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26/05/2017

Peut-on mieux le dire ? (10)

Le réel ne sert à rien... 

Nous étions nombreux à croire, et à croire fermement et depuis fort longtemps, que la confrontation au réel, le choc entre les utopies et une réalité aussi violente qu'implacable, conduirait à un « sursaut », à une « prise de conscience » et un retour en force du simple « bon sens », cet instinct de survie des individus et des peuples. Nous pensions que le jour où les trottoirs de Paris ou de Nice seraient jonchés de cadavres d'hommes, de femmes et d'enfants froidement assassinés par des musulmans fanatiques, que lorsque des hordes de migrants clandestins déferleraient dans les rues, insultant et agressant nos femmes et nos filles, et à l'instant où nos enfants ne pourraient plus aller à l'école en sécurité, qui plus est pour ne plus rien y apprendre, les gens réagiraient et rejetteraient radicalement et massivement les politiques qui nous ont menées à un tel chaos ainsi que les hommes qui les ont servies.

Nous nous sommes trompés. Complètement. Absolument. Nous avons pêché par naïveté. Par paresse peut-être aussi, imaginant qu'il n'y avait finalement qu'à attendre que le lent délitement général atteigne son point de non-retour pour que le balancier reparte en sens inverse et que cycle de la décadence et de la déréliction soit terminé.

C'est très exactement le contraire qui s'est produit, qui est en train de se produire... La radicalisation et la dramatisation du réel n'ont entraîné qu'une accélération de la fuite en avant, une exacerbation de la pulsion de mort qui est sans doute l'élément central et totalement inédit de la post-modernité. Le réel n'est plus qu'une donnée mineure parmi d'autres, une variable d'ajustement. Les gens ne veulent plus réagir et agir pour lui faire face, tenter de le changer, ils veulent l'évacuer, l'oublier... L'effet anesthésiant et hypnotique du prêchi-prêcha humanitaro-progressiste n'est plus le produit d'une drogue injectée de force de l'extérieur, elle est auto-générée par chacun en son for intérieur... Plutôt mourir qu'abandonner l'illusion, plutôt crever la gueule ouverte que déserter le camp du Bien... Les profs insultés, tabassés, glaviotés, ridiculisés continuent à vanter les mérites de la « diversité » et à promouvoir l'immigration... Les femmes insultées ou violentées continuent à parler de « l'islam religion de paix et de fraternité »... Les lycéens rackettés, bousculés, humiliés, s'excusent pour le passé colonial et raciste de leurs grands-parents... Les parents d'un adolescente violée et tuée par des migrants organisent une quête en leur faveur à son enterrement... Les classes moyennes précarisées, paupérisées, pressurées, fuient et cherchent des havres encore protégés sans pour autant oser nommer les responsables de leur exode... Les bourgeois héritiers assistent à la dilapidation du patrimoine et au saccage de la maison commune en feignant de s'en émouvoir mais en restant persuadés que quoi qu'il arrive leur pognon leur permettra de sauver leur petite gueule d'éternels collabos...

Immigration massive et sauvage, attentats sanglants, délinquance et violence exponentielle, chômage endémique, déculturation et atomisation sociale auront mené à l'élection à plus de 60% d'un golden-boy libéral vaguement asexué (ou plutôt omnisexué), niant l'existence de la « culture française » et promettant encore plus de « flexibilité » sociale et d'ouverture au monde et aux marchés... Cela pourrait sembler une incongruité, pour ne pas dire une aberration, c'est au contraire d'une implacable logique, dès lors que l'on ne se place plus dans un registre politique mais dans celui de la psycho-pathologie des foules... On veut prolonger le rêve, les toxicos sont bien trop intoxiqués pour envisager un soudain et douloureux sevrage, on vote donc massivement pour celui qui continue a distribuer allègrement le Soma...

Et même au sein d'une prétendue radicalité, d'une opposition qui se voudrait alternative et révolutionnaire, le réel est presque autant malmené. La négation de celui-ci est simplement différente, inversée pourrait-on dire. On se gargarise de grand mots, s'enivre de citations aussi glorieuses qu'orgueilleuses, on ébauche des projets gigantesques, on fulmine, on menace, on promet, on s'enthousiasme pour n'importe quel demi-chefaillon, s'excite pour la moindre petite starlette, on pérore, on pose, on pontifie... Tout ça pour au final ne rien branler. Et subir. Comme les autres, Peut-être même plus durement, la bouche pâteuse et aigre de l'amertume en plus, la douleur du « voyant impuissant » en supplément. A trop mépriser les tâches humbles, à trop moquer les réalisations modestes, les petits travaux quotidiens, à trop écarter la sincérité au profit de la stratégie, à trop calculer, à finalement se complaire dans le discours comme finalité de lui-même, on se retrouve aussi faibles et démunis que n'importe lequel de ces bobos ou de ces libéraux-libertaires honnis face à cet insupportable et inacceptable réel. 

