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22/12/2022

Musique (636)

Arvo Pärt

My Heart's in the Highlands

 

Commentaires

@Pharamond : Pour un contemporain, c'est honnête. Quand on voit ces paysages à la *Highlander*, on pense toutefois à d'autres airs. ;-)

A la faveur d'un épisode du feuilleton *The Others* (a.k.a. *Les médiums*) :
https://www.youtube.com/watch?v=nwUQuuySe0w

Écrit par : Blumroch | 22/12/2022

Blumroch > Arvo Pärt est l'un des rares compositeurs contemporains écoutables.

Écrit par : Pharamond | 23/12/2022

A cause de Robert Bloch :
https://www.youtube.com/watch?v=jyWW_EuIfwQ

Écrit par : Blumroch | 23/12/2022

Fallait la signature de Dalrymple pour que je consacre un court moment à un billet traitant de la baballe au pied :
https://www.takimag.com/article/fifa-fanaticism/
Après avoir évoqué la mobilisation de milichiens en nombre, l'auteur commente :
//
The mind, however, averts itself from thinking about the meaning of all this. It is like the sun and death, according to La Rochefoucauld : You can't look at, or think about it for long -- it is too painful. You grow despairing and you start to have unworthy thoughts ; best to put it out of your mind altogether.
//
Combien d'Angliches ont lu et compris La Rochefoucauld ?
"Le soleil ni la mort ne se peuvent regarder fixement."
Bienheureux les aveugles et surtout les aveuglés, face au désastre aveuglant.

https://fr.wikisource.org/wiki/%C5%92uvres_de_La_Rochefoucauld_-_T.1/R%C3%A9flexions_ou_sentences_et_maximes_morales

Écrit par : Blumroch | 23/12/2022

Blumroch > Moi, j'arrive à penser au soleil.

Écrit par : Pharamond | 23/12/2022

Ce matin, mon épouse entendait à la radio, sur une chaîne de propagande gouvernementale, le témoignage d'un Kurde estimant "impossible" de ne pas descendre dans la rue pour manifester avec ses compatriotes. On sait pourquoi, on sait comment, on a vu les images, comme on a appris au passage qu'existait maintenant un quartier kurde à Paris. Passons.
Pourquoi diable les derniers indigènes titulaires de c.n.i. de l'eurofwansse ne se rassemblent-ils pas en masse pour protester, eux aussi, dans un terrible silence accusateur, devant les lieux de pouvoir et les domiciles des maîtres, contre les violences, de plus en plus nombreuses, de plus en plus fréquentes, de plus en plus atroces, commises contre d'autres Français, que ce soit par des importés ou par des supplétifs du régime ?
Les têtes autoproclamées pensantes de notre camp semblent avoir récemment redécouvert "le déclin du courage" (quand la conférence est pourtant ancienne). C'est plutôt la complète disparition de cette vertu qui devrait susciter des interrogations.
Un chroniqueur de RL remarquait récemment que cinquante mille individus faisaient fête à une poignée de crétins spécialistes de la baballe au pied, quand les menaces étatiques contre les dernières libertés ne mobilisaient personne ou presque.
Un petit attaché de presse comme hararidicule peut donner sereinement libre cours à sa haine et à son mépris pour les populations considérées comme de la mauvaise viande à supprimer au plus vite ; la maudite u. dite "e." peut annoncer ses mesures d'asservissement total et définitif des populations bientôt "transitionnées démographiquement" ; un foutriquet 2.0 peut encore parader et mettre le pays en coupe réglée avec ses complices et milichiens ; et rien, absolument rien ne se passe... Ah si, quand même : certains font du fric avec le survivalisme (assez illusoire), avec les manuels de sécession intérieure (toujours très intérieure, la sécession, qui n'ira donc pas contrarier à l'excès le tyran), ou avec l'annonce, sans cesse repoussée, de la future prise de conscience de la situation par le bon peuple qui, sorti de sa torpeur de mort (par quel miracle ? la greffe de cerveau ?), se lancera enfin (mais quand ? aux calendes grecques ? à l'an prochain à iéroushalaïm ?) dans le renversement du renversement. Ne pas rire, surtout ne pas rire.
Au fond, les salauds -- krons, kriminels, korrompus -- ont bien raison, et comme la même fin attend les bons et les méchants, ces derniers auraient bien "tort d's'gêner", comme le veut la sagesse populacière. Thuillier serait encore parmi nous qu'il pourrait donner une suite à *La grande implosion. Rapport sur l'effondrement de l'Occident 1999-2002*. Dommage, le titre *Après l'effondrement* est déjà pris.
Faute de cataclysmique éruption solaire, un petit ballet de missiles intercontinentaux ? Au moins, une telle fin de tout serait spectaculaire.

