17/05/2022
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Gaby Moreno
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Chingon
Malaguena Salerosa
20:37 | Lien permanent | Commentaires (55)
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Gaby Moreno
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Chingon
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Commentaires
Dans le registre "Amérique du sud" :
https://www.youtube.com/watch?v=ooMyUHREPfs
(La chanteuse serait irlandaise.)
J'épargne aux oreilles délicates et Stacey Kent et les chansons de *Total Overdose* (qui m'avaient incité à neutraliser, dans le jeu, la "musique" de type "rap latino"). ;-)
Écrit par : Blumroch | 17/05/2022
Au temps de la Première Grande Claustration, Brighelli, qui se croit tous les talents littéraires, avait tenté de divertir son public avec un roman historique intitulé *Soleil noir*. Dès le premier chapitre, presque dès le premier paragraphe, la comparaison avec n'importe quel Perez-Reverte était fatale au laborieux *pensum* du normalien agrégé (qui n'est toujours pas revenu de l'une et l'autre caractéristiques). Etait écrasante aussi la comparaison avec ce styliste, moraliste et historien qu'est Monteilhet. Quand, par curiosité, on a commencé *Soleil noir*, on se demande jusques à quand on tiendra avant d'arrêter une lecture inutile et vaine (par bonheur, trop sensible à quelques commentaires sarcastiques, Brighelli avait exercé une terrible vengeance en cessant ses livraisons avant de fermer, un peu plus tard, son blog, non sans avoir auparavant demandé à deux valets de plume de célébrer, de manière grotesque, son ouvrage) ; quand on a commencé *Les bouffons -- roman des temps révolutionnaires*, on déplore immédiatement la certitude que le livre, consacré à la chiennerie républicaine, aura malheureusement une fin, en se réjouissant par avance du plaisir qu'on prendra à le relire comme la *Révolution française* de Gaxotte.
// Médiocres en 1789, encore plus médiocres en 2022.
La destruction systématique par des Français de tous les vestiges de leur passé, à commencer par les édifices religieux, est une manie des plus originales, que l’on n’avait encore notée chez aucun peuple, le passé étant au contraire dans le monde entier source d’inspiration et de respect.
// Supériorité des Chouans sur les Vendéens.
Dans une guerre civile, toute organisation est vulnérable, alors que de petits groupes décidés, opérant au sein de populations passives ou favorables, entretiennent aisément une insécurité permanente.
// Van Vogt : "Etre armé, c'est être libre". Variante infidèle : "N'oublie jamais qu'on t'a donné un glaive pour t'éviter de finir esclave."
*Ignorant datos ne quisquam serviat enses.*
On ignore que les épées ont été données pour qu’on ne soit point esclave.
(Lucain, *La Pharsale*, livre IV, trad. A. Bourgery).
// Les moyens de la tyrannie n'étaient pas encore à la hauteur de ses intentions mauvaises ; les ordures de l'oligarchie ont changé tout cela.
Parallèlement, furent créés des certificats de civisme (on faisait la queue pour obtenir ce bien précieux, censé mettre à l’abri du pire !), en attendant les cartes de citoyen, les certificats de vie, de non-émigration, de résidence -- sans parler des certificats d’indigence ! Peu à peu, toute la France était "certifiée" d’une façon ou d’une autre, et une absence de papier était devenue suspecte. De plus, dans les villes, les propriétaires étaient tenus d’afficher la liste des résidents, afin de faciliter les visites domiciliaires de jour ou de nuit.
Dans ces conditions -- et c’était sans doute le profond dessein des autorités de ce nouveau régime policier --, plus personne n’était en règle si l’on se donnait la peine de gratter un peu.
// Bonaparte, bon fils de la chiennerie révolutionnaire, affirmait lui aussi que les crimes collectifs n'engageaient personne. Faut évidemment que les criminels appartiennent aux bons groupes.
En matière d’assassinat, les responsabilités se diluent jusqu’à l’impunité à proportion de la foule des exécutants.