Source : A moy que chault!

Commentaires

Excellent, comme d'habitude.

Écrit par : Carine | 26/05/2017

Oui, dans notre mouvance Xavier Eman est l'une des personnes les plus lucides même si cela fait parfois mal.

Écrit par : Pharamond | 26/05/2017

Bien que nous ayons, à notre disposition, des moyens de communication beaucoup plus performants que ceux que nous avions il y a quarante ans, la proximité n'existe, quasiment, plus. Nous avons appris à vivre gorgés d'informations et à ne pas nous inquiéter de ce qui arrive aux autres. Non, on analyse, chez soi, tout seul, sans rien dire aux autres. Il n'y a plus de communion sincère, et, même si nous pouvons avoir des idées ou des actions communes, elles ne reflètent plus rien de notre véritable nature. L'homme est un animal social disait Aristote. Ça, c'était avant. Nous ne faisons plus partie de rien. De rien de cohérent, s'entend. En dehors de consommer, que ce soit de l'alimentaire ou de la culture. Tout est dénaturé. Il n'y a même plus de courage. Même celui de dire au serveur que la viande était trop cuite. On allume des bougies, comme des cons et, on attend le prochain attentat, dans notre coin, en refaisant notre stock (en regrettant de ne pas les avoir récupérées, ça aurait couté moins cher). Et puis, on ne fait plus confiance aux autres. Courage, confiance, proximité et communion, ça existe encore, ça ? Chez les fourmis, les abeilles et les termites, peut-être. Nous, on ne sait même plus voir où est notre intérêt.

Écrit par : Tintin | 26/05/2017

les meilleurs sont morts il y a 70 ans ... et le reste en voie de disparition .

Écrit par : EQUALIZER | 26/05/2017

très bonne analyse en effet

il montre très bien c'est ce qui rend toute la réinformation louable mais vaine au fond : Elle ne comprend rien à l'idéologie, croit que c'est un rapport vérité/erreur. C'est une vision au mieux naïve du social

Piégée dans l'individualisme liberal, la droite ne sait pas remonter, ne peut plus remonter en amont du sujet individuel. C'était pourtant son truc à la droite ça, avant, la société organique, l'immanence, l'éthos collectif, etc. "avant" : quand elle savait penser, quand elel savait se battre.

un regret ?

Eman ne peut jamais se priver d'un petit crachat injuste sur la "mouvance" où "l'on s'enthousiasme pour n'importe quel demi-chefaillon". On se demande bien où l'on trouvera dans la mouvance (je ne parle pas des cons-électeurs) un seul enthousiaste des Lepen mais bon... il est de bon ton de cracher sur la droite (je viens de le faire à l'instant). La "mouvance" en a reçu bien d'autre des crachats

Écrit par : Dia | 26/05/2017

Excellent en effet mais un poil défaitiste : d'abord beaucoup sont ceux qui, chacun à leur façon, résistent au quotidien, ensuite parce que l'inviabilité du projet mondialiste n'en est qu'à ses débuts, montre seulement ses premiers symptômes qui épargnent encore, pour le moment, ses promoteurs. L'histoire s'écrit sur le temps long.
Et il nous faut quand même nous réjouir d'avoir eu raison avant tout le monde.

Écrit par : Fredi M. | 26/05/2017

En 1971 "Ordre Nouveau" faisait preuve de courage ! les cocktails Molotov des gauchistes enflammaient déjà gardes mobiles et CRS .. rien de nouveau ! mais "haro" sur l' extrême-droite !
https://www.youtube.com/watch?v=vCxrcn9Bn3E soirée épique !
https://www.youtube.com/watch?v=M887T9g7tgU
à la fin de cette vidéo j' apparais fugitivement :D :D ça va ça va ! y' a prescription pour Nüremberg ! près de cinquante ans après , coucou ! toujours là .. un peu fatigué il est vrai ... ;)

Écrit par : EQUALIZER | 27/05/2017

et pour ceux qui,auraient oublié ce qu' était la violence de la LCR (années 70) ! avoir envie de s' y frotter tenait d' une témérité suicidaire .. et pourtant ? nous n' avons pas failli , malgré le nombre et la Pouvoir .. à 2% contre le reste .
https://www.youtube.com/watch?v=fUAyXqrruzQ
c' était une autre époque ... et je crois que ce sera plus dure et impitoyable à l' avenir ..

