05/08/2020
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BlackMother
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Enzalla & Aerith
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Joseph Trapanese
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13:06 | Lien permanent | Commentaires (32)
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Commentaires
[Musicalmar "Le masque et l'enclume"]
Dans ma récente tentative de faire lire l'*Hugothérapie* de PAC, j'ai omis de mentionner Hugo *prophète* de la sinistre année 2020 :
SICUT LEO
Les peuples qui ont des despotes ressemblent à des lions qui auraient des muselières.
(Lettre à M. Pedro de Brito Aranha, 15 juillet 1867)
Savoir si les titulaire d'une carte "nationale" d'identité du territoire France méritent encore d'être appelés des lions...
Quand les salauds vont imposer la muselière universelle, penseront-ils à interdire tout message subversif tel que 2020 = 1984 ou 2020 = 666 ?
Écrit par : Blumroch | 05/08/2020
Pour restez dans le "cool"...
https://www.youtube.com/watch?v=E2jHl1djX94
Écrit par : realist | 05/08/2020
Blumroch > Hugo et ses métaphores animalières...
realist > C'est un peu trop jazz pour moi.
Écrit par : Pharamond | 05/08/2020
[Musicalmar]
On connaît le spirituel *incipit* de la nouvelle intitulée *Reginald's Choir Treat*[1] :
//
“Never,” wrote Reginald to his most darling friend, “be a pioneer. It’s the Early Christian that gets the fattest lion.”
//
De même que le premier chrétien a l'infortune de tomber sur le plus gros[2] lion, le premier résistant qui se dressera réellement contre l'immonde moderne s'attirera évidemment la répression la plus féroce. Quel est est le prix le plus élevé : celui payé pour se tenir debout, ou celui payé pour rester à genoux, voire pour ramper ?
Eléments de réponse dans tous les textes des anciens, mais aussi dans la jolie fin cinématographique de *We the Living* :
//
She smiled. She knew she was dying. But it did not matter any longer. She had known something which no human words could ever tell and she knew it now. She had been awaiting it and she felt it, as if it had been, as if she had lived it. Life had been, if only because she had known it could be, and she felt it now as a hymn without sound, deep under the little hole that dripped red drops into the snow, deeper than that from which the red drops came. A moment or an eternity -- did it matter ? Life, undefeated, existed and could exist.
She smiled, her last smile, to so much that had been possible.
//
[1] https://en.wikisource.org/wiki/Reginald/Reginald%27s_Choir_Treat
[2] Yep, ici, c'est "gros" et non "gras", encore moins "affamé" ou "féroce" comme le croient les traducteurs qui feraient mieux d'être interprètes -- profession où les approximations passent mieux et sont plus excusables.
Écrit par : Blumroch | 07/08/2020
Blumroch > Jolie fin qui convient à un film ou un roman, dans la vraie vie la mort c'est juste l'interrupteur sur "off".
Écrit par : Pharamond | 07/08/2020
[Musicalmar]
Bergier n'avait pas apprécié mai 68, qui aurait volontiers approuvé à l'époque la mise en application du sain principe de saint Mazarin[1] : "Pour la canaille, il faut la mitraille".
Je serais bien dans les mêmes disposition, à condition de remplacer la cible d'origine par un autre nom *collectif* très proche, qui rime aussi.
[1] Autres attributions plus tardives : Arthur Wellesley, premier duc de Wellington ; Victor-François, deuxième duc de Broglie.
