites françaises.

// QUE LES NUISANCES SE TIENNENT HAUT ET LOIN...
Une bonne hygiène veut que l'on s'abstienne de voir, de lire, d'entendre certaines choses. L'énergie que l'on userait à se protéger contre elles est mieux employée à réfléchir et à vouloir. Réagir, c'est déjà aliéner au profit d'autrui une partie de sa liberté. Il n'est pas facile de se soustraire aux propagandes, aux mensonges, aux campagnes orchestrées. Il faut s'y appliquer pour devenir soi-même au lieu d'être le simple "négatif" d'une société envahissante.

// LES 1001 NOMS DU COLLECTIVISME
La socialisation des biens annonce la socialisation des personnes et des pensées. C'est la marche naturelle du jacobinisme, comme du communisme.

// JURIDISME
Tous les usurpateurs veulent conserver par des lois ce qu'ils ont pris par les armes.

// ANATOLE !
Personne n'est plus étonné qu'un révolutionnaire qui voit faire une révolution contre lui.

// HUMOUR
... ces vastes territoires où le coup de pistolet dans la nuque est la forme courante de l'encéphalite, et l'égorgement celle de la laryngite.

Écrit par : Blumroch | 04/07/2023

Blumroch > "Test en conditions réelles." Mais pour qui et pourquoi ?
Les émeutiers ne sont que des membres de la société arc-en-ciel un peu trop pressés. Le Système en n'a pas vraiment besoin, ils sont une marge embarrassante, mais impossible à amputer de la population néo-française.

Écrit par : Pharamond | 04/07/2023

@Pharamond : Faire régner la peur, c'est essentiel. Suffit de voir les réactions de la mafia étatique et de ses relais.

Un peu de détente avec ce bel éloge d'un film sans doute admirable mais que je n'irai jamais regarder :
https://www.youtube.com/watch?v=0kxD08S1qok
C'est du foutriquet 2.0 : pour reconstruire selon les voeux des euroschwabotaréscolos, faut tout détruire d'abord.

Écrit par : Blumroch | 04/07/2023

Blumroch > Nos maîtres n'ont pas besoin de ces hordes incontrôlables pour tenir la population.

Écrit par : Pharamond | 04/07/2023

@Pharamond : Elles semblent parfaitement contrôlées -- on ne déplore aucune destruction chez les maîtres du régime, et aucun ministricule ne semble avoir souffert.
En attendant, les ordures des assemblées adoptent loi liberticide sur loi liberticide, tranquillement.

Écrit par : Blumroch | 04/07/2023

Blumroch > Nos maîtres vivent dans des forteresses et ne se risquent pas à aller à la rencontre du réel. Les émeutiers sont des pillards sans conscience politique autre qu'un sentiment de revanche envers le babtou. Ils vont au plus facile.

Écrit par : Pharamond | 04/07/2023

@Pharamond : Voici un autre avis :
https://counter-currents.com/2023/07/the-worst-week-yet-134/

"You can see rioters sawing down light poles. Burning down schools, buses, police stations, and town halls. Looting stores. Shooting at police. Openly toting assault rifles in a country that does not permit citizens to own them.

This does not appear to be your normal riot. Riots are more haphazard. This looks more like a war with organized, gun-toting jihadists clad in black and ready to wreak vengeance against an ancient enemy — on enemy soil. Why, it’s almost as if they were waiting for this to happen."

"Almost" est prudent.

Écrit par : Blumroch | 04/07/2023

Jadis, les bandits offraient ce faux choix, d'abandonner sa bourse ou de perdre la vie. Aujourd'hui, les [autocensuré] de la mafia étatique *suggèrent* de renoncer à la liberté ou de crever sous les coups des [autocensuré]. Tout est affaire de contrainte.

Écrit par : Blumroch | 04/07/2023

Blumroch > Chacun a l'avis qui lui convient. Le mien est que dans un pays qui n'a plus de frontières et qui se fait envahir par des populations largement hostiles ce qui se passe est tout à fait normal et logique. Qu'il y ait une manipulation du pouvoir derrière je n'y crois pas du tout. Le pouvoir est coincé entre agenda mondialiste à tenir et maintien de l'ordre "républicain", il fait ce qu'il peut avec son incompétence intrinsèque.