Écrit par : Blumroch | 24/12/2022

Si ce n'est pas une saynète jouée, c'est effarant ; si c'en est une, c'est prémonitoire :
https://www.breizh-info.com/2022/12/24/212731/royaume-uni-et-crime-de-la-pensee-une-britannique-arretee-pour-avoir-prie-en-silence-devant-une-clinique-davortement/
Les rues seront bientôt jonchées de cadavres, si les macronistes, gauchistes et autres tarécolos décident de frapper les gens qu'ils auront soupçonnés, en les voyant silencieux, de ne pas penser comme l'exige le système. Un regard désapprobateur ou un soupir pouvaient déjà déclencher facilement l'ire des nouveaux membres de l'Eglise Impactante (locaux ou importés) ; maintenant, les pensées...
Et ces pourritures osent encore invoquer sainte démocrassouille...
Voici quelques années, des droitistes avaient cité *L'Immonde* citant lui-même un canard israélien dont les propos pouvaient susciter la controverse, voire donner une image peu positive de certains enfants d'Isra[i]el. Poursuivis, les inconscients avaient cru pouvoir se défendre en s'abritant derrière *L'Immonde*. Pédagogues, les magistrats aux ordres avaient expliqué aux méchants que *L'Immonde*, dans le Camp du Bien, pouvait tout citer à sa guise, quand les droitistes, eux, même en citant un texte sans le moindre commentaire, nourrissaient *forcément* dans leurs mauvaises têtes des pensées condamnables et malignes ; ce qui faisait toute la différence.
Pas étonnant que les [autocensuré] de Bruxelles accélèrent l'asservissement numérique (plusieurs candides y voient de la peur et même l'aveu de leur défaite prochaine ; on peut en douter) : d'un simple clic -- comme aimaient à dire les crétins au début de la micro vindozesque --, ils priveront de l'eau et du feu tous les ceusses qui ne pensent pas bien en leur attribuant des réflexions critiques terroristes -- c'est encore mieux qu'en Nouvelle-Zélande contrôlée par la dingue Jacinda, qui compte encore sur les dénonciations des familles, amis et collègues.
Bref, l'anecdote *supra* n'est qu'un développement dans l'apparition d'un nouvel eurocrime : le silence réprobateur.
Je vais hiberner ; qu'on me réveille en 2063, mais pas avant.

Écrit par : Blumroch | 24/12/2022

https://www.schneier.com/blog/archives/2022/12/how-to-surrender-to-a-drone.html
Les commentaires sont, pour l'essentiel, ineptes, mais l'article d'origine est [involontairement] comique.
A rapprocher, *mutatis mutandis*, d'une anecdote relatée dans *L'empire des steppes* :
http://guerrecivileetyaourtallege3.hautetfort.com/archive/2017/11/26/atavisme-6002981.html#c8664721

Écrit par : Blumroch | 24/12/2022

Pas très dans le ton de la période. So what ?
https://www.youtube.com/watch?v=XWPB3pjX_UU

Écrit par : Blumroch | 25/12/2022

Blumroch > On se soumet parce qu'on a quelque chose à perdre et que l'on croit le conserver ainsi. Et quand on s'aperçoit que l'on a fait erreur il est trop tard.

