22/06/2012
Légitimité
Je n'ai pas vu le documentaire Nos ancêtres les Sarrasins de Robert Genoud mais la bande-annonce est prometteuse.
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21/06/2012
Aujourd'hui c'est l'été, l'anniversaire d'un de mes frères et la Fête de la Musique... quoique la Fête de la Musique je n'en ai rien à faire
22:26 | Lien permanent | Commentaires (0)
Quand je serai grand je serai banquier (4)
Debtocratie (La gouvernance par la dette) et Catastroika de Katerina Kitidi et Aris Hatzistefanou sont des documentaires démontrant les méfaits du libéralisme sauvage et sa connivence avec l'Union européenne. C'est très orienté à gauche et apprécié par le magazine L'Express, donc à ne pas prendre pour argent comptant mais c'est tout de même à voir.
Ne pas oublier d'activer les sous-titres en cliquant sur le petit rectangle rouge marqué « CC ».
Où l'on y apprend que la Luftwaffe planifiait le bombardement de l'Europe alors que j'avais toujours cru que c'était les anglo-américains, mais peu importe.
Pour en savoir plus : c'est ici
Découvert grâce à Hoplite
19:46 | Lien permanent | Commentaires (0)
20/06/2012
Le jeu des deux images (160)
Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.
19:21 | Lien permanent | Commentaires (2)
19/06/2012
La révolte des gueux
Botho Lucas Chor
Wir sind des Geyers Schwarzer Haufen
20:19 | Lien permanent | Commentaires (7)
18/06/2012
Chant du cygne ?
20:46 | Lien permanent | Commentaires (10)
17/06/2012
Pigeons
«La colombe légère, lorsque, dans son libre vol, elle fend l'air dont elle sent la résistance, pourrait s'imaginer qu'elle réussirait bien mieux encore dans le vide.»
Emmanuel Kant
Je dois reconnaître que ma paranoïa ne m'exempte pas d'une bonne dose de naïveté, ainsi j'ai cru bien trop longtemps que nos élites s'étaient mises (et nous avec) dans l'actuelle situation par un mélange d'idéalisme, d'irréflexion et de couardise, ce qui en soit était déjà condamnable, mais avec circonstances atténuantes si j'ose dire. Eh bien, je me suis rendu compte avec le temps que j'avais tout faux. Leurs actions étaient réfléchies et animées par la volonté constante de détruire la nation, le reste n'étant que querelle d'individualité et affaire de détails pour la mise en oeuvre du projet. J'entends déjà certains ricaner : « Mais bien sûr, il va nous faire le coup du complot. Et pourquoi pas Le Protocole des Sages de Sion tant qu'on y est ? » Car aujourd'hui penser qu'il puisse y avoir des pouvoirs occultes et influents au sein de la machine républicaine nous rend immédiatement suspect de vouloir établir une dictature et de préparer la déportation des Juifs et des Francs-Maçons, rien de moins. Pourtant ce n'est pas moi qui ai inventé le nombre impressionnant de membre du Siècle, de la Franc-Maçonnerie ou de la Communauté juive dans les haute sphère, groupes non élus et solidaires, s'il en est. Mais peu importe, le problème est que pour la première fois le nation française (mais elle n'est pas la seule) est prise entre la marteau des élites adeptes de l'UE, du mondialisme et du libéralisme à outrance, et de l'enclume du gauchisme partisan de l'immigrationnisme, du laxisme morale et de l'abolition des frontières. Leur dualité, d'ailleurs fort amoindrit ces derniers temps par défaut de divergence, n'est que poudre au yeux et exploitation de vieux fonds de commerce de part et d'autre. Évidemment, même si le but à atteindre est le même, cela coince de temps à autre, les élites essayant d'éviter le chaos ou une rébellion des français de souche, on ne sait jamais avec les soubresauts des moribonds. Tout cela est bel et bon, me direz-vous, mais pourquoi cette haine de la nation ? Parce qu'elle est actuellement l'ensemble constitué le plus pertinent afin de protéger ses membres et de permettre leur accomplissement, sa relative homogénéité les préservant de luttes intestines et lui permettant de parler d'une seule voix à l'étranger. La nation n'est certes pas le Paradis mais elle peut nous épargner l'enfer ; sans elle, l'être humain en est réduit à un individu esseulé, déraciné, simple consommateur, peut-être inclus à un groupe religieux ou social mais dans un monde livré au communautarisme et à l'arbitraire de puissants qui se sentent partout chez eux grâce à l'universalité de l'argent.
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