Boîte de Petri

Taubira, la gargouille amazonienne, et Valls, le pétomane buccale, se chamaillent. La première dans un délire progressiste comme seule la gauche la plus décomplexée sait en avoir voudrait désemplir les prisons en y sortant les courtes peines ; le second sait bien que ces condamnés souvent asociaux ne respecteront pour la plupart pas leurs conditions de remise en liberté et pourriront un peu plus la vie des citoyens qui ne le lui pardonneront pas de les laisser courir. C'est un conflit d'intérêt et nullement un débat idéologique ; Valls est autant de droite que je suis Grand rabbin. De toute façon, même si elle passe, cette loi ne réveillera pas l'Hexagonal (j'ai du mal à dire : le Français) somnolant devant son reality-show préféré.