statistiques web gratuite

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

18/06/2013

Point

J'aimerais beaucoup qu'un des optimistes de la réacosphère me donne son opinion sur la manière dont les choses pourraient s'améliorer pour nous. Même une simple ébauche. Personnellement je ne vois aucune solution, qu'elle soit démocratique ou autre. À ceux qui me répondraient avec la fameuse citation de Charles Maurras affirmant que "tout désespoir en politique est une sottise absolue" je rétorquerai que le cher ancêtre a fini ses jours en détention et que depuis le nationalisme n'a cessé de perdre du terrain pour finir par être aujourd'hui complètement marginalisé. Nicolás Gómez Dávila disait lui que "si le réactionnaire n'a aucun pouvoir à notre époque, sa condition l'oblige à témoigner de son écœurement." J'en suis là.

Commentaires

On a demandé un optimiste? Me voilà! Les choses vont s'améliorer de façon très simple: plus la masse immigré grossira et revendiquera des adaptations sociales et des lois pour elle, plus les de souche vont se radicaliser. Travaillant dans un milieu pas spécialement «de droite» (pour faire simple), je peux vous garantir que j'entends de plus en plus des discours plus proche du Front National que de Gauche. Jusqu'à un chargé de projet qui m'a parlé de sa dernière lecture, à savoir Alain Soral (juste pour l'exemple, hein!, on s'en cogne de Soral). Et qui dit radicalisation dit réaction. Donc haut les cœurs; l'avenir est devant! Et puis,on ne sait jamais comment l'Histoire évolue…

Écrit par : Tyrsson | 19/06/2013

On est foutu ! Sauve qui peut ! Vive le sport !

Écrit par : Coach Berny | 19/06/2013

Euh! "T'en fais pas mon p'tit loup, c'est la vie, ne pleure pas..." (en fait, je ne vois pas trop non plus).

Écrit par : Le blaireau-garou | 19/06/2013

Je ne sais plus quel écrivain disait: les hommes n'ont peur que des menaces, quant aux faits il s'y plient rapidement.
Tot ou tard nous allons être confronté à un effondrement de l'état et une démission des pouvoirs publics ( déjà bien engagée).
Ce jour là les différentes organisations criminelles et parasitaires ( nervis gauchistes, pégres immigrées, syndicats communistes, etc,...)qui occupent le pays; et jusque ici plus ou moins contenues dans les fiefs qui leur sont concédés par la ripoublique; se déchaineront pour se tailler un territoire à mettre en coupe pour le piller.
A ce moment là, nos compatriotes se souviendront ( y compris les bobos gauchistes) qu'avant d'être des citoyens du monde et de la république socialo-egalitaire froncèze, ils sont des européens blancs et que les seuls endroits du monde ou ils peuvent espérer vivre sans être réduits en esclavage ou trucidés par des barbaresques sont les autres pays d'europe ou les blancs sont encore majoritaires.

Après avoir fui les banlieues pour les zones péri-urbaines, puis fui celles-ci quand les pouvoirs publics* les rattrapent pour les contraindre à nouveau au vivre ensemble avec la "diversité- chance- pour-la-France", puis les campagnes et la province, ils ne leur restera plus qu'a quitter le territoire de la république une-et-indivisible, qui du cout ne le sera plus.

Nous allons assister dans les decennies suivantes à des tentatives d'émigrations massives vers l'Europe de l'Est de la partie la plus riche de la population française. Seuls ceux qui réussiront conserveront LEURS LIBERTES ET LEUR IDENTITE RACIALE !

*( voir les discours de sarkozy qui sont en tout point identiques avec ceux des idéologues socialistes-Julien Dray, Martin Hirch- par exemple sur la mixité sociale, notamment sur la nécessité de CONTRAINDRE LES GENS AU METISSAGE !)

Écrit par : Manu La grimace | 19/06/2013

Tyrsson > De la parole aux actes, ne serait-ce que celui de mettre le bon bulletin dans l'urne, il y a un gouffre infranchissable pour la quasi majorité. Sinon, il est vrai qu'il est difficile de prévoir le futur mais ici il ne s'agit plus de futur mais de la simple évolution de notre présent.

Coach Berny > On peut voir ça comme ça.

Le blaireau-garou > Les larmes ça brouille la vue et sa complique le tir.

Manu La grimace > Sauf que le reste de l'Europe sera autant dans le caca que nous.

Écrit par : Pharamond | 19/06/2013

Dites-donc Pharamond, c’est la grosse déprime en ce moment chez vous hein ?
Cela étant, je me permets de vous signaler un énorme « gap » (un magnifique lapsus ?) dans le texte de votre billet.
Je cite : « Personnellement je ne vois aucune solution, qu'elle démocratique ou autre. »
Il manque apparemment le verbe « être » conjugué au subjonctif.
Il faut en effet lire (sauf abus de ma part) : « Personnellement je ne vois aucune solution, qu'elle SOIT démocratique ou autre. »
C’est très révélateur en fait. Le mode subjonctif est en effet l’apanage et même la hache à double face de tout bon « réactionnaire » (celui qui réagit) — je fais court hein.
Par définition donc, le « réactionnaire » n’est ni optimiste, ni pessimiste : il réagit (et si possible au présent). Bref, il vit et réfléchit, sachant que ses plus grands ennemis, sont l’Amorphe, la langue de bois, le politiquement correct, le collectivisme rampant, festif et liberticide, le Passé (recomposé ou pas), etc.
Et sa plus grande gageure, ce n’est pas le futur, c’est bien le présent dans sa peau, en nerf et en chausses.
Enfin, vous semblez confondre « réactionnaire » et « nationaliste ».
Moi, pas tout comprendre là.
Signé : un philosophe quantique, vivant, humaniste et donc, réactionnaire stoïque.
Bien à vous.

