13/08/2018
Le jeu des deux images (320)
Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.
21:14 | Lien permanent | Commentaires (12)
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Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.
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Commentaires
Je laisse évidemment le camarade téléphobe suggérer Nous-Savons-Qui, mais j'ai *presque* aussi bien : Sophie Scholl, qui appartenait au groupe la Rose blanche, d'où la première image. Pour justifier la seconde illustration, je ne vois qu'une facétie sur son nom (Scholl-ivier) ou encore un lointain rappel de son christianisme.
Cette modeste proposition n'est évidemment formulée que pour appliquer le principe de la théologie négative au jeu des deux images : énoncer ce que la solution n'est pas. ;-)
Écrit par : Blumroch | 14/08/2018
Merci de bien vouloir faire avancer l'énigme vers sa solution parce que je crois que tout le monde est en vacances ;-)
Il s'agit bien d'une "rose blanche" et d'un "olivier". Il reste à trouve le point commun (ténu il est vrai entre ces deux indices).
Écrit par : Pharamond | 14/08/2018
Une rose blanche associée à l'acteur anglais Lawrence Olivier amènent à Richard III .
Pour une fois, je crois que j'ai trouvé!
Écrit par : Lucie D | 14/08/2018
Bravo ! Il s'agit de la Rose blanche de la Maison des York dont Richard III fut le dernier représentant sur le trône anglais et l'olivier patronyme de Laurence Olivier le grand acteur qui fut l'un des inoubliable interprète du personnage shakespearien.
Écrit par : Pharamond | 14/08/2018
J'ai pensé à Olivier Bianchi, le sympathique maire PS de Clermont-Ferrand, mais ça m'étonnait un peu.
Écrit par : Nordiste | 14/08/2018
Bravo à Lucie D. comme à Pharamond !
J'en vais profiter pour soumettre une variante *hérétique* du jeu des deux images, qui propose cette fois de trouver l'identité d'une personnalité *sans la moindre image*, à partir de quelques extraits *significatifs* de son thème astral -- en vacances, amusons-nous !
La résolution de cette énigme n'existe évidemment *aucune* connaissance en astrologie, encore moins la croyance en (ou la pratique de) ce divertissant art du *discours*. Une lecture *attentive* des indices, sélectionnés avec rigueur, *devrait* donner la solution.
Au bénéfice de l'objectivité, les interprétations citées seront prises dans un des nombreux manuels d'astrologie disponibles dans le *commerce* (comme le dit un mien ami, "Il existe deux sortes d'astrologues : les marchands, et les autres. Je n'ai jamais rencontré les autres."). Les aurais-je rédigés, ces extraits, qu'on m'aurait pu croire, bien à tort, malveillant. ;-)
Deux précisions sans importance, qui ont toutefois leur importance : je ne suis *pas* astrologue, et je suis bien certain que l'auteur auxquels j'emprunte quelques lignes n'irait pas approuver mon interprétation du thème de la personnalité à trouver (il a, lui, comme ses confrères, un système à *vendre*, même si leurs différences sont infimes).
Admettons donc, pour un moment, que l'astrologie marche, et considérons le ciel natal comme une pièce de théâtre : alors les signes sont des éléments du décor, les planètes représentent les personnages, et les aspects correspondent aux dialogues échangés sur scène. Ici, les rôles principaux sont joués par Uranus, Mars et la Lune.
Les dialogues d'Uranus sont tous conflictuels, d'où le caractère de cet acteur : "Manque ou rejet de la sociabilité spontanée, du sens du concret, de l'intensément ressenti et de l'esprit critique. La décontraction, le réalisme, l'affectivité et le scepticisme sont en panne, d'où abus de pouvoir, autoritarisme, oeillères de l'esprit, surdité mentale."
Mars est à peine moins agressif, qui autorise ce portrait : "Manque ou rejet de la sociabilité spontanée, de l'inconscient qui s'exprime, de l'autorité manifeste et de l'esprit critique. La décontraction, l'inspiration, les principes et le scepticisme sont en panne, d'où activisme stérile, brutalité, impatience, agressivité."
La Lune est toute de négativité : "Manque ou rejet de la sociabilité spontanée, de l'intensément ressenti, de l'esprit critique, de l'autorité manifeste, du sens du concret, de l'inconscient qui s'exprime. La décontraction, le scepticisme, l'affectivité, les principes, le réalisme et l'inspiration sont en panne."
