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Je croyais que j'ai le droit de toucher pour le travail de mon cubain.
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Je croyais que ma fenêtre était baissée mais je me suis aperçue du contraire lorsque ma tête est passée au travers
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Je débouchait d'un chemin à une vitesse à proximatrice de 100 et voila que je heurte un arbre. L'arbre m'a injecté de ma voiture alors la voiture a continué toute seule avec la jeune fille que j'étais sorti avec.
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Je désire que ma voiture soit utilisable accidentellement par mes enfants majeurs considérés comme novices.
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Je dois vous dire que les gendarmes m'ont posé des questions indiscrètes, du genre : D'où veniez-vous ? Où alliez-vous ? Avez-vous bu quelques verres ? Avez-vous regardé à droite et à gauche avant de franchir le carrefour ? Votre passagère est-elle un membre de votre famille ? etc.
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Je m'approchais du croisement quand subitement est apparu un poteau d'arrêt là où il n'y en avait jamais eu auparavant.
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Je m'excuse d'être aussi cru, mais croyez bien que si je lui ai cassé une dent, il n'a pas cessé de me casser les pieds.
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Je m'interroge au sujet de mon assurance vie : ai-je intérêt à décéder tout de suite ou dois-je attendre l'âge de la retraite.
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Je me suis coupé la main droite en bricolant. La gauche n'est pas mal à droite, mais elle travaille quand même plus lentement.
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Je me suis donné un coup de serpe en coupant du bois dans le pouce gauche.
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Je me suis fait soigner avec les feuilles de maladie.
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Je me suis foulé le poignet en sucrant des fraises.
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Je me suis fracturé la jambe en glissant sur une asperge pourrie, au rayon de la poissonnerie. Vous n'allez pas me dire que ce magasin est bien tenu !
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Je me suis marié il y a huit jours, dites-moi comment couvrir ma femme.
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Je me trouvais en 2e vitesse quand ma voiture fit un tête à queue en marche arrière tout droit dans le ravin que j'avais l'intention d'éviter cet accident malgré ce que vous dites je ne suis nullement responsable, souligner que je ne suis pas sans ignorer parfaitement le code de la route.
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Je n'ai guère eu le temps de voir le piéton car il a immédiatement disparu sous la voiture.
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Je n'ai pas grillé le feu rouge, je ne l'ai pas vue et je suis passée, c'est tout.
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Je n'ai pas pu freiner à temps et ma voiture a embouti l'autre véhicule. Le conducteur et le passager sont partis immédiatement en vacances avec blessures.
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Je n'ai peut-être pas de bons freins, comme vous dites, mais j'ai toujours eu de bons réflexes.
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Je n'avais pas vu la voiture arriver et quand je l'ai vue, je n'ai plus rien vu.
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Je ne connais pas du tout les parents du petit garçon que mon fils a renversé avec son vélo. Je sais simplement que son père est aveugle et que sa mère est voyante.
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Je ne m'explique pas la brutale parution de ce cycliste sur ma droite, faites donc le nécessaire pour éclaircir ma situation.
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Je ne possède que quelques pieds de vigne que mon fils fait marcher.
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Je ne sais peut-être pas conduire, mais l'autre non plus.
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Je ne suis pas responsable du refus de priorité puisque j'avais pas vu venir la voiture, vous pensez bien que si je l'avais en vue je m'aurais arrêté. Je ne comprends pas bien qu'on me reproche une faute que j'ai pas commise.
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Je ne vois pas pourquoi vous refusez de prendre mon accident en charge à cause que je n'ai pas payé ma cotisation, puisque l'autre année, j'avais payé et j'avais pas eu d'accident.
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Je ne vois vraiment pas pourquoi vous me reprochez de ne pas porter mon casque en faisant de la moto, puisque c'est mon pied qui a été écrasé et pas ma tête.
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Je nourris mon enfant au sein sans arriver à joindre les deux bouts.
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Je peut pas vous envoyer la facture acquittée pour la réparation de ma Renault parce que la voiture personne y vaut plus y toucher sous peine que ça ne tient plus. J'en ai fait illusion a l'expert qui l'a aussitôt réduite en épave.
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Je peux vous dire que c'est pas sérieux, à vos bureaux on me reçoit pire qu'un chien et quand j'écris on ne répond pas.
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Je possède mon permis depuis 10 ans et mon mari depuis 25 ans.
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Je prends un moment de silence pour vous envoyer un mot.
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Je roulais entre 120 et 140 km/h et j'ai pris la bretelle [...] Ma cendre était tombée sur ma main; j'ai essayé de l'éteindre. Elle s'est glissée sous mes fesses, j'ai levé mon derrière... puis un choc, je suis rentré dans l'arrière de Mme Maria K... Le choc m'a étourdi et j'ai piqué une crise de nerf.
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Je roulais tout doucement, le pied sur le frein, quand une vieille dame a brusquement traversé devant ma voiture en courant à vitesse excessive.