// Exquise délicatesse !
Les vrais "patriotes" mettaient leur point d’honneur à tuer et à détruire, mais ils avaient en principe honte de voler, laissant ce soin aux financiers et aux commissaires.
// Impossible de perdre ce qu'on n'a jamais possédé : c'était donc plutôt révélation de leur absence.
Il y avait quelque chose, dans les principes révolutionnaires, qui faisait perdre à l’homme toute dignité et tout caractère humain.
// On a si rarement l'occasion d'être juste.
Quand on cherche désespérément un côté positif à la Révolution jacobine, on n’en aperçoit guère, tout compte fait, qu’un seul : elle aurait plutôt diminué, de façon très provisoire, les ordinaires embarras de Paris. L’historien doit être honnête et ne jamais refuser un compliment mérité.
// Une autre manière de comprendre "Il ne peut en rester qu'un".
La Révolution, c’était une mort vulgaire pour tout le monde, dans un bain de sang général, chacun ambitionnant d’être le dernier assassin à rester en vie.
// C'est vrai : ce pari ne réussit qu'à 99,99%.
Il n’y a pas de plus grande erreur que d’imaginer que tous les hommes marchent à la carotte et au bâton, qu’on peut les manoeuvrer à loisir en faisant appel à leurs instincts les plus troubles et à leurs plus bas sentiments.
// La pauvre langue contemporaine n'est qu'un retour aux sources.
La Révolution, en avilissant la pensée, avait gâché le style, devenu délayage, verbiage, barbouillage et enflure. A tel point que le lecteur ou l’auditeur ordinaire avait du mal à comprendre du bon français et qu’il fallait maintenant lui redire deux ou trois fois les plus banales pauvretés pour qu’elles pénètrent son esprit déshabitué de la réflexion.
[...] on finit par écrire comme on parle et par penser comme on écrit.
// On pouvait déjà hésiter entre Béria et Dzerjinski. Facétie ou révélation ?
Saint-Just [qui] affectionnait la formule : "Dans une prison, il y a trois murs de trop."
// Tableau contemporain ; on cherche encore l'élu redoutant un châtiment.
A cette heure de l’après-midi, les députés étaient en nombre et un honnête homme eût été épouvanté par leurs faces patibulaires.
La cruauté, la veulerie, le cynisme, la lâcheté, la fourberie, la vanité, la bêtise, la médiocrité, la paresse, l’irresponsabilité, la bassesse, l’arrogance, le sadisme avant la lettre, la passion de l’argent et du jeu, le goût de l’alcool, des filles ou des gitons, se le disputaient à l’envi. Mais par-dessus tout, un même sentiment marquait la plupart des visages et y avait laissé ses honteux stigmates : une peur abjecte d’être puni et l’infâme détermination de faire n’importe quoi pour couper au châtiment.
// Poulet n'a pas dit mieux dans son pamphlet visant par avance les abonnés à *L'Immonde* soutiens du régime.
Visqueux dans l’adversité, féroce dans le triomphe, tantôt lâche et tantôt cruel, toujours hypocrite et doué pour toutes les bassesses, ne respirant que fourberies et reniements, obsédé par ses intérêts immédiats, mais borné comme une taupe, aussi calculateur qu’imprévoyant, ne songeant qu’à jouir au rabais en comptant ses deniers, gibier de bordel ou rat d’égout, sans âme, sans esprit, sans humour, sans générosité, sans raffinement et sans culture, ne comprenant rien aux choses de l’art, le bourgeois est la lie de l’humanité souffrante.
Et quand par malheur il a fait des études, il s’empresse, pris de vertige, de retourner avec hargne sa science d’emprunt contre la société établie qui a fait les frais de son collège. Une aristocratie éclairée a toujours donné la main au peuple contre cette vermine sortie de son sein pour le mieux trahir.
// Quand on cherche la vérité, on la trouve ; c'est risqué. De scandaleuse manière, Monteilhet est mort dans un silence total.