Écrit par : EQUALIZER | 27/05/2017

@EQUALIZER : Dans la deuxième vidéo que vous mentionnez, on ne voit ni Edward Woodward ni même Samuel Colt. Voilà comment on écrit l'histoire ! ;-)
Sans esprit facétieux : z'aviez du courage. Et comme vous le dites : c'était une autre époque. Je ne suis pas certain que nous puissions avoir un Alamo, un Camerone ou un défilé des Pierres chaudes, malheureusement.

Écrit par : Blumroch | 27/05/2017

@EQUALIZER

respects !

Écrit par : Il Popolo d'Italia | 27/05/2017

Il faut que je me bouge ! Ce matin je suis resté fasciné un bon bout de temps devant la photo de messieurs Macron et Trudeau,
http://actu.orange.fr/monde/macron-et-trudeau-posent-ensemble-et-font-la-joie-des-reseaux-sociaux-magic-CNT000000IOnum.html
Puis, dans la foulée, je suis tombé sur ça :
http://www.fdesouche.com/856487-la-pm-polonaise-ou-vas-tu-europe-releve-toi-sinon-tu-pleureras-tous-les-jours-tes-enfants
Il se passe quelque chose, si si, ce qu'on mange peut-être ou l'air qu'on respire, mais il se passe quelque chose, l'humain se transforme. Cette époque est passionnante.

Écrit par : Coach Berny | 27/05/2017

@Coach Berny : "Cette époque est passionnante". Well, "May you live in *interesting* times" a beau être une expression chinoise apocryphe (et "interesting" être ici un *understatement*), c'est *quand même* une malédiction. ;-) A considérer l'environnement, nous sommes en Enfer, ou au moins dans un Purgatoire bien long.

Écrit par : Blumroch | 27/05/2017

quand je vois ce qui se passe à Paris -La Chapelle- où les femmes sont harcelées , je me demande "où sont les hommes?" ne resterait-il que des vieux et des lopettes à Paris pour ne pas aller foutre une branlée monstre à cette bande de cloportes ? les manches de pioche ne sont pas fait pour s' assoir dessus . Quand je vois qu' il y a 100 à 200.000 personnes pour une Teuf géante ou la gay-pride à Paris et même pas mille couillus pour démolir les parasites ... faut dire qu' avec 90% de macronnards à Paris c' est une ville à vitrifier ! :D

Écrit par : EQUALIZER | 27/05/2017

@EQUALIZER

surtout pas ! surtout pas ! Il FAUT que certains quartiers soient interdits aux femmes. C'est très bien

Écrit par : Mistersmith | 27/05/2017

@ EQUALIZER | 27/05/2017
mille couillus, dites vous.
- D'une part, il est plus que probable qu'une expédition de ce style serait éventée avant même sa conception (combien de flics ou indics parmi ces 1000 ?)
- D'autre part, ce qui retient les couillus, c'est à mon avis plus la crainte des ennuis judiciaires qu'autre chose ; vous pouvez être certain que l'enquête avancera très vite et que les coupables de cette ignoble agression à caractère raciste seront très très sévèrement condamnés par un juge du mur des cons
- Vous devez prendre en compte aussi la cascade de représailles qui va s'abattre sur l'ensemble des patriotes

Écrit par : Philippe Dubois | 28/05/2017

C' est vrai aussi ... donc "ne rien faire" ? ... et si c' était 1000 femmes en colère qui s' en occupent ? :D

Écrit par : EQUALIZER | 28/05/2017

Ce peuple ne mérite plus qu'on s'investisse et qu'on risque sa vie pour lui.
Le châtiment doit passer, Dieu reconnaitra les siens.

