24/07/2024
Musique (688)
Saulė rieda dangumi
Spanxti
22:34 | Lien permanent | Commentaires (10)
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Saulė rieda dangumi
Spanxti
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Commentaires
Après le ménage des chaînes de tivi, celui des réseaux d'autoflicage, c'est -- comme prévu -- celui des blogs qui commence, puisque "nobody nowhere" vient d'être fermé.
Ursula Breton nous protège de la tentation de mal penser.
Le bétail n'a aucun droit, seulement des permissions révocables et limitées.
Combien de temps avant le massacre des réfractaires ?
Écrit par : BR | 26/07/2024
Jolie découverte en provenance de la Lituanie. Ca m'a appelé un groupe breton que j'aime bien - Glaz:
https://www.youtube.com/watch?v=3pmyGPRJvj8
Pour faire écho au billet un peu d'humour (73), Glaz dans les années 90: https://www.youtube.com/watch?v=aim97i-8IeE
Pour ceux qui écoutent avec leurs yeux, la chanteuse de Glaz fait son apparition autour de 4 mn - 4mn30
Avant, c'est spécial dédicace à Pharamond avec un sketch inédit des Inconnus sur les régionalistes :-)
Écrit par : Sven | 27/07/2024
Un certain Alexandre Douguine, qui semble être quelque chose chez les intellectuels russes, termine un récent billet avec cette formule du meilleur effet culturel : "Occidens delenda est".
Cette indifférence aux langues étrangères est très japonaise. Fallait peut-être consulter le Gaffiot *avant* : "occidens", c'est masculin. Un sophiste prétendra que c'est volontaire pour dénoncer le confusionnisme ; je n'y croirai pas.
*Ceterum censeo ucrainam esse cum bomba atomica curandam*.
https://www.geopolitika.ru/fr/article/les-jeux-olympiques-sataniques
https://www.lexilogos.com/latin/gaffiot.php?q=occidens
Écrit par : BR | 28/07/2024
On déplore, ici et là, les fausses audaces du pouvoir insultant les dernières populations françaises comme il n'aura pas l"idée d'insulter les nouvelles populations importées ; mais il a bien raison, le pouvoir : s'il peut tout se permettre, c'est parce qu'en face, il n'y a rien, strictement *rien*. Mauvaise, la pièce ; mauvais, les auteurs ; mauvais, les metteurs en scène ; mauvais, le petit personnel (régisseurs, machinistes...) ; mauvais, les acteurs et figurants ; et surtout, mauvais, le public. Comme dans la grande boucherie républicaine, "tout a été mauvais, jusqu'aux assassins". S'il en allait autrement, je ne pourrais ici bonnaliser en reprenant d'anciennes considérations qui n'exigeraient que deux ou trois changements pour concerner la présente situation :
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Pourquoi diable les derniers indigènes titulaires de c.n.i. de l'eurofwansse ne se rassemblent-ils pas en masse pour protester, eux aussi, dans un terrible silence accusateur, devant les lieux de pouvoir et les domiciles des maîtres, contre les violences, de plus en plus nombreuses, de plus en plus fréquentes, de plus en plus atroces, commises contre d'autres Français, que ce soit par des importés ou par des supplétifs du régime ?
Les têtes autoproclamées pensantes de notre camp semblent avoir récemment redécouvert "le déclin du courage" (quand la conférence est pourtant ancienne). C'est plutôt la complète disparition de cette vertu qui devrait susciter des interrogations.
Un chroniqueur de RL remarquait récemment que cinquante mille individus faisaient fête à une poignée de crétins spécialistes de la baballe au pied, quand les menaces étatiques contre les dernières libertés ne mobilisaient personne ou presque.
Un petit attaché de presse comme hararidicule peut donner sereinement libre cours à sa haine et à son mépris pour les populations considérées comme de la mauvaise viande à supprimer au plus vite ; la maudite u. dite "e." peut annoncer ses mesures d'asservissement total et définitif des populations bientôt "transitionnées démographiquement" ; un foutriquet 2.0 peut encore parader et mettre le pays en coupe réglée avec ses complices et milichiens ; et rien, absolument rien ne se passe... Ah si, quand même : certains font du fric avec le survivalisme (assez illusoire), avec les manuels de sécession intérieure (toujours très intérieure, la sécession, qui n'ira donc pas contrarier à l'excès le tyran), ou avec l'annonce, sans cesse repoussée, de la future prise de conscience de la situation par le bon peuple qui, sorti de sa torpeur de mort (par quel miracle ? la greffe de cerveau ?), se lancera enfin (mais quand ? aux calendes grecques ? à l'an prochain à iéroushalaïm ?) dans le renversement du renversement. Ne pas rire, surtout ne pas rire.
Au fond, les salauds -- krons, kriminels, korrompus -- ont bien raison, et comme la même fin attend les bons et les méchants, ces derniers auraient bien "tort d's'gêner", comme le veut la sagesse populacière. Thuillier serait encore parmi nous qu'il pourrait donner une suite à *La grande implosion. Rapport sur l'effondrement de l'Occident 1999-2002*. Dommage, le titre *Après l'effondrement* est déjà pris.