Deux cents ans après le cataclysme, les chercheurs indépendants qui s’attachent, sans souci de carrière, aux faits plutôt qu’aux théories, estiment eux-mêmes que le bilan de la Révolution, apogée du verbalisme, est nul quand il n’est pas catastrophique.
Écrit par : Blumroch | 18/05/2022
Ce n'est plus d'actualité, même si, *mutatis mutandis*, c'est intemporel :
https://www.youtube.com/watch?v=OgtTWBPUjcQ
Écrit par : Blumroch | 18/05/2022
Ze Mite devait évoquer la Borne A Pain choisie par le phénix élyséen (lu en anglais, ça pourra faire sourire) :
https://www.youtube.com/watch?v=zMB088HWdAA
Manque, pour l'heure, un chant des courtisans qui entraînerait les troupes enthousiastes de la nouvelle [sic] renaissance.
Écrit par : Blumroch | 18/05/2022
Blumroch > il faudrait s'y mettre à l'écrire ce "chant des courtisans".
Écrit par : Pharamond | 18/05/2022
A tout hasard (pas vu le film, pas été inspiré par la bande annonce) :
https://counter-currents.com/2022/05/the-northman/
(Le site n'est probablement pas très favorable au progressisme. Y'a même des références à l'auteur d'*Imperium*.)
Écrit par : Blumroch | 18/05/2022
Blumroch > Curieux de parler de film de droite. De quelle droite s'agit-il ? Un film qui montrerait des personnes de condition modeste comme des abrutis serait-il un film de droite lui aussi ? Mais considérons que ce film soit de droite dans l'acception positive du terme, il faut croire que dès qu'on ne dit pas n'importe quoi dans un scénario cela ressemble à ça. La réalité est de droite, semble-t-il.
Pas encore vu le film.
Écrit par : Pharamond | 18/05/2022
@Pharamond : La réalité, comme la littérature, est très à droite. ;-)
J'entends encore une excellente (bien que gauchiste) prof de français en khâgne obligée de reconnaître ce qu'elle tenait pour une injustice et une aberration : "On doit peut-être admettre que la littérature est de droite, et je le déplore." Le "peut-être" était joli. Les Sartre et Camus sont aussi oubliés qu'un Jeando, quand de petites chapelles de bons lecteurs maintiennent la flamme d'un Laurent, d'un Fraigneau, d'un Caillois. A part une poignée de givrés, personne ne s'inflige Zola plus d'une fois, quand Balzac se relit avec la même passion. François Crouzet, dans son excellent *Contre René Char*, notait que les admirateurs de René Char avaient pour principale activité de parler *de* René Char à partir des trois ou quatre mêmes très courts extraits, et de toujours évoquer sa "résistance" pour lui attribuer des vertus intellectuelles qu'il n'avait pas vraiment.
Écrit par : Blumroch | 18/05/2022
Je n'ai manifestement gagné aucun lecteur à Monteilhet. J'espérais les allergiques à la sanglante et médiocre chiennerie révolutionnaire en nombre supérieur à 0. :-(
Tant pis.
Écrit par : Blumroch | 18/05/2022
Les amateurs de musiques *méchantes* devraient trouver quelques références intéressantes ici :
https://counter-currents.com/tag/music-reviews/
Dans un des articles, cette réflexion : "Political dissenters apparently can get into a lot of trouble lately now that Spain is no longer a fascist country."
Écrit par : Blumroch | 19/05/2022
Au nombre des ultimes recommandations inutiles avant le Grand Silence qui suivra (ou précédera) le déclenchement de la WWIII au profit des ricains, des ordures de Davos, des saloperies de la maudite u. dite "e." et sans doute des forces d'occupation coloniale, la *Petite anthologie imaginaire de la poésie française* (j'aurais préféré *Anthologie de la poésie française imaginaire*, mais les deux titres sont défendables), d'un certain Henri Bellaunay dont j'ignore tout, qui était aussi doué pour pasticher la poésie que Curtis l'était pour la prose. Lecture de hasard qui est presque une relecture, à considérer les auteurs repris.