Écrit par : Paul-Emic | 28/05/2017

@P-E ... "Kil em all ! let' God sort em out" ! .. Dieu nous entende ! ;)
https://sep.yimg.com/ay/yhst-16507483819514/kill-em-all-let-god-sort-em-out-embroidered-patch-3-12.jpg

Écrit par : EQUALIZER | 28/05/2017

@Paul-Emic


"Ce peuple ne mérite plus qu'on s'investisse et qu'on risque sa vie pour lui"


ce "peuple" sans doute pas mais ceux de notre camp qui s'engagent et qui prennent des coup, ceux là il faut les soutenir ou bien accepter de rejoindre le camp des traitres

https://www.leetchi.com/fr/Cagnotte/19972357/e043fd67

Écrit par : Dia | 28/05/2017

oui certainement et je fais ma part à mon échelle, mais ce n'est plus la France ce sont des proches au sens tribal du terme même si je ne les connais pas physiquement, c'est en-deça du peuple , on va dire en-deça de la nation.
Je n'en ai plus vraiment l'âge, mais alors que j'ai longtemps servi, il serait hors de question par exemple que j'accepte une convocation pour me rendre sur une frontière quelconque pour défendre 66% de pourris.

Écrit par : Paul-Emic | 28/05/2017

moi non plus , " de profondis macronibus" qu' ils crèvent tous !

Écrit par : EQUALIZER | 28/05/2017

Tintin > En 86 Pauwels avait tout dit avec son sida mental :
Le monôme des zombis
Ce sont les enfants du rock débile, les écoliers de la vulgarité pédagogique, les béats de Coluche et de Renaud, et somme toute, les produits de la culture Lang. Ils sont ivres d'une générosité au degré zéro, qui ressemble à de l'amour mais se retourne contre tout exemple ou projet d'ordre. L'ensemble des mesures que prend la société pour ne pas achever de se dissoudre : sélection, promotion de l'effort personnel et de la responsabilité individuelle, Code de la nationalité, lutte contre la drogue, etc., les hérisse. Ils ont peur de manquer de moeurs avachies. Voilà tout leur sentiment révolutionnaire. C'est une jeunesse atteinte d'un sida mental. Elle a perdu ses immunités naturelles; tous les virus décomposants l'atteignent.
Louis Pauwels
Editorial du Figaro magazine du 06/12/86.

EQUALIZER > Nous nous avons l'âge d'avoir connu "l'avant", mais les jeunes...
Je suis d'ailleurs étonné qu'ils y en aient tout de même des "nôtres".

Dia > C'est un pamphlet avec ses outrances, d'ailleurs bien sages quand on regarde la réalité.

Fredi M. > L'histoire s'écrit au long terme, soit, mais ce qui importe à l'homme c'est de voir ces proches héritiers profiter de ce qu'il leur laisse, peu importe que dans trois génération sa famille dilapide les biens amassées ou enrichissent encore le patrimoine. Il n'en saura rien et s'en contrefiche légitimement.
Et pour l'instant ce que je vois me rend malade.

EQUALIZER > C'était dur à l'époque, mais la République encore sure d'elle laisser un peu de mou aux "fachos", maintenant c'est le tribunal et peut-être la prison, la République a bout de souffle s'épouvante de toute dissidence et tape fort.
Ceci dit, bravo pour les actions de l'époque !

Coach Berny > On est invariablement attiré par le vide, il faut faire attention.

EQUALIZER > Il faut plus que des couillus des candidats au martyr par la ruine et la mort sociale, cela va au-delà du simple courage physique comme l'explique Philippe Dubois.
Quant aux femmes, je ne suis pas misogyne mais leur instinct de survie étant plus fort que celui des hommes elles sont les premières à câliner les futurs maîtres du pays c'est inscrit dans leurs gênes : il faut trouver un mâle qui saura protéger sa progéniture.

Paul-Emic > J'en viens parfois à penser comme vous. Ne voyant pas de solution et devant le spectacle de mes contemporains j'en deviendrais nihiliste si ce n'était la vision d'un village autour de son église, le rire des enfants dans une cours d'école, le sourire d'une jeune femme qui a échappé à la mode du moment qui me disent qu'il faut rester vigilant au cas où... et que tout n'est pas encore pourri.

D'accord avec vous : comment être militaire ou policier aujourd’hui ?