Faute de cataclysmique éruption solaire, un petit ballet de missiles intercontinentaux ? Au moins, une telle fin de tout serait spectaculaire.
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Si le camp d'en face peut tout se permettre, c'est que dans le camp d'en face du camp d'en face, on laisse tout faire. Elles auraient été belles, les années 30, avec de tels protagonistes !
Et pourquoi ne pas rappeler une fois de plus ce conte de Noël tiré d'un recueil au titre parfait, *Deux et deux font cinq* ?
Le tétragramme est en mode "Dies irae", qui s'adresse ainsi à saint Nicolas masqué :
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— Ah ! on se permet de ronchonner ! Eh bien ! mon petit père Noël, je vais corser mon programme ! Tu vas descendre sur terre cette nuit, et non seulement tu ne leur ficheras rien dans leurs ripatons, mais encore tu leur barboteras lesdits ripatons, et je me gaudis d’avance au spectacle de tous ces imbéciles contemplant demain matin leurs âtres veufs de chaussures.
— Mais… les pauvres ?… Les pauvres aussi ? Il me faudra enlever les pauvres petits souliers des pauvres petits pauvres ?
— Ah ! ne pleurniche pas, toi ! Les pauvres petits pauvres ! Ah ! ils sont chouettes, *les pauvres petits pauvres* ! Voulez-vous savoir mon avis sur les victimes de l’Humanité Terrestre ? Eh bien ! ils me dégoûtent encore plus que les riches !… Quoi ! voilà des milliers et des milliers de robustes prolétaires qui, depuis des siècles, se laissent exploiter docilement par une minorité de fripouilles féodales, capitalistes ou pioupioutesques ! Et c’est à moi qu’ils s’en prennent de leurs détresses ! Je vais vous le dire franchement : Si j’avais été le petit Henry, ce n’est pas au café Terminus que j’aurais jeté ma bombe, mais chez un mastroquet du faubourg Antoine !
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On aura le texte complet ici :
https://fr.wikisource.org/wiki/Deux_et_deux_font_cinq/Conte_de_No%C3%ABl
qui aujourd'hui enverrait sans doute Allais à la XVIIe.
Autant dire que font rire les rares indignations sur les misérables kronneries parfaitement prévisibles des gauchistes... surtout quand, crainte de paraître *négatif*, certains prétendent avoir vu, entre deux horreurs, de fulgurantes beautés dans ce défilé de la décadence, dont on a une suffisante idée à lire deux ou trois articles et à visionner une vidéo qui, heureusement, se borne à en parler (merci, Aldo !).
Écrit par : BR | 28/07/2024
Sven > Les musiques régionales ont souvent les accents tragiques de la dureté des époques passées. Joli morceau en effet. Pour le reste on ne devrait pas faire parler les artistes ;-)
BR > Pour le billet de Douguine : Errare humanum est ;-)
Écrit par : Pharamond | 29/07/2024
@Pharamond : A ce degré, le refus de consulter son Gaffiotov justifie ceci : deconnere douguinum est. ;-)
Écrit par : BR | 29/07/2024
BR > ;-)
La philosophie de Douguine me semble parfois un peu nébuleuse, mais l'homme me parait suffisamment intéressant pour qu'on veuille l'assassiner.
Écrit par : Pharamond | 29/07/2024
Ce personnage travaillait, ce me semble, pour la phynance tout en écrivant des articles virulents dans je ne sais plus quel torchon gauchiste, ne voyant sans doute aucune contradiction dans ces deux activités. Il révélait, ou plus exactement, confirmait ici un secret de polichinelle :
https://www.youtube.com/watch?v=B6H2v4DaEyo
Alors que la Grande Spoliation est imminente, faudrait se rappeler que l'argent magique devrait se rembourser avec de l'argent tout aussi magique ou avec du plomb.
Écrit par : BR | 30/07/2024
J'ai la flemme de copier les dernières pages des *Derniers feux* de Monteilhet : un point m'a frappé en les relisant, savoir l'étonnante ressemblance entre les méthodes de la sainte Inquisition et celles utilisées par les réseaux sociaux pour punir les ceusses qui lassent leur patience et offensent les mystérieuses valeurs des tout aussi mystérieuses communautés. Je laisse à plus génial que moi le soin d'en tirer les conséquences.
Écrit par : BR | 30/07/2024
BR > La monnaie est comme les habits neufs de l'empereur, elle n'existe que tant que tous y croient.
La Sainte Inquisition partait du principe que tout le monde était chrétien et en acceptait les dogmes, elle n'était que le bras de la volonté de tous. Les petits commissaires des réseaux sociaux font de même avec ceux qui ne respectent pas la doxa actuelle.
Écrit par : Pharamond | 30/07/2024
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