Écrit par : Blumroch | 19/05/2022
Blumroch > Je n'ai certes pas une grande estime pour la Révolution, mais l'aristocratie française de l'époque n'était pas très reluisante et à bout de souffle.
Sympa le site musicale.
Écrit par : Pharamond | 19/05/2022
@Pharamond : Entre le pire et le moins pire... En tout cas, la caste dominante n'éprouvait pas, malgré ses erreurs et ses défaillances, la passion malsaine que les médiocres révolutionnaires avaient pour les fleuves de sang et la fabrication d'un peuple "nouveau", "régénéré", c'est-à-dire conditionné selon leurs criminelles et ineptes lubies. Toute ressemblance...
Je le dis d'autant plus librement que je n'aurais été dans aucun des deux camps.
Écrit par : Blumroch | 19/05/2022
Le Z ne m'inspirait pas une confiance sans bornes, mais il avait cette vertu que d'être le moins pire *quand même*. Le Paysan Savoyard, ici, est bon situationniste :
https://leblogdepaysansavoyard.wordpress.com/2022/05/17/la-campagne-de-zemmour-le-talent-le-courage-lenthousiasme-et-a-la-fin-lechec/
//
Le point majeur à retenir de cette séquence électorale nous paraît être le suivant. On pouvait dire jusqu’alors que les Français, de façon tout à fait antidémocratique, n’avaient jamais été consultés sur la politique d’immigration de masse choisie par la classe dirigeante depuis cinquante ans. Ce n’est plus vrai. Pour la première fois, les Français ont eu devant eux un candidat potentiellement présidentiable qui leur a tenu en toute clarté ce discours : "Nous sommes en danger de mort parce que nous sommes envahis. Si vous m’élisez j’arrêterai l’invasion".
La grande majorité des Français ont choisi de ne pas donner leur confiance à ce candidat, préférant voter pour la poursuite de la politique à l’œuvre ou continuer à s’abstenir. Ils ne pourront pas dire à l’avenir : "Je ne savais pas". C’est en toute conscience que la majorité des Français ont choisi leur destin. Il sera probablement tragique.
//
Le "probablement" est joli.
Eh oui, c'est *librement* que les krons ont exprimé leur avis -- des krons qui ne sont ni abusés ni hypnotisés ni manipulés ni bernés ni influencés ni ensorcelés mais simplement, tristement krons et surtout : immensément majoritaires (Pareto is no longer right : de 80%, on tend vers les 95%). Comme l’a dit Mencken une fois pour toutes : "Democracy is the theory that the common people know what they want, and deserve to get it good and hard."
Dans je ne sais plus quelle lettre du livre V, Sénèque, hypocrite sophiste et démagogue, exhortait Lucilius à considérer ses esclaves comme autant de *conservi*, de compagnons d'esclavage. Nous aussi, les raisonnables, les Cassandre, nous sommes enchaînés à des abrutis dont nous partagerons, sans l'avoir jamais souhaité ni mérité, le triste sort.
Quant au Grand Rassemblement :
http://www.autochtonisme.com/2022/04/et-les-imbeciles-attendent-maintenant-2027.html
c'est un projet qu'il fallait organiser voici 40 ou 50 ans. Aujourd'hui, c'est trop tard. Qu'on ne se demande pas pour qui sonnera bientôt le glas -- enfin, si les kollabos et les occupants le permettent encore. Entre les moyens de la tyrannie technicienne et les troupes d'occupation coloniale, il n'y aura ni société parallèle, ni société perpendiculaire.
Écrit par : Blumroch | 20/05/2022
P.S. : J'avais traduit le texte en hypokhâgne et je croyais me souvenir de "non servi sed conservi sunt". J'avais tort, le texte étant : "Servi sunt." Immo conservi.