Écrit par : Blumroch | 08/08/2020
Blumroch >
https://www.anticimex.com/globalassets/belgium-enfrdenl-be/ongedierte/ratten/bruine-rat-bestrijden.png
https://www.alienor.org/publications/oiseau-migration/images/large/edu02_hn998-1-55_cailleDesBles_56487.jpg
Écrit par : Pharamond | 08/08/2020
@Pharamond : Une variante du jeu des deux images ? ;-)
Écrit par : Blumroch | 08/08/2020
[Musicalmar]
Robert Silverberg ne compte pas au nombre de mes auteurs de S.F. favoris même s'il a écrit trois ou quatre textes que je juge mémorables, à commencer par cet "After the myths went home" ("Quand les mythes sont repartis", *in* *Histoires mécaniques*) qui m'est soudain revenu en mémoire. La version originale est disponible ici, à récupérer avant qu'elle ne disparaisse comme tant de pages Internet :
https://www.baen.com/Chapters/9781618249210/9781618249210___3.htm
La présentation de Baen Books est honnête, qui me dispense d'en écrire une :
//
In spite of our modern pretense of cooled-out logical pragmatism and think-tank rationality, we still need myths. In fact, in a world where most of the age-old props -- religion, morality, tradition, culture, family -- have been knocked out from under us we may need them more urgently than ever. Denied the traditional gods and heroes and demons of the past, we instinctively endeavor to replace them with a pantheon of our own devising, rough-hewing our myths out of whatever archetypical material comes most readily to hand : JFK, Evel Knievel, Jaws, Marilyn Monroe, the Beatles, James Bond, and the Godfather.
Here Hugo- and Nebula-winner Robert Silverberg -- SF’s most acidulous and elegant satirist -- examines an effete future society that has forgotten the value of myth, although they are able to crank out gods and heroes to order in any desired quantity, a society that has made the possibly fatal mistake of confusing the substance with the show.
//
La fin est terrible, qui sonne le glas de l'Occi... du genre humain face aux envahisseurs :
//
"You should have kept us," Cassandra said. "People who have no myths of their own would do well to borrow those of others, and not just as sport. Who will comfort your souls in the dark times ahead ? Who will guide your spirits when the suffering begins ? Who will explain the woe that will befall you ? Woe ! Woe !"
"The woes of Earth," I said gently, "lie in Earth’s past. We need no myths."
Cassandra smiled and stepped into the machine. And was gone.
And then the age of fire and turmoil opened, for when the myths went home, the invaders came, bursting from the sky. And our towers toppled and our moons fell. And the cold-eyed strangers went among us, doing as they wished.
And those of us who survived cried out to the old gods, the vanished heroes.
Loki, come !
Achilles, defend us !
Shiva, release us !
Heracles ! Thor ! Gawain !
But the gods are silent, and the heroes do not come. The machine that glittered in the Hall of Man is broken. Leor its maker is gone from this world. Jackals run through our gardens, and our masters stride in our streets, and we are made slaves. And we are alone beneath the frightful sky. And we are alone.
//
Toute ressemblance etc.
Qu'invoqueront les derniers Occidentaux avant de disparaître sous le nombre, triste bétail anéanti par les équarisseurs masqués ou par les infra-humains leucodermophobes ? Les "droidlom" ? Les super-crétins diversitaires de chez Marvel ?
Une chance, quand même, de n'avoir à craindre aucun jugement des ancêtres.
Écrit par : Blumroch | 09/08/2020
Ou "La police avec nous" :-)
Écrit par : Sven | 09/08/2020
Blumroch > C'est ce qui échappe aussi aux laïcards de notre camps.
Sven > Forces de l'ordre qui en ce moment subit de nombreuses agressions graves et cette fois les Gilets jaunes n'y sont pour rien. Elles n'ont qu'à aller pleurer un soutient au Système.
Écrit par : Pharamond | 10/08/2020
@Pharamond : C'est beau de voir la police politique non-officielle s'en prendre aux milichiens officiels qui ne protestent pas, ou à peine, parce qu'ils savent que leurs maîtres préfèrent condamner ceux qui se défendent plutôt que ceux qui attaquent.
Ah, serais-je flic que j'en aurais, des idées. Zut, c'est légèrement oxymorique, ça, flic et idées.
