20/05/2022
Un peu d'humour (25)
20:31 | Lien permanent | Commentaires (24)
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
« Histoire... (177) | Page d'accueil | Chronique du temps de la Covid 19 (117) »
20:31 | Lien permanent | Commentaires (24)
Commentaires
D'après plein de gens autorisés (mais autorisés à quoi ? À penser ? À parler ?) cet homme serait dangereux
Rectifions
Cet homme n'est dangereux que parce que nous lui donnons de l'importance
L'importance du suffrage universel
L'importance que confère la politicaille vronzaise
Dans un monde normal, les élus ne le seraient pas à vie ou du moins devraient se chercher une occupation au bout d'un moment
Dans un monde normal on ne devrait pas vivre uniquement de sa position dans la représentation
Dans un monde normal les émoluments et défraiement concédés aux politrouk seraient conditionnés à la proportion du corps électoral s'étant déplacé pour voter
Dans un monde normal le simple fait d'évoquer le vote des détenus devrait entraîner la révocation pure et simple de l'élu en question
Et qu'on ne me dise pas que les politrouk auraient du mal à se recaser après la politrouk, les cafetiers endurent une crise de recrutement sans pareil pour les garçons de café, idem pour les cultivateurs qui peinent à trouver des ramasseurs de fraises
Écrit par : Kobus van Cleef | 21/05/2022
Le Kamerad Kobus van Cleef me semble bien timide. ;-)
Dans un monde normal, Méchancon le parasite, dont l'existence ne se justifie en rien (il n'est même pas un bon rhéteur), ne serait pas millionnaire sans avoir jamais exercé une activité honnête.
Dans un monde normal, tout individu aspirant à se mêler de politique (comme électeur ou comme candidat) devrait avoir prouvé mettre l'intérêt général avant les intérêts particuliers (les siens comme ceux de ses éventuels complices). Dix ans au service de la collectivité serait un bon départ. Heinlein a formulé quelques justes réflexions sur ce sujet dans *Starship Troopers*, *The Moon is a Harsh Mistress*, *The Glory Road* et *Stranger in a Strange Land*, réflexions qui valent largement bien des traités rédigés par des intellectuels se cherchant un maître ou se croyant capables de tenir le rôle.
Dans un monde normal, personne ne devrait souhaiter occuper une charge publique sauf à y être contraint. Quand on a un cerveau et des principes, on ne désire pas régenter l'existence du bétail, on ne désire même pas profiter du troupeau en s'engageant dans la mafia étatique.
A défaut de sélection par le service, désigné par tirage au sort, le malheureux mandaté temporairement devrait maudire les dieux connus et inconnus, sachant qu'il sera responsable de ses décisions. Un jury populaire donnerait, ou non, quitus.
Les ceusses qui tenteraient d'imposer leurs lubies aux populations seraient chassés à vue ; les survivants se verraient obligés de jouer le rôle du gibier dans des émissions télévisées au titre évocateur : *Les nouveaux exploits cynégétiques du comte Zaroff*.
Les compétences démontrées par les criminelles mafias -- étatiques ou non -- au pouvoir depuis des décennies interdisent de trouver ces modestes esquisses d'amorces de commencements de prolégomènes de débuts de propositions utopiques ou dangereuses. Mafias dont l'élimination radicale s'imposerait -- y'a aucune raison pour que seule l'oligarchie, troupeau particulier, puisse envisager d'éclaircir les rangs du troupeau général.
Et avant toute discussion sur l'organisation politique, deux préalables naturels et deux principes évidents : droit d'être armé pour se défendre ; droit de parler sans avoir à respecter les lubies d'autrui ; liberté ; responsabilité.
C'est si utopique que je n'irai pas perdre une minute de plus à y penser. ;-) Tenter de réfléchir à l'organisation idéale est une perte de temps, quand on considère le niveau intellectuel des populations, qu'il s'agisse des esclaves ou des maîtres.
Écrit par : Blumroch | 21/05/2022
Les nouveaux exploits cynégétiques du comte zaroff, ça sonne hyper bien
Écrit par : Kobus van Cleef | 22/05/2022
@Kobus van Cleef : En espérant que le comte n'aura pas affaire à meilleur que lui, comme dans les nouvelle et film. ;-)
Écrit par : Blumroch | 22/05/2022
Le plus dangereux des gibiers est ici :
https://en.wikisource.org/wiki/O._Henry_Memorial_Award_Prize_Stories_of_1924/The_Most_Dangerous_Game
On lit du Marc-Aurèle et on se couche tôt parce qu'on est fatigué. On ne devrait alors pas se lancer dans un duel à mort.
Écrit par : Blumroch | 22/05/2022
que des mauvaises langues :-D
Écrit par : Paul.Emic | 22/05/2022
ordure maçonnique
sénateur PS pantouflard pendant 30 ans
amuseur de foule à surenchère gauchiste
a fait voter pour Maastrich
en effet, pas de doute, la République incarnée c'est lui
(la capitale de majesté n'est là que par respect pour l'orthographe)
Écrit par : Dia | 23/05/2022
la république est un nom commun , la majuscule ne s'impose pas sauf dans quelques cas précis : s'il s'agit d'une période historique précise ou si le mot n'est suivi que d'adjectifs, une minuscule si le mot est suivi du nom du pays
la République française
La république de France
La République bananière
La Vème République
et dans certains textes officiels pour se faire plaisir (le fonctionnaire aime bien la majuscule, ça le flatte ─ humour)
Ceci n'est pas une leçon d'orthographe, j'avais juste en vie de me faire plaisir moi aussi .