Écrit par : Pharamond | 26/12/2022

Malgré la tentation d'un très facile persiflage argumenté, je ne dirai rien des présentateur et "sociétaires" mâles et femelle (?) du dernier Bistro Libertés de l'année, que je me suis infligé cette semaine en quatre fois et à vitesse 1,33x. Le Z a confirmé qu'il n'était que le moins pire des pires, qui non seulement ne veut presque rien changer à l'ignoble régime et qui, vaguement "souverainiste", déteste l'indépendance et ne voit aucune objection à rester dans la maudite u. dite "e." comme il ne voyait aucun inconvénient à l'ausweis à prétexte sanitaire et comme il ne verra aucun souci à l'asservissement définitif des populations grâce à la tyrannique monnaie numérique -- imminent dernier clou à notre cercueil.
Son discours se résume à ces deux remarques aussi fréquentes que pénibles :
-- Vous voyez ce que je veux dire.[1]
-- Vous avez raison mais c'est un autre débat.[2]
Bref, il est resté un journaliste.
Le seul moment de "vérité brutale" fut l'énoncé du titre d'un des livres l'ayant marqué : *Le comte de Monte-Cristo*[3], belle histoire de *vengeance*.
Vous voyez sans doute ce que je voudrais dire. ;-)

[0] Yep, je sais, il semblait être au début d'une mauvaise grippe. Pikouzé ou non ? ;-) "La question, elle est vite répondue."
[0a] Yep, nope, y'a pas d'appel de note 0.
[1] "Nous sommes entre personnes de bonne compagnie qui se comprennent à demi-mot", "Inutile de développer car je vous fais le crédit d'être à mon niveau et de saisir mes intentions sans avoir à les formuler", "Vous n'êtes peut-être pas à mon niveau mais si je m'expliquais mieux vous n'iriez plus rien entendre...", "Je suis las.", "Dire ce que je pense serait trop risqué". Le procédé n'est ingénieux et admissible que dans la nouvelle ultra-courte "Science-Fiction for Telepaths" d'E. Michael Blake qui consiste en cette seule phrase : "Aw, you know what I mean" (appelant ce commentaire d'Asimov : "Huh ?").
[2] Réflexion de commerçant ou de courtisan. L'ennemi, pour le Z, est soralien, qui a presque toujours raison -- en tout cas dans son esprit (celui du Z comme celui du soralien !). Ne jamais oublier que le Z attribuait une grande intelligence à l'obscur et méprisable Rebsamen, parmi tant d'autres ayant pourtant démontré à l'envi être des incapables quand ils ne sont pas en plus des nuisibles. La consultation des fiches de police d'une fiasco-morizet, d'un bruno le rigolo ou d'une panier-nullachier (parmi tant et tant d'autres) devrait pourtant immuniser[2a] une fois pour toutes contre le fétichisme des diplômes.
[2a] J'ai point dit : vacciné.
[3] Roman dont la fiche de police ne mentionne évidemment pas un autre roman qui en est partiellement inspiré, *Terminus, les étoiles* a.k.a. *Tiger ! Tiger !*[3a] d'Alfred Bester.
[3a] Roman à écrire : *Les allusions perdues*.

Écrit par : Blumroch | 26/12/2022

@Pharamond : La soumission, c'est moins une affaire d'avoir qu'une affaire d'être. "L'homme ordinaire est un infra-humain qui obéit et pire, qui aime à obéir parce qu'il est ainsi délivré du poids de ces deux fardeaux de l'homme libre : la liberté et la responsabilité."

Écrit par : Blumroch | 26/12/2022

edit/fix : "parmi tant et tant de crapules comparables"), "vacciner". :-(

Écrit par : Blumroch | 26/12/2022

Blumroch > La Démocratie actuelle est un univers balisé par la fin de la Seconde guerre ; limites établies, parait-il, pour la conserver alors qu'une démocratie ainsi délimitée ne peut que finir par se pervertir.

La soumission est affaire de l'avoir et de l'être, mais l'espèce humaine a pour but de se perpétuer comme toutes les espèces. Mais c'est une espèce pervertie par le confort qui ne comprend pas que ce confort censé la protéger prépare au contraire ses malheurs futurs.

