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19/04/2019

Le jeu des deux images (329)

Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte. Cette énigme nous est aimablement proposée par Blumroch.

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329b.jpg

Commentaires

Je suis presque sûr de détenir la bonne réponse, mais je patiente un peu pour laisser jouer les autres participants... s'il y en a ;-)

Écrit par : Pharamond | 19/04/2019

La ptite caporale des sapeurs pompiers de ND,
Celle qui vient du Nord et porte un nom polonais.

Écrit par : Carine | 19/04/2019

@Pharamond : Vous êtes trop aimable ! ;-)
@Carine : Je m'en voudrais d'exploiter la sinistre actualité ! ;-)

Écrit par : Blumroch | 19/04/2019

Blumroch > Si c'est bien ce que je crois et j'en suis presque sûr, c'est effectivement plutôt facile... pour une fois ;-)

Carine >
https://www.youtube.com/watch?v=8wm_Gab2sfQ

Écrit par : Pharamond | 19/04/2019

@Pharamond : Avec vous, ce n'est pas la collection "Ce que je crois" mais "Ce que je sais". ;-)

Écrit par : Blumroch | 19/04/2019

C'est à vous d'être trop aimable ;-)

Écrit par : Pharamond | 19/04/2019

@Pharamond : Comme je sais que vous savez, j'ai bien envie de vous déclarer vainqueur sans même que vous alliez formuler la réponse ! ;-) Ce serait une première, j'imagine !
Mes remerciements aux participants seront manifestement très brefs : merci donc à Dame Kameradin Carine, et merci à vous !

Écrit par : Blumroch | 19/04/2019

Je préfère soumettre ma réponse avant de recevoir les lauriers. Donc je pense à l'écrivain Jacques Perret concurrent malheureux avec son roman "Le caporal épinglé" de Jean-Louis Curtis avec "Les Forêts de la nuit" pour le Goncourt de 1937.

Écrit par : Pharamond | 19/04/2019

La couronne de lauriers revient donc à Pharamond, qui a immédiatement identifié Frédéric Puisant, pardon, Jean Raspail, pardon, Jacques Perret -- l'extraordinaire écrivain, et non l'autre, le latiniste extraordinaire[1].

De très nombreuses illustrations étaient envisageables pour désigner celui qui, devant un Pivot médusé, avait formulé cette profession de foi laconique et définitive : "Je suis pour le trône et l'autel". Celles que j'ai retenues tiennent à deux textes que j'apprécie. L'énigme ne présentait aucune vraie difficulté -- à la limite, la première image suffisait pour trouver.

En 1947, deux romans étaient en lice pour le prix Goncourt : *Le caporal épinglé* de Jacques Perret, et *Les forêts de la nuit* de Jean-Louis Curtis, qui l'emporta par six voix contre deux. Si Curtis et Perret sont tous deux au nombre de mes écrivains favoris, là, j'aurais voté (beurk !) pour *Le caporal épinglé*.

En 1965, le "clodovicien patriotard" jugeait nécessaire d'écrire pour *Aspects de la France* un texte délicieux, "Rapport sur le paquet de gris", qui faisait l'éloge du bon tabac et du vrai paquet de gris Scaferlati avec son emballage... marron.

Guitry, à une dame qui lui demandait ce qu'elle pourrait bien lire pour aborder Molière, répondit sobrement, sans doute légèrement agacé : Molière. Les intermédiaires et les médiateurs sont toujours inutiles, en tout cas facultatifs. J'irai donc imiter le moraliste pour donner en guise de *blurb* ce seul nom : Perret.

J'en pourrais évidemment écrire bien plus, mais on me créditera d'un acronyme qui mériterait de faire partie du jargon d'Internet : "VTFIDNBTWAIDNWTB" pour "Very Terse, For I Did Not Bother To Write And I Do Not Write To Bother". Et puis, à participation minuscule (mais d'élite !), blurb minuscule. ;-)

Lisez Perret. C'est un des derniers bonheurs à savourer avant que ne tombe la Grande Nuit Définitive.

[1] Le héros de "La clef d'or" (*in* *Les hussards*) tient autant de Jean Raspail que de Jacques Perret, dont l'universitaire homonyme avait trouvé la seule traduction intelligente du mot engliche *computer*, savoir *ordinateur*.

Écrit par : Blumroch | 19/04/2019

Même "minuscules" vos blurbs sont toujours très intéressants et vos conseils de lectures judicieux.
Merci.

