31/01/2020
L'année du rat
Aujourd'hui j'ai croisé les premiers porteurs de masque de protection destiné, j'imagine, à éviter la contagion par le coronavirus. Sage précaution ou délire hypocondriaque ? Quoi qu’il en soit Bordeaux avait ainsi pris un petit air de métropole asiatique. Il est vrai que la capitale de la Nouvelle Aquitaine est jumelée avec Wuhan.
17:45 | Lien permanent | Commentaires (5)
Commentaires
@Pharamond : Au vu du titre, j'attendais une savante analyse de la situation à Paris, où pullulent les rats[1] à deux[2] ou quatre pattes !
Je crois avoir lu qu'au Japon, le port du masque est aussi une manière de protéger autrui.
[1] Pas des gudistes, évidemment.
[2] Seuls sont visés ici les politicards, *évidemment*. Mais est-ce encore une facétie "autorisée par le gouvernement" ?
Écrit par : Blumroch | 31/01/2020
Oui, au Japon où le civisme et le bien commun ont encore un sens le masque est porté par les personnes susceptibles de contaminer les autres. Chez nous on affronte le ridicule qui ne tue plus depuis des décennies pour se préserver.
Écrit par : Pharamond | 31/01/2020
Grand Maître Marabout du ciel > J'ai visité vos sites et malgré votre syntaxe approximative vous m'avez convaincu. Je vais être direct : combien prenez-vous pour exterminer tous mes ennemis disons en une quinzaine ? Je vous préviens : ils sont nombreux et puissants. A bientôt.
Écrit par : Pharamond | 31/01/2020
@ Blumroch
Ou sur la cité phoceptique comme aiment bien dire les commentateurs de foot. Là dernière fois que je m'y suis rendu, j'avais trouvé une chambre d'hôtel proche de mon lieu de réunion. Connaissant mal la ville, je ne savais pas qu'en m'éloignant de quelques centaines de mètres des rues convenables de ce quartier tout neuf, on se trouvait dans un cloaque sans nom. M'étant trompé de direction à la sortie du métro, je pus en profiter une demi-heure. A un moment, ne voulant pas déranger un groupe de quadrumanes ni connaître le motif de leur attroupement, j'ai traversé la rue et me suis retrouvé en tête à tête avec un rat de belle taille, plus gros que ceux que j'avais pu voir dans des pays des Suds comme on dit pudiquement, grimpant à l'un des barreaux d'un fenêtre d'un squat. Ce fut assez enrichissant, d'autant plus que c'était le jour de fin de ramadan et que les rues étaient plutôt désertes, sauf sur la fin, où la nuit venant de tomber, j'aurais pu me prendre pour le joueur de flûte d'Hamelin.
@ Pharamond
C'est Bénin, et pourvu que ça le reste :-)
Écrit par : Sven | 01/02/2020
@Sven : Au début des années 80, une condisciple de khâgne et moi prenions un chocolat dans le salon de thé d'une fameuse librairie anglaise, quand nous vîmes passer, le long du mur, un assez gros rat. Ecoeurés, nous hélons une serveuse pour lui signaler l'incident. Elle nous répondit avec un haussement d'épaules : "Ce n'est rien, ils ne mordent pas."
C'était l'avant-garde !
Écrit par : Blumroch | 01/02/2020
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