Nazinéma (8)

Et le devoir de Mémoire sur les grands et les petits écrans, on en fait quoi ? On y travaille, on y travaille...

Opération Napoléon d'Óskar Þór Axelsson

Napoléon et les nazis c'est censé être vendeur même si ce film islandais m'a tout l'air de se contenter de plagier la forme du thriller à l'américaine.

The wrath of Becky de Matt Angel et Suzanne Coote

C'est la suite de Becky dans lequel une adolescente zigouillait un gang de néo-nazis. Ici elle recommence avec des fachistoïdes parce que le ventre de la bête immonde est toujours fécond.

Werewolf d'Adrien Panek

Des adolescents tout juste libérés d'un camp de concentration se réfugient dans un château et se retrouvent assiégés par des bergers allemands affamés. C'est vraiment pas de chance !

La Zone d'intérêt de Jonathan Glazer

La vie de famille du commandant du camp d'Auschwitz dans leur maison située à proximité ou la banalité du Mal. Les images sont sages, mais la musique en dit long.

The Auschwitz Report de Peter Bebjak

Deux prisonniers s'évadent du camp d'Auschwitz pour raconter ce qu'ils ont vu. Au début, on ne les croit pas ; depuis, ça s'est arrangé de ce côté-là.

Toute la lumière que nous ne pouvons voir de Shawn Levy

Une mini-série qui raconte le destin d'un jeune ingénieur allemand et d'une jeune française aveugle de 1934 à 1944. La bande-annonce ne me parait pas trop outrancière, mais c'est tout de même produit par Netflix...

La bataille de l'Escaut de Matthijs van Heijningen Jr.

En 44 les destins croisés de trois jeunes, une résistante, un pilote anglais et un soldat allemand. Même remarque que pour la bande-annonce précédente.