PS : Ni mon anglais déficient ni Google ne me permettent d'apprécier la sentence, pourriez-vous la traduire ?

Écrit par : Pharamond | 19/04/2019

@Pharamond : Une adaptation pourrait donner : "Blurb minimaliste car je ne me suis pas ennuyé à l'écrire, ne voulant pas écrire pour ennuyer". ;-)

Les chroniques de Perret sont un régal, qui trahissent une adhésion très limitée aux valeurs de son époque : *Bâtons dans les roues*, *Cheveux sur la soupe* et *Salades de saison*. *Rôle de plaisance* et les *Histoires sous le vent* sont très bien aussi. En cherchant, on peut même trouver un tract anonyme, au style très Perret, révélant la vraie signification des trois lettres d'un mouvement de résistance : On A Soif. ;-)

Écrit par : Blumroch | 19/04/2019

A défaut de trouver sur Internet les deux papiers que Renaud Matignon avait consacrés à Perret (c'était l'époque où "Figaro" et "littéraire" ne formaient pas totalement un *oxymoron*), ces deux honnêtes hommages :

https://www.valeursactuelles.com/culture/jacques-perret-passeur-flamboyant

https://www.valeursactuelles.com/les-ecrivains-voyageurs-jacques-perret-un-flibustier-dans-le-vent-63908

Nous serons les derniers lecteurs de Français comme Perret, dont nous sommes tous indignes. :-(

Écrit par : Blumroch | 20/04/2019

Ahhh ! pas le temps de dégainer , Blumroch est "Impitoyable" :-D

Écrit par : EQUALIZER | 20/04/2019

@EQUALIZER : Mais non, Kamerad : plus simplement, Blumroch a enfin pris la mesure de l'[in]intérêt des énigmes qu'il proposait. ;-)

Écrit par : Blumroch | 20/04/2019

Aujourd' hui j' avais repas d' anniversaire ... on peut pas être partout ! ;-)

Écrit par : EQUALIZER | 21/04/2019

@EQUALIZER : La meilleure -- en tout cas la plus habile -- des excuses, inspirée d'un mot du grand Oscar, c'est "Impossible d'aller chez Pharamond aujourd'hui en raison d'un engagement pris *ultérieurement*". ;-)
"Je suis partout", quand même, c'est un idéal. ;-)

Écrit par : Blumroch | 21/04/2019

Blumroch > On chercherait en vain, je pense, des auteurs de cet acabit de nos jours. Il faut croire que l'époque forge les hommes à son image.

Écrit par : Pharamond | 21/04/2019

@Pharamond : Nous sommes tous nés trop tard, bien trop tard. :-(

Écrit par : Blumroch | 22/04/2019

Sincèrement, je ne sais pas...

Écrit par : Pharamond | 22/04/2019

@Pharamond : Jetez un oeil aux deux vidéos qu'on peut trouver ici chez le bedeau[1]. C'est aussi déprimant que de relire n'importe quel bon auteur des siècles précédents et de se dire : "Pourquoi diable suis-je *ici* ?". C'était vraiment *moins pire* *avant*, en France comme ailleurs, et ce n'est pas une question de médecine ou de frigidaires. Les merveilles de la chiennerie moderne n'ont en rien contribué à la grandeur ou à la vie intellectuelle -- suffit de considérer maîtres, valets et divertissements.

[1] http://aumilieuduvillage.eklablog.com/happy-requiem-a161824132

Écrit par : Blumroch | 03/05/2019

J'avoue avoir du mal à éprouver de la nostalgie pour un monde que je n'ai pas connu (celui des années 50 et 60) même s'il est photogénique. Et ma jeunesse était dans les affreuses années 70/80 où on a laissé déborder les égouts. J'ai de beaux souvenirs de l'époque où j'avais milité croyant pouvoir aider à refermer les vannes et le regret des vertes années tout simplement.

Écrit par : Pharamond | 04/05/2019

@Pharamond et Blumroch : le dernier article signé "Hannibal" (Martin Pelletier) dans Rivarol devrait vous ravir , comme il a fait ma joie (et rire!) ! nous ne sommes pas seuls à penser des "incorrections" ...

Écrit par : EQUALIZER | 04/05/2019

Peut-on le trouver en ligne ?

Écrit par : Pharamond | 05/05/2019

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