02/09/2006
En mer
April Gornik
Sun, storm, cloud
19:35 | Lien permanent | Commentaires (0)
Promenade
Au milieu de la clairière, l'été est bleu et vert.
19:29 | Lien permanent | Commentaires (2)
Musique (15)
Dream a little dream of me
19:20 | Lien permanent | Commentaires (1)
Ici et là-bas
D'après une enquête, les Français dépenseraient en moyenne plus de 1 000 euros par an pour nourrir leur chien. Somme à laquelle il faut ajouter le montant des soins vétérinaires (tatouage, vaccinations, maladies, accidents...) et de divers accessoires (jouets, panier, laisse...). Loin de moi l'idée de vouloir culpabiliser quiconque dans ce domaine ni de prétendre comparer ce qui ne l'est que difficilement, mais le parrainage d'un enfant du Tiers-monde (scolarité, alimentation, santé...) est d'environ 360 euros par an.
19:01 | Lien permanent | Commentaires (16)
Le tour de France des monuments (choix absolument arbitraire) : France
Les bastides, ici, ici, ici et ici
19:00 | Lien permanent | Commentaires (2)
29/08/2006
Les portes

Elegant garden
20:24 | Lien permanent | Commentaires (8)
Compteur
Peut-on vraiment comparer une journée considérée comme normale d'un lycée préparant au baccalauréat général et celle d'un lycée professionnel d'une ZEP ? une journée dite calme à Mogadiscio et une à Charleville-Mézières ? une après-midi tranquille chez une mère-célibataire vivant avec ses trois enfants dans un appartement au dixième étage d'une tour et celle d'une famille aisée avec enfant unique résidant dans un pavillon d'une banlieue bourgeoise ? le RAS apposé sur la main-courante d'un poste de police d'une banlieue chaude et celui d'un commissariat d'une petite ville de province ? Les mots signifient-ils réellement la même chose ?
On ne peut hélas faire de comparaison qu'avec ce qui nous est connu, ce qui nous est proche géographiquement ou temporellement. On ne peut se référer que par rapport à ce qui nous entoure, selon le "milieu ambiant" du moment. Pour établir une limite entre ce qui est normal et ce qui ne l'est pas il faudrait pouvoir disposer d'un repère fiable et constant ; or quand une situation change et particulièrement quand elle se dégrade on procède à un réétalonnage constant et quasi inconscient de la normalité - sans parler des idéologies qui peuvent encore accentuer le processus -, mesure qui ne sera établie que par rapport à un passé proche car il n'y a pas de situation type absolue. Ainsi une société peut s'enfoncer lentement sans que l'on ne détecte de signaux alarmants, la situation étant toujours à peu près normal. Certains se souviendrons bien que "les choses n'ont pas toujours été comme ça", mais on leur répondra - souvent avec juste raison - que le passé est toujours idéalisé, que le monde change et qu'il faut comparer ce qui est comparable. Aussi, il me semblerait peut-être judicieux d'oublier la normalité arbitraire du moment et les phénomènes de mode pour se rappeler qu'un délit ou un crime reste une action condamnable quel que soit l'époque et que, sauf situations extrêmes, rien ne justifie d'être cruel ou violent, en bref, que ce qui est mal reste mal en tout temps et en tout lieu.
20:18 | Lien permanent | Commentaires (2)