31/03/2011
Bella ciao
Un prof :
- Une de mes élèves a fait un exposé sur le Front National, elle était tellement bouleversé par ce qu'elle disait qu'elle s'est mise à pleurer.
Moi :
- C'est peut-être un peu excessif ?
Lui :
- C'est sûr. Il faut mettre en garde sur les dangers de leur programme mais pas la peine de se mettre dans des états pareils.
22:45 | Lien permanent | Commentaires (8)
Commentaires
on touche au sublime à ce niveau
Écrit par : maxence | 01/04/2011
Ouais... ce doit être doit le passage où Le Pen rencontre Hitler à Birkenau qui l'a émue.
Écrit par : Pharamond | 01/04/2011
C'est peut-être la célèbre scène des adieux dans le bunker de la chancellerie, qui l'a fait pleurer, quand le Führer transmit ses dernières volontés au jeune Jean-Marie : "Si seulement j'avais eu un fils comme toi ! Quand tu seras père d'une fille, appelle la Marine, comme Kriegsmarine. J'aimerais que Doenitz soit son parrain..."
J'arrête parce que je ne trouve pas la suite ; à moins que ce ne soit l'émotion. A vous de juger.
Écrit par : L. Chéron | 01/04/2011
:-) On pourrait écrire une nouvelle rigolote si on s'y mettait...
"Mais Doenitz n'était pas d'accord, il en avait ras le casque d'acier d'être le faire valoir des autres malgré sa fidélité au Führer. Son état d'esprit était connu dans tout le Reich où on le surnommait : l'amer Doenitz." Bon, j'arrête, c'est nul.
Écrit par : Pharamond | 01/04/2011
Mesdames messieurs, je suis ravi de constater que tout le monde est passé à l'ouest. ;-)
Écrit par : Un Fan | 02/04/2011
Oups ! pas compris...
Écrit par : Pharamond | 02/04/2011
Non, je disais juste que la nouvelle en cours d'écriture par L. Chéron et Pharamond est complètement zinzin, pour mon plus grand plaisir (bravo pour "l'amer Dönitz" au passage).
Écrit par : Un Fan | 02/04/2011
Ok, merci pour le compliment... mais je crois que cela fait assez longtemps que j'ai franchi le rideau de fer ;-)
Écrit par : Pharamond | 02/04/2011
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