Écrit par : Martin-Lothar | 19/06/2013

Ne périt que ce qui mérite de périr. Le tout c'est de ne pas rester sous les décombres. Le tout, c'est de se détacher de ce qui meurt... le tout c'est de rechercher un moyen de se sauver soi sans attendre ni espérer rien de la "France" ou de l'Etat. Moi, j'ai très bien fait mon deuil de la France... Je laisse les consommateurs consommer, les sauveurs de "France" sauver, le révolutionnaire de tous poils délirer et je bois le pastis frais...

Écrit par : Ivane | 20/06/2013

"Le tout, c'est de se détacher de ce qui meurt... le tout c'est de rechercher un moyen de se sauver soi sans attendre ni espérer rien de la "France" ou de l'Etat. Moi, j'ai très bien fait mon deuil de la France... Je laisse les consommateurs consommer, les sauveurs de "France" sauver, le révolutionnaire de tous poils délirer et je bois le pastis frais..."

Exactement çà !!
Et n'avoir aucune pitié pour ceux qui ne sont pas de vôtres.

Écrit par : A.g. | 20/06/2013

"Ne périt que ce qui mérite de périr."

Pas fan de ce genre d'attitude.
Car ce n'est pas une question de mérite.
La question, c'est d'être, comme européen blanc, pour ou contre les blancs.
Que ces blancs aient ou pas "du mérite", c'est largement secondaire, un truc d'intellectuel ou d'esthète.
Ah, et le "mérite" des "autres", rien à battre.
Je peux admirer la différence méritoire, quand elle est chez elle.
En Europe ---> raus, mérite ou non.

Écrit par : UnOurs | 20/06/2013

Le terme est ambigu. Disons ce qui veut vivre ou ce qui aspire à disparaître... Survivre, ils survivront toujours mais au prix de quels reniements? je ne me sens plus lié au destin de ce grand Bordel métissé. Voilà. Et si quelque chose doit survivre, il survivra dans les communautés auto-centrées qui auront su s'abstraire de la machine à décérébrer...

Écrit par : Ivane | 20/06/2013

Martin-Lothar > Merci pour la correction. Je confonds "réactionnaire" et "nationaliste" parce que je suis les deux et qu’aujourd’hui les deux sont souvent dans le même camp.

Ivane et A.g. > Vous avez sans doute raison mais je n'arrive pas à faire mon deuil de la France.

Écrit par : Pharamond | 20/06/2013

Pharamond, je pense que nous sommes nombreux à passer par cet état de désespoir, mais chez vous on dirait que ça commence à sérieusement s'installer... chacun sa thérapie, personnellement j'ai réussi, tout comme le Sublimissime Ivane, à faire le deuil de la "France".

Mais j'ai encore une croyance bien enracinée en moi : rien n'est écrit. Et plus la situation empirera, plus les individus seront mûrs pour le réveil et l'action. Ce sera sans doute une minorité, mais alors il faudra se remémorer les paroles de Jünger : un seul homme à l'esprit lucide et au cœur ferme peut contrer et inverser, le moment venu, la lâcheté, le conformisme et la paresse de milliers. Quand je regarde mon village, ses habitants qui font du potager et opposent instinctivement une méfiance à l'égard des partis politiques officiels, je me dis qu'il y a un potentiel, et que si tout part en sucette, je voudrais être de la partie, aider au ralliement des bonnes volontés, et pourquoi pas contribuer à une certaine sécession de ma commune : c'est à cette France que je crois, pas celle de l’État ni celle de la "Nation", non, mais celle du territoire, celle des terroirs, celle du local, et celle des "communautés auto-centrées", comme dit l'Ivane.

Bon courage Pharamond ! Remontez la pente, bon sang ! Du nerf ! De la grande santé merde à la fin !

Écrit par : Blaise Suarès | 21/06/2013

Merci cher ami, mais je suis un indécrottable nationaliste et ce que je vois me fait mal. Mais votre vision des choses me paraît être un plan B fort acceptable.

Écrit par : Pharamond | 21/06/2013

Pas beaucoup d'optimistes par ici.

Faites votre deuil de la France, sauvez votre peau, buvez le pastis frais, mais ne vous appelez plus réactionnaires.

Si vous n'êtes pas chrétien, aucun espoir. Seul un miracle peut nous sauver. Charles VII en 1438 était bien plus dans la merde que nous. Si vous ne pensez pas que Dieu a un plan pour la France, allez boire votre pastis, rien de mieux à faire. Et n'allez même pas à la cabane du camp des saints.

Quant aux éventuels problèmes de théologie, je suis resté un fervent admirateur de celle d'Arnaud Amalric "Tuez-les tous, Dieu reconnaitra les siens". Belle preuve d'espérance dans la vie éternelle. Gros témoignage de Foi.

Écrit par : Droite d'avant | 22/06/2013

La forme d'optimisme qui dit que l'on va s'en sortir quand quelqu'un vous tire dessus à bout portant avec un fusil d'assaut, j'ai un peu de mal il est vrai. Sinon, comme je l'ai déjà dit pour un commentaire faisant aussi allusion à la situation de Charles VII, notre contexte est autrement plus grave et se rapproche plutôt des invasions barbares de la fin de l'Empire romain. En pire, les nouveaux venus n'aillant que mépris pour nous et notre religion.

Écrit par : Pharamond | 23/06/2013

Les commentaires sont fermés.