Écrit par : Blumroch | 10/08/2020
[Mi-musicalmar, mi-suggestion audio]
Non seulement cet article découvert à la suite de je ne sais plus quel enchaînement de pages :
http://stephanemontabert.blog.24heures.ch/archive/2020/07/30/quand-les-medias-romands-nous-parlent-de-q.html
nous apprend ce qu'est le mystérieux "Q" (rien à voir avec certaine célèbre série d'espionnage), mais encore il nous donne indirectement des nouvelles du sieur UnOurs qui rapproche fort justement les réjouissances de l'onicef de celles du tunnel du Saint-Gothard (le lien vaut son poids de caramels mous), n'omettant pas une suggestion "faite de notes" ("musicale" serait peut-être trop) :
https://www.youtube.com/watch?v=Ddi2TBnzdPo
Écrit par : Blumroch | 10/08/2020
Blumroch > Comment être policiers aujourd'hui ?
Curieuse histoire que de "Q". Je pense que comme souvent il y en a à prendre et à laisser.
Ce bal de charité pour l'ONISEP avec des invités richissimes qui font les beaux sur fond d'enfants miséreux laisse une impression étrange.
J'aimais bien les visites d'UnOurs qui semble être devenu Un_Ours aujourd'hui, constructives et posées.
Écrit par : Pharamond | 10/08/2020
@Pharamond : Nous avons tous deux mal lu et pensé à onisep (whatzat ?), au lieu d'unicef. ;-)
Cette imagerie sataniste hollywoodienne ne doit sans doute rien au hasard. J'étais tombé, voici quelques semaines, sur les photos d'une manifestation à prétexte philanthropique où le gratin de l'oligarchie était régalé de plats en forme de cadavres. Tous ces abrutis se prétendent sans doute transgressifs, à la manière des cathares. Ils en restent aux comportements, parce que c'est très facile pour croire se distinguer des *hoi polloi* ; pour les idées, faudrait déjà en avoir et avoir un cerveau, ce qui ne doit pas être si fréquent chez ces furieux. Tous les avantages de l'argent n'achètent pas la cervelle.
Eh eh, que disparaisse le méchant Blumroch qui inflige à l'excès ses bavardages, et ils reviendront tous, les Un_Ours, realist, téléphobe, Coach Berny, Nathanaël, Popeye, Arthourr *et alii*. Pour deux ou trois d'entre eux, j'suis pour, et même prêt à me sacrifier. ;-)
Écrit par : Blumroch | 10/08/2020
Blumroch > Curieux lapsus...
La transgression antichrétienne ça c'est osé aujourd'hui !
Je ne crois pas que tes commentaires chassent quiconque...
Écrit par : Pharamond | 10/08/2020
@Pharamond : J'me demande. ;-)
Un peu de Ralph Vaughan Williams :
https://www.youtube.com/watch?v=bAi65Fmbn0A
https://www.youtube.com/watch?v=3P0TaRKQPbE
et d'Edward Elgar :
https://www.youtube.com/watch?v=vLNLvcBmoqo
Écrit par : Blumroch | 11/08/2020
A en croire certains fans de Robert Howard, le film serait bon malgré Zellweger. Quand à la musique, sirupeuse mais écoutable, elle ne serait pas de Hans Zimmer mais d'un disciple :
https://www.youtube.com/watch?v=vEtywcQGeXo
Écrit par : Blumroch | 11/08/2020
[Musicalmar]
La presse aime le sujet marronnier ; elle sait aussi parfois avoir un marronnier pour sujet, comme dans cette page que je signale à l'attention du Kamerad téléphobe, au cas (improbable) où elle lui aurait échappé :
https://noussommespartout.com/fetichisme-du-marronnier-de-lhysterie-a-la-provocation/tour-dhorizon/
Écrit par : Blumroch | 11/08/2020
[Musicalmar "Une absence de visage pour l'éternité"]
Dans *The Fountainhead*, Gail Wynand, magnat de la presse de caniveau à prétention, rappelle à sa rédaction sa mission et sa cible :
//
One day he brought into the office a man he had picked off the street. It was an ordinary man, neither well-dressed nor shabby, neither tall nor short, neither dark nor quite blond ; he had the kind of face one could not remember even while looking at it. He was frightening by being so totally indifferentiated; he lacked even the positive distinction of a half-wit. Wynand took him through the building, introduced him to every member of the staff and let him go. Then Wynand called his staff together and told them : "When in doubt about your work, remember that man's face. You're writing for him."