Dans ce spectacle qu'on devine mauvais, *trois* dialogues, *tous* conflictuels, dominent l'intrigue, qui en donnent l'*essentiel* sans trahir la pièce (les dialogues mineurs et les figurants sont sans grande importance, comparés aux conversations principales) : un carré entre Uranus et Mars, une opposition entre Uranus et la Lune, et un carré entre Mars et la Lune.
Voici l'interprétation du premier dialogue : "Intuitivement convaincu du bien-fondé, de la pertinence et de la vérité de ses affirmations indémontrables et convictions tranchées, le sujet ne supporte aucune rivalité, aucun démenti des faits têtus, aucune confrontation susceptible de remettre en question ses certitudes arrogantes. Il impose tyranniquement des points de vues et théories dont le plus élémentaire réalisme et le plus terre-à-terre bon sens démontrent la prétention, la vanité, l'inanité ou à tout le moins l'arbitraire. Certain d'être le plus fort et le meilleur dans sa spécialité, il refuse les relations d'égalité et les combats où il risquerait de perdre sa réputation d'intouchable supériorité. L'originalité qu'il revendique haut et fort semble n'être qu'un grotesque défi au bon sens. [...] Le sujet refuse la réalité au nom du pouvoir qu'il a, qu'il brigue ou qu'il veut conserver. Il n'entend pas soumettre ses idées à la tyrannie des faits. Il ne craint aucun abus, et s'entoure volontiers d'incapables qui ne s'opposeront pas à ses volontés."
Voici l'interprétation du deuxième dialogue : "Crispé, cassant, autoritaire, trop sûr de lui et du bien-fondé de ses raisonnements surgis d'invérifiables constructions personnelles, le sujet s'interdit tout abandon, toute quiétude, toute bonhomie. Ce serait à ses yeux déchoir, dévoiler quelque inavouable faiblesse. Il pousse ses raisonnements intempestifs et sans nuances jusqu'à leurs dernières extrémités, sans se soucier de leur cohérence. La mécanique froide et efficace de son intellect annihile toute réceptivité, tout ressenti intime des êtres et des situations. Il cherche à s'extirper des routines quotidiennes qui lui insupportent à coups de défis outrés, de décisions aventureuses, de comportements outrés ou scandaleux."
Voici enfin l'interprétation du troisième dialogue : "Le sujet oppose un activisme brutal et sans repos à toute forme de quiétude, d'harmonie et de paix. Il va d'irritations en irritations, et se sent en permanence obligé de secouer ce et ceux qui l'environnent de peur qu'ils ne s'abandonnent douillettement au rêve ou à la sereine contemplation. Il s'épuise en vains efforts. [...] Maladroit, agressif et peut-être destructeur, ses pulsions violentes et son langage cru et blessant l'amènent à semer la zizanie dans le clan de ses intimes et dans tout groupe en général. Les atmosphères tranquilles et confortables lui insupportent, tout comme le train-train quotidien qu'il cherche à fuir en multipliant les expériences téméraires."
"No need to say more" pour trouver le nom de la personnalité qui peut être résumée, sans la trahir d'excessive manière, à ces quelques traits *caractéristiques* (les astrologues, toujours diplomates pour d'évidentes raisons, seront évidemment d'un autre avis, quelle que soit leur école... de commerce). ;-)
Écrit par : Blumroch | 14/08/2018
@Pharamond : Avant de découvrir la solution de Lucie D., j'étais sur le point de proposer, à tort, Cromwell because la rose blanche symbole des jacobites et because Oliver. Je me décerne quand même un *accessit*.
En tout cas, la mention de Laurence Olivier incite, invite même, à revoir *Sleuth*, *Le limier*. ;-)
Écrit par : Blumroch | 14/08/2018
Moi, j'aurais plutôt pensé à Rose Olivenstein, mais c'est pas elle.
Écrit par : Carine | 15/08/2018
Nordiste > A juste raison ;-)
Blumroch > Je vous l'accorde aussi, cette solution aurait pu convenir.
Pour l'énigme je me permets sans votre permission d'en faire un billet ;-)
Carine > Elle n'est malheureusement connue que dans sa rue, ce n'est pas elle.
Écrit par : Pharamond | 15/08/2018
@Pharamond : Damn, méditant *ma* facétie estivale, je n'avais pas prévu *votre* facétie en retour ! ;-)
Écrit par : Blumroch | 15/08/2018
Pharamond,
Et encore ^^
Écrit par : Carine | 15/08/2018
Blumroch > A défaut de "billetisser" vos blurbs...
Carine > Pour figurer dans le jeu des deux images il faut que la notoriété de la personne dépasse le quartier.
Écrit par : Pharamond | 15/08/2018
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