Écrit par : Pharamond | 05/07/2023

@Pharamond : L'invasion est organisée depuis des décennies par l'étatique agence de voyages et ses filiales ; les conséquences sont délibérées ; les tests du dispositif ne doivent rien au hasard -- contrairement, sans doute, au coronacircus déclenché par hasard avant que tout ne soit prêt et dont le succès a probablement surpris jusqu'à ses organisateurs.
Il y a de l'imprévu dans l'histoire, mais il n'y a pas *que* de l'imprévu. ;-)
Dernière ligne droite avant l'arrivée : ils accélèrent. C'est la même chose dans les jeux vidéo de courses automobiles, qu'il faudrait interdire au même titre que les GTA et assimilés.

Écrit par : Blumroch | 05/07/2023

Blumroch > Bien sûr l'invasion est organisée, mais les conséquences sont aléatoires (même s'il n'est pas utile d'avoir une boule de cristal fonctionnelle pour deviner à quoi ce que cela va donner). Alors nos laquais gèrent à la petite semaine.

Écrit par : Pharamond | 05/07/2023

Parmi les dictatures ratifiées par les immortels électeurs crétins, on néglige trop celle d'un Napoléon III programmé par une mère habile. Dans *Les dictateurs*, Bainville raconte :
//
Le testament politique d'Hortense est un chef-d'oeuvre de sens pratique et d'audace : «Le rôle des Bonaparte, disait-elle, est de se poser en amis de tout le monde. Ils sont des médiateurs... Ne nous fatiguons jamais d'affirmer que l'Empereur était infaillible et qu'il y avait un motif national à tous ses actes... On finit par croire ce qu'on dit à satiété... En France, on a facilement le dessus dans les discussions quand on invoque l'histoire. Personne ne l'étudie et tout le monde y croit... Je vous l'ait dit : surveillez l'horizon. Il n'est comédie ou drame qui, se déroulant sous vos yeux, ne puisse vous fournir quelque motif d'intervenir comme un dieu de théâtre.» Et pour finir : «Le monde peut bien être deux fois pris au même lacet.»
//
Cynisme facile, intemporel, efficace quand on règne sur une population d'abrutis situés à *tous* les degrés de la pyramide sociale. Le fils écrivait un pathétique mémoire sur l'extinction du paupérisme après dix-huit heures ; la mère rédigeait un manuel de chasse au pigeon électeur.