"But, Mr. Wynand," said a young editor, "one can't remember his face."
"That's the point," said Wynand.
//
Le visage de Rudeau est déjà un masque anonyme et gris.
Écrit par : Blumroch | 11/08/2020
Blumroch > Je n'ai jamais réussit à trouver une version française ou VOSTF du film sur Robert E. Howard.
Excellent cette article sur l'arbre mémoriel. On peut y constater que les violions c'est surtout pour les gogoys.
Rudeau ?
Écrit par : Pharamond | 11/08/2020
@Pharamond : Tout le monde s'appelle Rudeau dans *Septentrion*, à part les rares ceusses qui tentent de fuir la massification.
Autre jolie scène sur cette dialectique hégélienne, dans *The Fountainhead*, quand Wynand comprend que malgré sa fortune et sa réussite, il a eu tort de se croire un meneur, car il est un mené comme les autres -- et mené par un public d'inconnus décidant de sa vie ou de sa mort, en masse. Ils ont beau avoir la belle vie, les bergers ne valent pas plus que les moutons, à une époque qui prend plaisir à tout souiller et qui contraint tout le monde à s'agenouiller devant les idoles.
//
Here I am, my masters, I am coming to salute you and acknowledge, wherever you want me, I shall go as I'm told. [...]
Stand here, he thought, and count the lighted windows of a city. You cannot do it, but behind each yellow rectangle that climbs, one over another, to the sky -- under each bulb down to there, see that spark over the river which is not a star -- there are people whom you will never see and who are your masters.
[...]
Your masters, Gail Wynand. There is a net-longer than the cables that coil through the walls of this city, larger than the mesh of pipes that carry water, gas and refuse -- there is another hidden net around you ; it is strapped to you, and the wires lead to every hand in the city. They jerked the wires and you moved. You were a ruler of men. You held a leash. A leash is only a rope with a noose at both ends.
My masters, the anonymous, the unselected.
[...]
He walked past an open marble court, a cave cut deep into a building, filled with light, spurting the sudden cold of air-conditioning. It was a movie theater and the marquee had letters made of rainbows : Romeo and Juliet. A placard stood by the glass column of the box office: "Bill Shakespeare's immortal classic ! But there's nothing highbrow about it ! Just a simple human love story. A boy from the Bronx meets a girl from Brooklyn. Just like the folks next door. Just like you and me."
He walked past the door of a saloon. There was a smell of stale beer. A woman sat slumped, breasts flattened against the table top. A juke box played Wagner's "Song to the Evening Star," adapted, in swing time.
[...]
You don't run things around here. You don't run things around here. You've never run things anywhere, Gail Wynand. You've only added yourself to the things they ran.
//
Et dans le roman, Wynand qui se croyait de l'étoffe des surhommes, doit s'incliner devant la pression des anonymes qu'il affectait de mépriser.
Aurait-il disposé d'une petite armée que les choses auraient été différentes... ;-)
Écrit par : Blumroch | 11/08/2020
P.S. : Très bon, "gogoy". ;-)
Écrit par : Blumroch | 11/08/2020
Blumroch > Rudeau est le nom du héros.
http://jeanraspail.free.fr/bibliographie1m.htm
C'est du joli romanesque, mais dans la vraie vie les rouages sont content d'être des rouages quand ils sont dorés. Ils tournent avec la grande machine dans le confort du conformisme, sûrs de leur bon droit.