J'ai appris récemment que le É dans état de droit était un usage inadéquat dans beaucoup de cas. Le É ne s'impose que lorsque que l'on parle d'un État qui fonctionne sous état de droit c'est à dire avec un ensemble de règles, de principes et d'institutions définies par la loi. Ainsi la France est un État de droit, du moins l'était jusqu'à un passé relativement récent, mais l'Union Soviétique aussi dans ses dernières années.
Utiliser l'expression État de droit en permanence en lieu et place d'état de droit est un moyen de bien montrer qu'il y aurait sur la scène internationale, les "bons" pays démocratiques et les autres sans se donner la peine de pousser plus loin la démonstration.
Ainsi la République française est un État de droit . En république on vit en état de droit .
J'ai trouvé cette explication intéressante.
Écrit par : Paul.Emic | 23/05/2022
Les considérations savantes exposées *supra* ne m'interdiront pas d'écrire foutriquet 2.0 sans majuscule, et de regretter l'impossibilité de mettre ce nom de minuscule en minuscules minuscules. ;-)
Écrit par : Blumroch | 23/05/2022
foutriquet tel quel , l'infra minuscule n'existe malheureusement pas en effet
Écrit par : Paul.Emic | 23/05/2022
Kobus van Cleef > Passer du monde politique au privé et inversement continuellement comme le font nos dirigeants actuels n'est pas non plus un gage d'efficacité et d'honnêteté, cela entraine même une corruption généralisée avec délit d'initiés et copinage à la clé.
Blumroch > Un troupeau sans meneur ne va pas loin.
Dia > Il est vrai que l'homme est assez répugnant.
Paul.Emic > Il faudrait pourtant enlever la capitale à république. Peut-on dire "décapiter" la république ?
Écrit par : Pharamond | 23/05/2022
on peut écrire "décapiter la république" pourquoi pas ?
Écrit par : Paul.Emic | 23/05/2022
Paul.Emic > ;-)
Écrit par : Pharamond | 23/05/2022
N'était-elle pas déjà la femme sans tête, selon un Grand Ancien reprenant un mot de Sembat ? ;-)
Sans cervelle -- sauf pour nuire -- suffit bien.
Écrit par : Blumroch | 23/05/2022
Blumroch > "femme sans tête" : pléonasme ? OK, je sors.
Écrit par : Pharamond | 23/05/2022
@Pharamond : Tu vas perdre ton lectorat féminin avec cette plaisanterie digne de l'animateur de la chaîne ioutube "Draw my economy" !
J'aurais plutôt dit : femme et qui pense -- cet oxymore. ;-)
(Simple commentateur, je peux me permettre de perdre des leurkeuses, eh eh...)
Écrit par : Blumroch | 23/05/2022
Blumroch > Si une visiteuse n'est pas capable de comprendre l'humour, même douteux, ce ne sera pas une grande perte.
Écrit par : Pharamond | 23/05/2022
@Pharamond : Tu n'est pas acquis aux principes de l'élection moderne, qui compte les voix au lieu de les peser. ;-)
Savoir ce qui serait pire : perdre une lectrice offensée parce que la formule est associée à Maurras, ou à cause de ton interrogation blasphématoire ? ;-)
Écrit par : Blumroch | 23/05/2022
Blumroch > L'hypothétique lectrice offusquée ne prendra pas la peine de me donner le détail en partant. Je resterais donc dans l'ignorance.
Écrit par : Pharamond | 23/05/2022
aux deux horribles misogynes : Je trouve qu'en ces temps troublés certaines femmes nous montrent tous les jours qu'elles en ont parfois bien plus que nous. :-)
Écrit par : Paul.Emic | 23/05/2022
Paul.Emic > Et sans avoir besoin de quota.
Écrit par : Pharamond | 23/05/2022
@Paul-Emic : C'est aussi une réflexion du moraliste Monteilhet dans son excellent *Les pavés du diable* -- le personnage d'Edith Pescara est de loin le plus intéressant du roman.
Savoir maintenant si ce courage a pour origine l'absence de cervelle ou l'entêtement... ;-)
Just joking, just joking...
Écrit par : Blumroch | 23/05/2022
mais c'est une question que l'on peut se poser de bon droit. Peut-être que les hommes réfléchissent trop aujourd'hui et ce justement à cause des féministes, tandis que les femmes seraient encore "brut de fonderie"
Écrit par : Paul.Emic | 23/05/2022
@Paul-Emic : Adhérent numéro 3 du parti des Zorribles Misogynes ! ;-)
Je ne suis pas certain que nos contemporains réfléchissent trop. Ils sont dépourvus de courage et d'énergie, déjà morts de ne pas respecter ce vieux principe : "Vivre, c'est réagir".
Écrit par : Blumroch | 23/05/2022
Les commentaires sont fermés.