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19/01/2024

Pépiements (172)

Sérieusement, quelqu'un distingue-il un motif d'espoir pour les "nôtres", même infime, quelque part ?

Commentaires

Mes enfants...

Écrit par : Fredi M. | 19/01/2024

Madame Irma me dit de ne pas lui pose cette question ... sa boule de cristal devient rouge .

Écrit par : EQUALIZER | 20/01/2024

Que Dieu se lève et que ses ennemis soient
dissipés, et que ceux qui le haïssent fuient de devant sa
face. Comme la fumée disparaît, qu’ils disparaissent de
même ; et comme la cire fond au feu, que les démons
périssent aussi devant la face de ceux qui aiment Dieu
et qui se prémunissent par le signe de la croix, et disent
avec allégresse : Salut, glorieuse et vivifiante Croix du
Seigneur, qui faites fuir les démons par la vertu de
Jésus crucifié, descendu aux enfers et vainqueur de la
puissance du Satan. Car c’est le Sauveur qui nous a
donné sa croix précieuse, comme une arme pour
chasser tous nos ennemis. Ô Sainte Croix du Seigneur,
soyez notre assistance conjointement avec la
Bienheureuse Vierge et tous les Saints. Ainsi soit-il.

Écrit par : NICOLAS BONNAL | 20/01/2024

@NICOLAS BONNAL

Vu l'état de délabrement de la civilisation Occidentale on va bientôt être fixés sur les vertus "rédemptrices" de la foi Chrétienne.

Je n'y crois pas un seul instant et en un sens je le regrette, ce serait une solution élégante mais à mon avis parfaitement illusoire.

Comme *toutes* les doctrines religieuses qui sont aveuglées par un anthropocentrisme certes bien compréhensible.

Le monde n'est pas "fait pour l'homme" il est fait PAR l'homme (et ça se voit... :-D )

Écrit par : realist | 20/01/2024

" Sept cavaliers quittèrent la Ville au crépuscule, face au soleil couchant, par la porte de l'Ouest qui n'était plus gardée. Tête haute, sans se cacher, au contraire de tous ceux qui avaient quitté la ville, car ils ne fuyaient pas, ils ne trahissaient rien, espéraient moins encore et se gardaient d'imaginer. Ainsi étaient-ils armés, le cœur et l'âme désencombrés, scintillant froidement comme du cristal, pour le voyage qui les attendait. Sur ordre du margrave héréditaire, simplement, ils allaient, ils s'étaient mis en mouvement et le plus jeune d'entre eux, qui n'avait pas seize ans, fredonnait une chanson..."

relire Jean Raspail

Écrit par : bedeau | 20/01/2024

Fredi M. > Je ne veux pas être pessimiste, mais que sait-on de ce que deviendront et feront nos enfants. Il est normal d'espérer pour ses enfants, mais ils ne constituent pas pour autant une source d'espoir, les auraient-on élevés aussi bien que possible.

EQUALIZER > Irma répond à ma question à sa façon.

NICOLAS BONNAL > Et un plan B ?

bedeau > Ce roman se termine mal comme presque toujours avec Raspail, ce peut être une réponse.

Écrit par : Pharamond | 21/01/2024

je n'en vois pas beaucoup : mais un seul : les sociétés gauchistes font forcément faillite (la notre est bien parti pour !)
il y a donc forcément qque chose d'AUTRE après ...

Écrit par : jmespe | 21/01/2024

jmespe > Je suis moi aussi persuadé que la société prévue par l'oligarchie mondialiste ne verra pas le jour ou pas longtemps avant de se casser la figure car elle porte en elle les germes de sa ruine future, mais nous aurons été laminés avant.

Écrit par : Pharamond | 21/01/2024

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