13/01/2023
Merle
Tout à l'heure en rentrant chez moi j'ai entendu le premier merle de l'année. Dans la pénombre je ne le distinguais pas, mais le chant venait du toit d'un immeuble. Il a senti que le jour allongeait, qu'il fallait marquer son territoire en attendant le printemps. Dans le calme de la petite rue c'était bien agréable à écouter.
20:33 | Lien permanent | Commentaires (9)
Commentaires
Apparemment, le pépiement du moineau fait plus jaser que le chant du merle...
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Écrit par : bedeau | 15/01/2023
bedeau > Qui en doutait ? ;-)
Écrit par : Pharamond | 15/01/2023
C'est très simple : l'anecdote n'exigeait aucun commentaire particulier, sauf à vouloir jouer au contrôleur de la vérité brutale et vraie -- pour commencer : était-ce bien un merle ou un corbeau déguisé en merle, un drone camouflé, voire un appeau ? ;-)
Écrit par : Blumroch | 15/01/2023
Blumroch > Le chant de ce passereau est caractéristique et, trompés par la lumière des villes, les merles urbains chantent bien avant leurs frères ruraux qui eux attendent le printemps. Et chaque année ce premier chant dans la fraîcheur de l'hiver me charme immanquablement.
Ceci dit nous sommes sûrs de rien ;-)
Écrit par : Pharamond | 15/01/2023
For what it's Wirth, there's no Oberon except Merle. ;-)
Écrit par : Blumroch | 15/01/2023
Blumroch > Je n'ai pas saisi :-(
Écrit par : Pharamond | 17/01/2023
@Pharamond : Mauvais jeu de mots à base. ;-)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Niklaus_Wirth
https://fr.wikipedia.org/wiki/Oberon_(langage)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Merle_Oberon
J'devrais pas donner les références en français. ;-)
Écrit par : Blumroch | 17/01/2023
Blumroch > C'était effectivement trop sophistiqué pour moi.
Écrit par : Pharamond | 18/01/2023
@Pharamond : De fait, ça ne pouvait faire sourire que moi, ce qui ne signifie pas que c'était particulièrement drôle ou spirituel. ;-)
Écrit par : Blumroch | 18/01/2023
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