Écrit par : Pharamond | 29/05/2017

@Pharamond (en espérant que hautetfort ne va pas *encore* dupliquer un commentaire sans nécessité -- yep, le commentaire aussi, sans nécessité, probablement) : Vladimir Volkoff, dans *L'enlèvement* avait tenté de répondre à cette question. Si mes souvenirs (lointains) sont exacts, le héros enlevait un chef de guerre résistant au N.O.M. pour que la France puisse livrer le méchant au T.P.I., favorisant les desseins des maîtres ricains. Le capitaine français se réfugiait dans la vertu d'obéissance aveugle aux ordres, à des ordres qu'il savait pourtant immoraux. Réponse bien facile que celle de la *servitude* militaire. Désobéir, au minimum démissionner, ce n'est pourtant pas si difficile quand on a le sentiment inné de la *décence* ("Fais ce que dois, advienne que pourra").

Écrit par : Blumroch | 29/05/2017

Un des Volkoff que je n'ai pas lus. J'aimais beaucoup ces premiers romans, mais j'ai été un peu déçu par les quelques suivants que j'ai pu lire. J'ai trouvé qu'il tournait un peu en rond et était un peu trop complaisant avec son lectorat à qui il semblait donner ce qu'il attendait sans prendre de risque. Mais je suis loin d'avoir tout lu et ce n'est qu'une impression.

Quant aux hommes en uniformes ils sont à l'image de notre monde : tout en esbroufe, voir les pitoyables pitreries de Piquemal.

Écrit par : Pharamond | 29/05/2017

@Pharamond : Sur le camarade Volkoff, je suis d'accord avec vous. J'ai pu lire une trentaine de ses livres, dont je ne n'irais garder que ceux-ci : *Le retournement*, *Le montage*, *Le bouclage*, *Le Berkeley à cinq heures*, *Le professeur d'histoire*, les *Chroniques angéliques* (pour une seule nouvelle), et la *Petite histoire de la désinformation*.

Je compte à part la série des Langelot, évidemment.

Écrit par : Blumroch | 29/05/2017

les hommes en uniforme devraient faire ce que beaucoup ont fait pendant l' occupation ... regarder ailleurs , trainer les pieds , saboter les ordres mine de rien ... résister ! il faut être des vraies couille-molle pour obéir comme des bourrins , Mais faut pas venir pleurnicher quand on s' en prend plein la gueule tout en suçant le pouvoir les syndicats de police ! des vendus qui tiennent à leur boulot de permanents syndicaux , des branleurs bien planqués ! alors évidemment ils font là où on leur dit de faire ...

Écrit par : EQUALIZER | 29/05/2017

Blumroch > Hors "Le professeur d'histoire" j'ai lu tous les livres que vous citez et sauf peut-être "Le bouclage" un peu trop simpliste et systématique à mon avis et les "Chroniques angéliques" inégales ils sont sans doute mes titres de Volkoff que je préfère.

Langelot a enchanté mon adolescence bien avant que je découvre Volkoff quelques années plus tard et peu après que le mystérieux Lieutenant X et lui ne faisait qu'un. J'avoue que le nom énigmatique de l'auteur de la série contribuait à me le faire apprécier quand j'avais l'âge de lire la Bibliothèque verte.

EQUALIZER > Les mêmes qui louent les exploits de la Résistance pendant la guerre parce qu'accomplis face à la bête immonde au péril de la vie de leurs auteurs trouvent normal que les policiers fassent leur sale boulot parce que c'est normal de pas vouloir risquer de se retrouver au chômage par les temps qui courent.

Écrit par : Pharamond | 30/05/2017

oui ... il faut se souvenir du chêne et du roseau : je plie mais ne rompt pas .

Écrit par : EQUALIZER | 30/05/2017

Et en ce moment il vaut mieux avoir le dos souple...

Écrit par : Pharamond | 30/05/2017

@Pharamond : *Le bouclage* n'est certes pas le meilleur roman de Volkoff, mais dans un monde normal, il devrait être le *vademecum* de tout flic décent.

Des *Chroniques angéliques*, je ne retiens que la nouvelle sur Lénine ("Le dernier damné" ou "L'ultime damné", j'en ai oublié le titre exact).

Vous pouvez donc vous épargner les autres oeuvres de Volkoff, puisque nous en arrivons sensiblement à la même sélection. ;-)

Si mes souvenirs sont bons, dans le premier *Langelot*, le méchant était le directeur du centre de formation des jeunes espions dévoués à la gueuse, hélas ! Langelot complotant pour le retour d'un roi ou assimilé, beau sujet pour Raspail.

Écrit par : Blumroch | 31/05/2017

De Langelot je ne me souviens plus de grand chose, c'était il y a si longtemps...

Écrit par : Pharamond | 31/05/2017

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