C'est un des rares intérêts d'Internet, que de pouvoir *retrouver* facilement des détails de ce genre :
https://la.wikisource.org/wiki/Epistulae_morales_ad_Lucilium/Liber_V#XLVII._SENECA_LUCILIO_SUO_SALUTEM
Écrit par : Blumroch | 20/05/2022
Sous forme de citation, modeste contribution à la bonne humeur générale en euromacronistan "démocratique", "inclusif", "progressiste", "écologiste" et "médical". Yep, les guillemets signalent un *léger* scepticisme.
//
Il n'y a, en effet, aucune raison de s'attrister à l'idée que les innombrables laideurs que nous voyons s'étaler partout, sur tous les continents, seront un jour définitivement balayées, avec ceux qui les ont produites, encouragées ou tolérées, et qui continuent sans arrêt d'en produire de nouvelles. Il n'y a même pas de quoi s'attrister à la crainte que les vieilles et belles créations humaines -- les Pyramides de Gizeh, le Parthénon, les temples de l'Inde du Sud, Ellora, Angkor, la cathédrale de Chartres, -- pourraient bien être balayées en même temps qu'elles, dans la colossale fureur de la Fin. Les laideurs que l'homme a accumulées, les désécrations de la Terre dont se sont rendues coupables, en ce siècle de déchéance universelle, même les meilleures races, neutralisent de loin tout ce que le génie des Anciens a produit de plus grand et de plus beau. Elles font oublier les taureaux ailés de Babylone et d'Assyrie, les frises des temples grecs et les mosaïques byzantines, et font pencher le fléau de la balance en faveur de la disparition de l'espèce humaine. D'ailleurs, les oeuvres éternelles ne sont plus à leur place dans le monde d'aujourd'hui. On ne les voit même plus.
[...]
Il ne reste plus qu'à souhaiter, qu'à appeler de toutes nos forces "le Déluge" -- la *Fin* ; qu'à nous rendre personnellement responsables de sa venue, en la souhaitant jour et nuit.
Je la désirerais, je l'appellerais, même si on me persuadait que pas un de nous -- y compris moi, bien entendu ; y compris ceux que j'admire et aime le plus, -- n'y survivrions. Le monde est trop laid, sans ses Dieux véritables, -- *sans le sens du sacré au sein de la vie*, -- pour que les Forts n'aspirent pas à sa fin.
Mes camarades, joignez-vous à moi, et lançons à tous les échos, avec Wotan, le Chant de la Fin :
"*Eins will ich : das Ende ; das Ende !*"
Le monde sans l'homme est, et de très loin, préférable, au monde dans lequel aucune élite humaine ne commandera plus. Le rugissement du lion s'y fera de nouveau partout entendre, au cours des nuits, sous le ciel resplendissant de clair de lune, ou sombre et plein d'astres. Et de nouveau les vivants y trembleront devant un Roi digne d'eux.
//
Encore un espoir qui sera déçu, évidemment. ;-)
Serais-je interrogé par un hypothétique Institut Dies Irae sur l'Occulte Tiqqun pour savoir si je suis :
[_] opposé
[_] indifférent
[_] favorable
à cette fin que les Stoïciens appelaient *ekpurôsis* -- un déluge planétaire et une conflagration universelle --, j'irais bien répondre que j'y suis plus que favorable, et que mon seul regret est de n'avoir pas le pouvoir de la déclencher afin que disparaissent définitivement et l'immonde termitière technicienne moderne, et tous les hommes-insectes qui l'ont voulue ou tolérée. Et cette fois, pas de reprise du cycle : the end, once and for all :
https://www.youtube.com/watch?v=x5JvbD2Zc9I
Écrit par : Blumroch | 20/05/2022
Propos de véritable écolo, n'ayant rien à voir avec nos modernes tarés n'aimant pas la nature mais le pouvoir, haïssant non l'esprit de la finance mais celui de l'Occident.