Le chapitre consacré à Mustapha Kemal alias Attaturk vaut son pesant de loukoums. On y voit l'estimable et habile dictateur modifier de manière radicale, à marche forcée, la société turque, commençant par supprimer le khalifat avant de séparer église et état -- sans pourtant susciter de grandes protestations : "Mustapha abolit le petché et le tchartchaff, c'està-dire la robe turque et le voile qui couvre le visage des femmes. Depuis longtemps déjà, on luttait pour l'émancipation de la femme musulmane. [...] il a supprimé, dans les salles de spectacles, dans les trains, la séparation des deux sexes ; il a autorisé et encouragé la formation des actrices turques ; il a permis aux femmes de danser en public avec des étrangers. Si l'émancipation politique n'est pas encore faite, l'émancipation sociale est déjà accomplie."
Mieux encore, "Mustapha a traité avec dérision le fameux livre de l'Islam. Il l'a envoyé par-dessus les moulins. Le Code civil turc découlait du Coran. Mustapha, ayant séparé le pouvoir temporel du pouvoir spirituel, chercha un Code suffisamment moderne pour l'appliquer à la Turquie. En 1926, sans discussion, et par un seul article de loi, le Code suisse (qui date de 1912) fut adopté à l'unanimité par l'Assemblée nationale, sans aucun changement afin d'éviter des discussions interminables."
C'est ensuite l'histoire qui va être révisée : "Après la rupture définitive avec le khalifat et avec les usages coraniques, Mustapha Kemal tenta de briser tout lien avec les princes osmanlis. Alors que pour un Européen le passé de la Turquie semble ne faire qu'un avec le passé des sultans, Mustapha Kemal fit rédiger des manuels d'histoire où une vingtaine de pages suffisent à résumer quelques siècles."
Cherchant des ancêtres prestigieux pour son grand peuple, il attribue ce rôle aux Hittites "et fit enseigner leur histoire qui, reconnaissons-le, pose plus de problèmes qu'elle n'en résout. Par la suite, on devait remonter plus haut dans la chaîne des temps, et découvrir les Sumériens. La mode fut aux Sumériens, la grande banque turque s'appela «Sumerian Bank»".
Mais la réforme la plus étonnante est d'ordre linguistique : "Peu à peu, on devait faire disparaître de la langue turque tout ce qui pouvait avoir une origine arabe ou persane. Ce qui peut sembler étonnant, c'est que le peuple entier collabore à cette oeuvre sans précédent dans l'histoire. On s'ingénie à trouver des mots, à ressusciter d'anciennes formes. C'est ainsi que peu à peu se constitue une nouvelle langue."
Cette lubie n'est pas sans inconvénients : "personne ne comprend rien au nouveau turc, création artificielle, il faut l'apprendre comme on apprend l'espéranto. Quoi qu'il en soit, cette entreprise étrange, et un peu effrayante, est certainement la plus originale de toutes les réformes de Mustapha Kemal."
Comme notre tyran, "il [le maître de la Turquie modernisée] peut tout se permettre". La conclusion de Bainville est savoureuse : "il [Attaturk] fournit la preuve qu'un dictateur puissant peut faire faire aux peuples à peu près tout ce qu'il veut et, qu'ils le désirent ou non, changer leurs moeurs et leurs habitudes du jour au lendemain. Je ne crois pas que cette manière d'introduire des réformes plairait aux Français, à qui la Révolution elle-même n'avait pu imposer de nouveaux noms de mois, pourtant très harmonieux."
La réflexion ne concerne évidemment, et avec des réserves, que les Français d'avant ; pour ceux de ces temps maudits, transformés en esclaves, on peut malheureusement avoir des craintes. "Quand on veut, on peut", c'était un proverbe pour une autre époque -- peut-être faut-il le réserver à Schwab et à ses amis.


Le portrait de Benito M. irait contrarier nos progressistes, ne serait-ce que pour cette observation de Bainville : "De l'instinct de conservation naturel aux hommes et aux sociétés, naquit le fascisme, élément de résistance contre les forces de mort qui menaçaient l'Italie."
De tels traits suffisent aujourd'hui pour condamner, aux yeux des bons esprits obéissants, un homme : "Dans sa vie de militant, il [Benito M.] a déjà pu observer qu'il existe deux sortes de révolutionnaires : ceux qui servent la révolution et ceux qui s'en servent pour «arriver» et pour s'enrichir. Passionné pour les idées, il ressent le plus grand dégoût pour ceux qu'il appelle «les parasites» des luttes sociales. Son aversion pour les politiciens date de là." Un vrai nationaliste socialiste, comme le démontre ce programme inconcevable pour tout bon serviteur de Klaus et Ursula : "Réforme de l'État par la décentralisation ; restriction des attributions parlementaires aux problèmes qui intéressent l'individu comme citoyen de l'État et l'État comme organe de réalisation et de protection des suprêmes intérêts de la nation ; création d'un système de corporations ; restauration du prestige intérieur de l'État ; affirmation des droits de l'Italie à sa complète unité historique et géographique même là où elle n'est pas encore atteinte ; reconnaissance de la propriété privée ; mesures sociales propres à faire disparaître la lutte de classes par la reconnaissance juridique des organisations ouvrières et patronales avec les responsabilités qui en dérivent ; mesures de tous ordres destinées à assurer à tous ceux envers qui l'Etat a contracté une dette, anciens combattants, mutilés, fonctionnaires, l'exécution de ses engagements."
Bainville a bien conscience des dangers de ce "beau modèle" : "Avant de songer à copier il faut savoir ce que l'on copie. Le coq gaulois n'a pas ce qu'il faut pour téter la louve Romaine."


Et pour finir sur une note musicale, cette fine réflexion relevée dans le dernier chapitre : "Sans les chants des sections d'assaut, que serait le dolfisme ?"


Bainville aurait eu des collaborateurs pour *Les dictateurs* -- Brasillach, Blond... On se demande a qui il aurait attribué le *pensum* de rédiger l'appendice consacré à la dictature foutriquétiste médiocre, corrompue et sotte. Que les titulaires de c.n.i. la tolèrent et même la soutiennent, passe l'entendement. La France est peut-être maudite ; ce serait une explication.