Écrit par : Pharamond | 26/12/2022

@Pharamond : Se perpétuer à l'état de termites et persévérer dans son néant. Bel idéal.
Vrai qu'il est à portée de tous, et dans un monde collectiviste (mais pas dépourvu de chefs, eh, faudrait pas abuser...).

Écrit par : Blumroch | 26/12/2022

Blumroch > C'est pourtant le lot d'une grande partie de l'espèce humaine dans le monde. Sinon les foules misérables des pays dit "pauvres" n'auraient qu'à se suicider en masse. Et pourtant elle survivent ; la vie malgré tout.

Écrit par : Pharamond | 26/12/2022

@Pharamond : Ouais. C'est vraiment la preuve que l'humanité est, pour l'essentiel, composée de krons, exploités, et de krons sans limites, exploiteurs. Du bétail sans rage ni dignité, maintenu dans la servitude par un autre bétail moins nombreux n'ayant que cet avantage, que d'être dépourvu de scrupules.
Plus qu'à attendre -- longtemps, très longtemps -- les Martiens et l'Esprit Malin. ;-)

Comme, selon toute probabilité, personne n'est allé y voir, cet extrait du conte de Noël d'Alphonse mentionné *supra* :
// Le tétragramme est en mode "Dies irae", qui s'adresse ainsi à saint Nicolas masqué :

— Ah ! on se permet de ronchonner ! Eh bien ! mon petit père Noël, je vais corser mon programme ! Tu vas descendre sur terre cette nuit, et non seulement tu ne leur ficheras rien dans leurs ripatons, mais encore tu leur barboteras lesdits ripatons, et je me gaudis d’avance au spectacle de tous ces imbéciles contemplant demain matin leurs âtres veufs de chaussures.

— Mais… les pauvres ?… Les pauvres aussi ? Il me faudra enlever les pauvres petits souliers des pauvres petits pauvres ?

— Ah ! ne pleurniche pas, toi ! Les pauvres petits pauvres ! Ah ! ils sont chouettes, *les pauvres petits pauvres* ! Voulez-vous savoir mon avis sur les victimes de l’Humanité Terrestre ? Eh bien ! ils me dégoûtent encore plus que les riches !… Quoi ! voilà des milliers et des milliers de robustes prolétaires qui, depuis des siècles, se laissent exploiter docilement par une minorité de fripouilles féodales, capitalistes ou pioupioutesques ! Et c’est à moi qu’ils s’en prennent de leurs détresses ! Je vais vous le dire franchement : Si j’avais été le petit Henry, ce n’est pas au café Terminus que j’aurais jeté ma bombe, mais chez un mastroquet du faubourg Antoine !
//
Je ne donne pas la suite, qui enverrait aujourd'hui Allais à la XVIIe.

Écrit par : Blumroch | 26/12/2022

Je vous donne ma version "Trash Métal Taoïste"
Il y deux sortes de gens, les riches et les pauvres.
- Les riches c'est des cons et des ordures mais il n'y en a pas beaucoup.
-Les pauvres c'est *aussi* des cons et des ordures, il y en a partout et en plus ils puent des pieds.
:-)

Écrit par : realist | 26/12/2022

On sait le Z admirateur déclaré, zélote presque, de Bonaparte (qui avouait un jour avoir été, comme Rousseau, une calamité pour le genre humain). Il devrait s'en inspirer, si on en croit cette anecdote signalée par fdesouche :
https://www.corsematin.com/articles/storia-nostra-en-1802-contre-les-actes-de-piraterie-des-corsaires-algeriens-bonaparte-envoie-une-escadre-avec-un-ultimatum-135492
Evidemment, faut avoir du courage... et quelques troupes bien armées et bien entraînées.

