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20/08/2012

Quelques données sur l'affaire qui nous intéresse

La victime : La nation

L'accusé : Une association de malfaiteurs cosmopolites

Le mobile : Une captation d'héritage

L'arme : Le poison de la haine de soi

Les preuves : Les actualités quotidiennes

Les témoins : Tout citoyen ayant pris la peine d'ouvrir les yeux

Les aveux : Très nombreux (de façon implicite)

Le procès : Aucun, l'assassinat sera camouflé en suicide.

Remarque : Toute réaction de la victime sera traitée comme un acte d'autodéfense prohibé par la loi et sanctionné comme tel.

Commentaires

Il manque :

Les complices : une poignet de salopards gaulois corrompus , dégénérés et sans scrupules .

Conclusion : On peut arriver aux vues des faits notés que nous sommes en présence d'un complot , les faits sont d'une extrême gravité , Mr le procureur .

Solution : vue l'état de légumes moutonniers qui composent cette nation décadente , seuls les frigos vides pourraient en réveiller une partie , mais même avec cette situation extrême , j'en doute , oui , je sais je suis un pessimiste réaliste .

Écrit par : lemartien | 20/08/2012

Oui, j'ai oublié les complices qui ont une grande part de culpabilité dans l'affaire. quant à la solution, je suis aussi pessimiste que vous. Mais qui sait, l'Histoire est pleine d'imprévus.

Écrit par : Pharamond | 20/08/2012

Quel est l'antidote au "poison de la haine de soi" ?

Se retrouver devant le fait accompli?

Écrit par : Gaëlle Mann | 21/08/2012

La haine de soi provient de l'idée ridicule que l'on a besoin d'être aimé.

On a pas besoin d'être aimé, il faut aimer. Gratuitement et sans but.

Écrit par : Jean-Pierre | 22/08/2012

Gaëlle Mann > "Se retrouver devant le fait accompli", non je ne crois pas. Si on en arrive là, c'est que la nation est déjà en état de mort clinique et que le poison aura agit.

Jean-Pierre > Qui donc ?

Écrit par : Pharamond | 22/08/2012

Mais qui vous voulez !

Si ça me plait d'aimer untel (ou unetelle) je l'aime, si pas je ne l'aime plus et je passe à autre chose.

Je suis maître de l'affection que je porte aux autres, au contraire de celui qui recherche à être aimé qui est soumis au bon vouloir de ceux dont il espère l'affection.

L'amour est quelque chose d'actif, pas de passif.

De plus quiconque aime est aimé.

Écrit par : Jean-Pierre | 22/08/2012

Certes, mais... et nos ennemis ?

Écrit par : Pharamond | 22/08/2012

@ Pharamond: par "fait accompli", je voulais dire: "si après-demain, les français se retrouvent soumis de force à la charia, les femmes au port du voile, au halal obligatoire, à l'étude du Coran à l'école... bref en dhimmitude, peut-être alors se soulèveront-ils ?

Jusqu'où peut-aller trop loin avec les veaux?

Écrit par : Gaëlle Mann | 23/08/2012

@ jean-pierre: il ne faut pas non plus ennuyer les autres avec un amour ou une affection dont ils ne veulent pas!

L'amour, l'affection, demandent beaucoup de tact et de discrètion, me semble-il. Tout comme l'amitié.

"De plus quiconque aime est aimé" : non, pas toujours, hélas!

Je ne crois pas non plus qu'on soit maître de ses affections!

Écrit par : Gaëlle Mann | 23/08/2012

Je comprends, mais la haine de soi est accompagnée du fameux sida mental cher à Pauwels qui rend les individus, quand il arrive à identifier le danger, incapables de s'en défendre.

http://guerrecivileetyaourtallege3.hautetfort.com/archive/2007/03/09/le-monome-des-zombis.html

Écrit par : Pharamond | 23/08/2012

Gaëlle,

Ceux qui sont ennuyés par notre affection sont ceux qu'il est inutile de continuer à aimer.

L'amour se sème, si ça ne prend pas ça ne prend pas et il est inutile d'insister.

Quant au tact et la discrétion ils vont de soi bien entendu.
Il n'est pas question de plaire mais d'aimer, ce qui est très différent et implique nécessairement de s'y prendre avec beaucoup de tact et d'empathie.

Pharamond,

Un ennemi est quelqu'un qui nous est hostile par nature. On ne peut donc pas l'aimer. On le hait.

Le sida mental dont parle Pauwels n'est pas relatif à l'amour mais à la séduction. Un sidéen mental souhaite plaire à ses ennemis, il croit qu'en se soumettant au désir de son ennemi il en tirera l'affection de ce dernier. Ce qui est faux.

Plaire à son ennemi est le strict contraire d'aimer son ami.

Plaire est passif. Aimer est actif.
Plaire c'est se soumettre. Aimer est un acte libre.

Écrit par : Jean-Pierre | 24/08/2012

Merci pour ces intéressantes précisions.

Écrit par : Pharamond | 24/08/2012

@ Jean-Pierre: je vous comprends beaucoup mieux maintenant.

Écrit par : Gaëlle Mann | 25/08/2012

Les commentaires sont fermés.