//
S'il existe une Justice immanente, il est à souhaiter que de tels gens [les ordures capables d'abandonner, de faire souffrir, de tuer un animal familier] crèvent de faim et de soif, abandonnés, reniés de tous ceux en l'affection de qui ils croient, sur quelqu'île déserte ou au fond d'un cachot. Ils sont, parfois, punis d'une façon inattendue, tels cet homme et cette femme dont le Journal de la Société Protectrice des animaux de Lyon a relaté le châtiment, sans toutefois publier leur nom. Parents d'un garçonnet de six ans, ils avaient, malgré les pleurs et les supplications de cet enfant, poussé hors de la portière de leur voiture le chien qui leur avait, lui, voué tout son amour, puis étaient repartis à toute vitesse, étaient arrivés à leur lieu de villégiature, s'étaient installés à l'hôtel et endormis sans remord. Mais la sereine Justice veillait. Le lendemain, les deux êtres indignes trouvèrent leur fils unique mort, dans une mare de sang il s'était ouvert les veines avec la "gilette" de son père. Sur la table de nuit ils trouvèrent, écrits de sa main d'enfant, quelques mots : son verdict contre eux et contre tous ceux qui leur ressemblent ; de quoi se souvenir jour et nuit, le restant de leur vie : "Papa et maman sont des monstres. Je ne peux pas vivre avec des monstres !".
Cet acte d'héroïsme d'un tout jeune enfant n'a pas pu, hélas, rendre à la malheureuse bête le foyer perdu. Mais il garde une valeur de symbole. Il proclame, dans sa tragique simplicité, que, dans ce monde de l'Age Sombre touchant presque à sa fin, où tout appartient à l'homme, et où l'homme, appartient de plus en plus aux Forces de l'abîme, il vaut mieux mourir que naître. Il s'apparente, en son essence, et en dépit des circonstances entièrement différentes qui l'ont provoqué, à tous les suicides glorieux motivés par un intense dégoût du milieu naguère encore respecté sinon admiré, à la brusque révélation de sa vilenie véritable, car toute vilenie, -- en particulier toute *trahison*, -- est lâcheté. Il s'apparente à tous les actes similaires d'héroïsme -- suicides *ou*, parfois, meurtres demandant plus de désespoir encore que le suicide, -- motivés par la conscience que l'avenir inévitable, conséquence du présent, ne peut être qu'un enfer [...].
//
Écrit par : Blumroch | 20/05/2022
Blumroch > N'ayant pas vécu à l'époque je serai bien incapable de dire pour quel camp seraient allées mes sympathies.
Deux remarques à propos de l'analyse du Paysan Savoyard :
- Il y a quelques années l'avis des électeurs sur Zemmour et l'immigration aurait peut-être était différents.
- Plus une population est déstabilisée plus elle cherche la sécurité - fût-elle trompeuse et brève - et le confort de ce qu'elle connait. Ce n'est seulement quand elle s'aperçoit qu'elle n'a plus d'espoir qu'elle se décide à bouger.
J'ai un peu de mal à en appeler à l'Apocalypse en guise de "solution" aux problèmes actuels.
Triste histoire pour qui aime les enfants et les animaux. Par son geste l'enfant prouve qu'il méritait de vivre et ses deux parents continueront leur vie de salopard et finiront par oublier. Je doute que cela leur serve de leçon.
Écrit par : Pharamond | 20/05/2022
@Pharamond : Je n'aime ni les Grands ni les petits. Le choix est vite fait. ;-)
La population ne bougera pas, quelles que soient les saloperies que le pouvoir lui infligera : le coronacircus l'a prouvé.
Tu n'es pas nihiliste. ;-)
Anecdote du début des années 70. Romaine ou japonaise. Les parents (comme tous les salauds ejusdem farinae) méritaient un châtiment à la *Game of Thrones*.
Les deux tartines sont de l'étonnante Savitri Devi. Je pensais en faire la solution d'un jeu des deux images.
Écrit par : Blumroch | 20/05/2022
Blumroch > il est parfois difficile de ne pas choisir un camp.