Écrit par : Blumroch | 26/12/2022

P.S. : Chez archive.org, on trouve les *Mémoires* de Stanislas de Girardin qui raconte la visite du premier consul à Ermenonville (pages 202 et 203 de la version PDF) :
//
Nous retournons enfin au château, et nous trouvons madame Bonaparte à table. Le premier consul fronça le sourcil, comme s'il était mécontent qu'on ne l'eût pas attendu et dit : «Il parait que les femmes commandent ici.» Il ne mangea que quelques feuilles de salade, et but un verre de vin de Bordeaux. Il se leva ensuite pour aller visiter les jardins qu'il ne connaissait pas, et qu'il prit plaisir à parcourir. Arrivé dans l'île des Peupliers, il s'est arrêté devant le tombeau de Jean-Jacques, et a dit : «Il aurait mieux valu pour le repos de la France que cet homme n'eût pas existé. — Et pourquoi, citoyen consul, lui dis-je ?
— C'est lui qui a préparé la révolution française. — Je croyais, citoyen consul, que ce n'était pas à vous à vous plaindre de la révolution. — Eh bien ! répliqua-t-il, l'avenir apprendra s'il n'eût pas mieux valu, pour le repos de la terre, que ni Rousseau ni moi n'eussions jamais existé.» Et il reprit d'un air rêveur sa promenade.
//
Transposons à notre époque de nains malsains : foutriquet 2.0 sur la tombe de Gide.

Écrit par : Blumroch | 26/12/2022

Blumroch > La question est de savoir comment et pourquoi l'humanité capable de grandes choses s'est muées en troupeau.

On ne discute pas avec les faibles, c'est comme ça, ou alors dans un but intéressé pas toujours avouable.

Ceux qui ont existé ont existé, point. Il faut faire avec, le reste n'est que question philosophique.

realist > Certes, mais la différence est que les riches ont sans doute plus de possibilités que les pauvres à n'être pas "des cons et des ordures" et sont donc conséquemment moins pardonnables.

Écrit par : Pharamond | 26/12/2022

Amusantes considérations sur les élec... correction : sur les zombies *éveillés* :
https://www.takimag.com/article/i-woked-with-a-zombie/
'Tykwondo Jujitsu promises an ultra-woke Night in which “the humans are the real monsters.” And as every fan of the genre knows, that’s the most stale cliché associated with zombie films (Google it; it’s routinely ridiculed by superfans). That Nickyuhu Jewsue boasts of that trope as if she invented it is further proof that she’s an intellectual lightweight who coasts on skin color rather than gray matter." No comment.

Écrit par : Blumroch | 27/12/2022

Blumroch > A une époque cela faisant moderne et intelligent d'être woke même si cela n'en portait pas le nom. Aujourd'hui c'est obligatoire pour avoir des financements.

Écrit par : Pharamond | 27/12/2022

@Pharamond : *The Official Politically Correct Dictionary and Handbook* pourrait être réédité sous ce nouveau titre, *The Official Woke Dictionary and Handbook* en changeant à peine quelques noms d'abrutis notoires. Tout -- et je dis bien : tout -- y était, avec des exemples remontant parfois au début des années 70.
J'ai lu que pour être acceptées, les thèses de doctorat devaient maintenant, chez nous comme aux U.S. of A., comporter des kronneries de tarécolos et d'éveillés ahuris, y compris dans les lettres classiques et les vraies sciences.

Écrit par : Blumroch | 27/12/2022

Blumroch > Je me demande quand cette sinistre farce cessera, parce qu'elle cessera.

Écrit par : Pharamond | 27/12/2022

@Pharamond : Probablement quand les théologiens venus des zones désertiques éclairciront les rangs de leurs supplétifs, enfin devenus inutiles, à l'aide d'arguments très aiguisés ou en s'aidant de fenêtres pour étudier la chute de certains corps -- en discret hommage aux expériences entreprises par Edouard 1er dans *Braveheart*. Une manière de donner congé qui se traduit aujourd'hui par l'expression : faire l'avion, et c'est d'ailleurs le sens du "You're fired" adressé par Schwarzie avec un lumineux sourire au grand méchant de *True Lies*.

