03/10/2007
Petit théâtre ambulant (3)
Dans le tram, dialogue entre une mère et sa fille.
La fille :
- J’ai encore eu mal au ventre aujourd’hui.
La mère :
- C’est la croissance.
- J’avais tellement mal que je n’ai pas pu suivre le cours de maths pour aller à l’infirmerie.
- C’est la croissance, tu grandis.
- J’ai vraiment mal tu sais.
- C’est sûrement la croissance.
- Merde maman ! je te dis que j’ai tout le temps mal au ventre depuis un mois, c’est pas la croissance.
Sincèrement, moi non plus je ne crois pas que cela soit la croissance.
15:55 | Lien permanent | Commentaires (8)
Rien sur le Che
« Je suis fier d’être venu dans votre ville […]. Je suis fier d’avoir visité la République Fédérale d’Allemagne avec le chancelier Adenauer, qui durant de si longues années a construit la démocratie et la liberté en Allemagne. Il ne manque pas de personnes au monde qui ne veulent pas comprendre ou qui prétendent ne pas vouloir comprendre quel est le litige entre le communisme et le monde libre. Qu’elles viennent donc à Berlin. D’autres prétendent que le communisme est l’arme de l’avenir. Qu’ils viennent aussi à Berlin. Certains, enfin, en Europe et ailleurs, prétendent qu’on peut travailler avec les communistes. Qu’ils viennent donc ceux-là aussi à Berlin. Notre liberté éprouve certes beaucoup de difficultés et notre démocratie n’est pas parfaite. Cependant, nous n’avons jamais eu besoin, nous, d’ériger un mur pour empêcher notre peuple de s’enfuir. Je ne connais aucune ville qui ait connu dix-huit ans de régime d’occupation et qui soit restée aussi vitale et forte et qui vive avec l’espoir et la détermination qui est celle de Berlin-Ouest. Le mur fournit la démonstration éclatante de la faillite du système communiste. Cette faillite est visible aux yeux du monde entier. Nous n’éprouvons aucune satisfaction en voyant ce mur car il constitue à nos yeux une offense non seulement à l’histoire mais encore une offense à l’humanité. La population de Berlin-Ouest peut être certaine qu’elle a tenu bon pour la bonne cause sur le front de la liberté pendant une vingtaine d’années. Tous les hommes libres, où qu’ils vivent, sont citoyens de cette ville de Berlin-Ouest, et pour cette raison, en ma qualité d’homme libre, je dis '' Ich bin ein Berliner ''. »
John Fidzgerald Kennedy à Berlin le 26 juin 1963 |
15:30 | Lien permanent | Commentaires (6)
Le tour de France du patrimoine (choix absolument arbitraire) : France
Les musée de l'automobile (3) :
Reims (51)
Le musée automobile Reims Champagne
Orgon (13)
Le musée automobile de Provence
Velayne-en Haye (54)
Le musée automobile de Lorraine
Carrières-sous-Poissy (78)
Collection de l'aventure automobile de Poissy
15:28 | Lien permanent | Commentaires (2)