Merci ;-)
Écrit par : Pharamond | 11/08/2020
@Pharamond : C'est le nom collectif de la masse informe et grise en uniforme. Le Rudeau qui prend la fuite avec le groupe d'individus est *un* Rudeau, qui d'ailleurs rit en pensant que la principauté pourrait prendre le nom de Rudeauville.
Dans le roman, le rouage a cru être plus qu'un rouage. ;-)
Écrit par : Blumroch | 11/08/2020
Blumroch > J'avais oublié, ma mémoire me fait défaut.
Amusant de constater qu'un des plus beaux spécimens du progressisme s'appelle... Trudeau.
Écrit par : Pharamond | 11/08/2020
[Musicalmar]
A en croire plusieurs articles récents, de nombreux maires se plaignent d'être agressés par d'ingrats représentants de la diversitude. Soucieux de justice, ils voudraient apparemment un traitement de faveur pour être protégés, à l'image des journalopes et autres zénarques. Et pourquoi pas une loi accordant par avance une totale impunité aux auteurs d'agressions, quelle qu'en soit la nature, si et seulement si elles ont été perpétrées contre le seul *pecus vulgare*, fait pour subir et crever *en silence* ?
Au reste, ce serait simple formalité pour complaire au juridisme de nos chers bureaucrates, puisqu'elle est déjà entrée en vigueur sans le moindre décret d'application, avec l'efficace complicité des milichiens, des juges rouges et verts, et d'une population en voie d'anéantissement.
[Musicalmar]
Dans une petite ville ayant triomphalement réélu un maire très compréhensif (pour lui, si j'en crois les gazettes, la disparition des crimes consiste à attendre avec patience que jeunesse se passe), au cours d'une marche contre les semeurs de troubles, on aurait entendu cet affreux cri de haine : "On est chez nous". Cri pourtant défensif, comme "White Lives Matter". De fait, le bon slogan serait plutôt "Vous n'êtes pas chez vous", que les destinataires possèdent ou non des "papiers". Quand on exècre un pays, on n'y reste pas, et si on s'efforce de l'occuper avec la complicité des zélites zautoproclamées, on devrait s'attendre à quelque résistance, comme à une autre époque d'ailleurs de moins en moins magnifiée pour d'assez évidentes raisons.
Dire que jusqu'à une date récente, cette petite ville n'évoquait qu'une facétie des *Jalons*, consacrée aux diaporamas de vacances infligés aux amis. "Papalavasse ! Papalavasse !".
Écrit par : Blumroch | 11/08/2020
Blumroch > Tous les envahisseurs nomades se comportent de la même façon ; ils restent le temps de piller tout ce qu'il y a à piller puis on va voir ailleurs.
Écrit par : Pharamond | 12/08/2020
@Pharamond : J'avions oublié d'saluer ta remarque sur le Trudeau qui, adepte du "black face", mériterait de changer ainsi son nom pour faire afro-raspalien : T'Rudeau. ;-)
Écrit par : Blumroch | 12/08/2020
Blumroch > Soumets-lui l'idée, il n'osera pas refuser.
Écrit par : Pharamond | 12/08/2020
@Pharamond : Il exigera une orthographe simplifiée : T'Rudo -- la modestie du minuscule lui ferait sans doute préférer t'rudo, mais alors le nom ferait un peu belge, ce qui est peut-être pire que canadien.
J'en profite pour te signaler cet éloge, inattendu chez *Causeur*, de Xavier Eman :
https://www.causeur.fr/mauvaises-nouvelles-de-la-france-180356
Écrit par : Blumroch | 15/08/2020
Blumroch > Mal lu par certains les autres comprendrons "T'es Rudeau" comme une injonction. Ils le seront tous... comme dans "Septentrion".
Merci. C'est surprenant d'autant plus que le second est inférieur au premier. Il lui manque sans doute la fraîcheur de la nouveauté.
Écrit par : Pharamond | 15/08/2020
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