Écrit par : Blumroch | 27/12/2022

A en croire ce billet :
https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/12/26/onfray-une-fois-de-plus-ne-le-fera-plus-par-modeste-schwartz/
le philosophicule normand voudrait "tourner la page" et aimerait bien qu'on recouvrît ses saloperies sous le voile de l'oubli. "Ben voyons", comme dit l'autre. Petit rappel, à tout hasard, de ce qu'est un intellectuel rebelle de ce temps :
https://lemediaen442.fr/best-of-de-michel-onfray-sur-les-non-vaccines-des-contaminateurs-du-sida-violeurs-de-jeunes-filles-racailles-et-capricieux/
Longtemps, j'ai condamné le goût des situs pour l'insulte -- eh ouais -- ; je reconnais aujourd'hui qu'ils n'avaient pas entièrement tort : inutile de discuter ou d'argumenter avec les salauds quand le seul énoncé de leurs méfaits suffit à les condamner. Quand on a épuisé son crédit d'erreurs, c'est terminé.

Écrit par : Blumroch | 27/12/2022

@Pharamond : J'ai récemment revu *La vie de Brian*. Scène mémorable retrouvée chez ioutube avec "monty python vie de brian woke vf" :
https://www.youtube.com/watch?v=f-0DKh9uFHM

Écrit par : Blumroch | 27/12/2022

Eh oui, c'est un constat d'expérience qu'il faut formuler et exposer : malgré son apparente rebellitude faussement insolente, vaguement droitiste, et surtout terriblement encadrée (la tristement célèbre "maîtrise de l'antenne" par Kelly Anastasia -- voir son édifiante fiche de police), Cnews, c'est aussi *irregardable* que BFMWC et autres chaînes de bavardage permanent. Rappel ici, avec comme un écho des thèses de l'excellent Bonnal :
https://les-minuscules.blogspot.com/2022/12/de-la-lachete-la-futilite.html
Toujours bon de trouver les responsables et les coupables[1]. S'agirait maintenant de leur infliger le châtiment qu'ils ont tous mérité, avec leurs complices, depuis plus de quarante ans. Ce châtiment, c'est peut-être... l'actualité, qu'on appelait autrefois les nouvelles. Bonne raison pour être tiviphobe, radiophobe, pressophobe et même netophobe (le suffixe "-phobe" étant pris au sens ordinaire face à des objets suscitant moins la peur que le dégoût).

[1] Ainsi, les experts universels peuvent traiter des... soucis liés à l'énergie ou à l'hôpital sans *jamais* réclamer les têtes des [autocensuré] ayant pris les décisions (ils ont pourtant des noms et des adresses). La fin de la France est mystérieusement arrivée par cette *magie* qu'aime tant à évoquer une panier-nullachier, quand c'est par l'activisme d'une poignée de tarécolos soutenus par l'incurie et l'apathie d'une population, plus prompte à se passionner pour la baballe au pied que pour l'héritage des ancêtres. Dommage que les enfers n'existent pas. Ayant à juger 99% du pays, Minos, Eaque et Rhadamante seraient obligés de réclamer des assistants.

Écrit par : Blumroch | 28/12/2022

On le sait, Caton le Censeur terminait ainsi chacun de ses discours, quel qu'en soit le sujet : *Ceterum censeo Carthaginem esse delendam*.
Les collaborateurs de la grande révolution eurotarécoloschwabotranshumaniste se reconnaissent à une autre formule, même s'ils ne la placent pas en latin : "En outre, j'estime qu'on doit sauver l'ukraine" -- pays corrompu dont on ignorait qu'il était essentiel à la bonne marche du monde selon les maudits U. S. of A.
Ce prétexte censé justifier des mesures toujours plus folles et toujours plus tyranniques contre les populations (qui d'ailleurs acceptent tout, hélas !) est quand même lassant, qui inciterait bien à ressortir Gaffiot et Sausy pour mettre fin aux souffrances d'une contrée que tout le monde pouvait continuer à ignorer : *Ceterum censeo ucrainam esse cum bomba atomica curandam*. Faute de matériel, faudra écrire un roman sur le sujet ou mieux, une bande dessinée.

Écrit par : Blumroch | 28/12/2022

Blumroch > Onfray est le roi du "un pas en avant deux pas en arrière".

En 1979 on pouvait dire certaines choses, encore fallait-il les penser.

Écrit par : Pharamond | 28/12/2022

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