Écrit par : Blumroch | 05/07/2023

Blumroch > Merci pour les extraits, j'avoue honteusement n'avoir jamais lu un ouvrage de Bainville.
Encore une fois il faut comparer ce qui peut l'être. Il n'y pas de dictateur en France, Macron n'est que le commandant du camp qu'on lui a confié, il craint autant ses supérieurs qu'une révolte des prisonniers. Le totalitarisme qui vient n'a jamais eu d'équivalent, il est commandé par une junte déguisée en humanistes et chercher dans le passé pour y trouver une explication ou une solution ne sert pas à grand-chose.

Écrit par : Pharamond | 05/07/2023

@Pharamond : C'est la raison pour laquelle, dans une nouvelle édition des *Dictateurs*, l'euroGauleiter n'aurait droit qu'à un appendice.
Incidemment, il ne craint sans doute pas ses chefs, s'imaginant être leur égal plutôt que leur domestique. Quant à craindre le bétail...
La rage de pouvoir est éternelle. La seule différence tient à ce que permettent aujourd'hui, malheureusement, les moyens techniques.
Dans *The Book of Sequels* d'Henry Beard *et alii*, "The One Bullet Manager", le chapitre consacré à Pol Pot, en forme de leçon de "management" par la terreur, est hilarant.

Écrit par : Blumroch | 05/07/2023

Blumroch > Oh que si il craint ses maîtres ! Il sait qu'il n'est pas libre de ses actes et qu'il n'est qu'un pion parmi tant d'autres, une pièce puissante mais que l'on peut sacrifier. Pour le bétail il appréhende le chaos et les actes isolés, sinon il n'aurait pas de temps en temps un gilet pare-balles et toujours une armada de CRS et gendarmes.

Écrit par : Pharamond | 05/07/2023

@Pharamond : C'est du mauvais théâtre de cabotin. De fait, lui et ses comparses ne risquent strictement rien. Si vraiment des patriotes ou même des gauchistes avaient voulu les avoir, depuis toutes ces années, ce serait fait -- les raisons ne manquent pas. J'attends toujours -- autrement dit : je n'attends plus -- le milichien suicidaire qui voudrait partir sur une bonne action d'éclat. ;-)
Nous avons les brutes, les abrutis, mais pas les Brutus.

Écrit par : Blumroch | 05/07/2023

Blumroch > Nos dirigeants entourés de courtisans sont des mauvais connaisseurs des hommes et coupés du réel se méfient de ce qu'ils ne connaissent pas. Ceci-dit, que Macron se promène donc sans escorte et tu verrais ce qui lui arriverait.

Écrit par : Pharamond | 05/07/2023

@Pharamond : Nous ne le saurons jamais. On aura eu notre peau avant.

Incidemment, tu as lu l'essentiel d'un ouvrage de Bainville -- un recueil de chroniques :
http://guerrecivileetyaourtallege3.hautetfort.com/archive/2022/06/30/musique-621-6389536.html#c9013613
J'aime beaucoup l'idée du canard intitulé *L'ennemi du peuple*. J'avais pensé à *On vous mépriserait volontiers. Si vous en valiez la peine.*, mais c'était évidemment trop long pour un titre de journal. Pour un livre, en revanche...

Écrit par : Blumroch | 05/07/2023

Blumroch > C'est tout vu, aucun président de la Ve n'a été aussi haï. Il y a quelques gilets jaunes mutilés qui aimeraient beaucoup connaitre le parcours sans escorte du bonhomme si cela se produisait.

Écrit par : Pharamond | 05/07/2023

@Pharamond : L'idéal serait le point de départ du mauvais roman *Bal tragique à la Concorde*, savoir un hélicoptère s'écrasant sur la tribune présidentielle le 14 juillet, emportant foutriquet 2.0 et son gang.
Seul ennui : ils seraient tous remplacés.

Écrit par : Blumroch | 05/07/2023

Blumroch > Ce n'est pas grave, cela nous procurerait une peu joie dans ce monde sinistre et puis si l'accident n'en ait pas un les suivants auraient une sainte pétoche.

Écrit par : Pharamond | 05/07/2023

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