Sauf s'il elle a faim, avec la Covid c'était du "provisoire" et moyennement soumission on avait presque droit à tout "comme avant".
Non, sinon je n'éprouverais pas le besoin de tenir ce blog.
Oui, étonnante.
Écrit par : Pharamond | 20/05/2022
Aucun commentaire de Paul-Emic sur Monteilhet, d'EQUALIZER sur Savitri Devi. J'ai perdu deux paris. :-(
Écrit par : Blumroch | 21/05/2022
Ce sera l'une des dernières distractions musicalmaresques.
D'une certaine Marie von Ebner-Eschenbach, ces quelques aphorismes traduits du prénaziste vers l'angliche :
-- The wiser head gives in ! An immortal phrase. It founds the world dominion of stupidity.
-- An aphorism is the last link in a long chain of thought.
-- Nowadays people are born to find fault. When they look at Achilles, they see only his heel.
-- People who read only the classics are sure to remain up-to-date.
-- It is not those who argue who are to be feared but those who evade argument.
-- Wishes which cannot be fulfilled are said to be "pious". It is assumed, apparently, that only profane wishes are fulfilled.
-- If you walk down a well-trodden path long enough, you eventually end up alone.
-- There are intellects that shine and there are those that sparkle. The former illuminate matters, the latter obscure them.
-- Only those few people who practice it believe in goodness.
-- The vain and weak see a judge in everyone ; the proud and strong know no judge other than themselves.
-- It is a characteristic of the great that they demand far less of other people than of themselves.
-- Whoever shows both charm and pleasure in explaining to people things that they already know soon gets a reputation as an intelligent individual.
-- The greatest leveler is politeness ; it removes all class distinctions.
-- The insignificant labor, the great create.
-- Prejudice supports thrones, ignorance altars.
-- Silly people say stupid things, clever people do them.
-- Indifference and contempt will always be able to take on an aura of intellectual superiority over sympathy and love for others.
-- Happy slaves are the bitterest enemies of freedom
-- Believe flatterers and you're lost ; believe your enemies -- and you despair.
-- A defeat borne with pride is also a victory.
-- The moral code which was good enough for our fathers is not good enough for our children.
Écrit par : Blumroch | 21/05/2022
@Blumroch
Montheillet, Savitri Devi, tu nous gâtes. Tu m'as fait lire La Révolution française de Gaxotte qu'on ne peut que recommander. J'avais déjà du mal à trouver quoi que ce soit d'admirable dans cet évènement mais le récit qu'en fait Gaxotte ne montre que des ignominies.
@ Pharamond
Aristocratie décadente, certes. Mais ce qu'il l'a remplacé l'était tout autant. Etant de l'ouest, il y a des choses qui ne passent pas.
Écrit par : Sven | 21/05/2022
Anecdote fort triste que cet abandon et ce suicide. Pas de pitié. Je vois certains gamins qui portent encore le masque. Sa mère n'en a pas, lui si. Je me demande si elle est la dernière des débiles ou si ce pauvre gamin est traumatisé par les délires covidistes.
Écrit par : Sven | 21/05/2022
@Sven : Des ignominies *et* des sottises ! L'alliance des deux était inédite. Comme le disait Rivarol, tout, dans le mauvais spectacle de la révolution, a été médiocre, jusqu'aux assassins. A notre grande époque aussi, on ne peut même pas avoir cette pauvre consolation que de perdre face à une intelligence supérieure, ce qui serait moins humiliant que de subir la tyrannie d'un foutriquet 2.0 ou d'une ursula von die chyène, guidés par un schwab guidé par un harar[abrut]i.
Avec un vrai monarque -- plus énergique et plus intelligent --, certains événements seraient restés, peut-être, dans les limbes, ou auraient été considérablement retardés. Un vrai sujet pour roman de fiction spéculative autant que vaine.
