30/01/2010
En épigraphe (3)
Quand j’entrerai chez Dieu, c’est l’enfant que je fus qui me prendra par la main.
Georges Bernanos
21:12 | Lien permanent | Commentaires (3)
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Quand j’entrerai chez Dieu, c’est l’enfant que je fus qui me prendra par la main.
Georges Bernanos
21:12 | Lien permanent | Commentaires (3)
Commentaires
Merci à Ornithorynque pour la découverte.
Écrit par : Pharamond | 30/01/2010
Sors-t-on jamais de Dieu, quelque soit ce qu'on désigne par ce mot?
Écrit par : Un Fan | 31/01/2010
Je l'ignore et j'en doute. Cette phrase est magnifique que l'on soit croyant ou pas. Dans le dénuement de la mort c'est l'innocence qui est demeurée en nous malgré tout qui nous permettra d'être de retrouver une certaine pureté quoi qu'il arrive après.
Écrit par : Pharamond | 31/01/2010
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