Écrit par : Blumroch | 21/05/2022
Mystère : indispensables au régime, les milichiens sont très souvent poursuivis par l'ersatz de "justice" dudit régime quand, par inadvertance, ils tuent, blessent ou contrarient un criminel cherchant à les massacrer de manière plus ou moins créative.
Et pourtant, ils persistent à soutenir leurs mauvais maîtres sans même chercher des moyens de résistance passive (ne plus assurer la protection des ordures ; refuser de jouer les supplétifs du fisc...).
Faut croire que la réjouissante perspective de pouvoir un jour prochain tirer à balles réelles sur les honnêtes gens désarmés tentés par la révolte vaut toutes les humiliations.
Etrange psychologie. On a vu, dans le passé, des prétoriens plus intelligents ; mais c'était avant. Et les prétoriens n'étaient pas les mêmes non plus.
Écrit par : Blumroch | 21/05/2022
En espérant que ce ne sont pas des doublons :
https://www.youtube.com/watch?v=WFbyTZIULGY
https://www.youtube.com/watch?v=vWD7k6TrJ-g
https://www.youtube.com/watch?v=IGUboLZx3Tk
Écrit par : Blumroch | 22/05/2022
Anecdote instructive à plus d'un titre :
https://counter-currents.com/2022/05/animals-children-first/
M'est avis, Pharamond, que ce site méritera d'entrer dans le quartier anglophone du Pandémonium à sa prochaine révision.
Écrit par : Blumroch | 22/05/2022
Relu hier quelques pages d'*Un samouraï d'Occident*, titre qui n'avait pas besoin de la précision "Le bréviaire des insoumis".
Encore un disparu plus présent que bien des vivants.
Écrit par : Blumroch | 22/05/2022
Plusieurs petits malins demi-habiles faisaient récemment un parallèle audacieux entre Vichy et le Macronistan (aussi délirant que la thèse d'un foutriquet 2.0 disciple d'un Saint-Simon dont il n'a certainement jamais lu une ligne), ignorant un certain nombre de différences essentielles, à commencer par la corruption. Venner mettait ici les pendules à la bonne heure : "Il m’est arrivé de rappeler que, lors des procès d’épuration en Haute Cour, après 1945, à l’encontre des ministres de l’État français, autrement appelé régime de Vichy, il fut impossible de relever un seul cas d’enrichissement frauduleux ou de corruption, en dépit des efforts d’enquêteurs acharnés. Les hommes qui ont alors exercé le pouvoir étaient certainement critiquables à de multiples égards, mais, dans l’ensemble, ils étaient imprégnés par une idée presque militaire du devoir à l’égard de leur pays prisonnier d’une situation d’extrême détresse."
https://www.dominiquevenner.fr/2013/04/tous-pourris/
Écrit par : Blumroch | 22/05/2022
Sven > Quand on est incapable de conserver ce qui est il ne faut pas s'étonner de voir des nouveautés monstrueuses lui succéder.
Il parait que les mesures "sanitaires" ont créé des phobiques qui ont peur de tout attraper s'ils enlèvent le masque.
Blumroch > Il me semble que Chromatics est déjà passé par là, mais peu importent les doublons.
Bien volontiers pour le site, mais il faudrait que je m'occupe un peu du Pandémonium laissé un peu à l'abandon.
Les parallèles historiques sont très risqués et généralement absurdes.
Écrit par : Pharamond | 23/05/2022
Blumroch > Pas mal le texte sur les animaux.
Écrit par : Pharamond | 23/05/2022
Référence trouvée grâce à un touitte d'Aldo Sterone :
https://www.youtube.com/watch?v=_h1Akg2de_w
L'idée est excellente, qui mériterait une révision contemporaine. A cette occasion, on remplacerait notamment la dernière proposition par "et, ayant survécu par miracle à l'Apocalypse du saint prophète Klaus de Davos, je suis un serf heu-reux".
Écrit par : Blumroch | 23/05/2022
@Pharamond : Interrogé avec la syntaxe "site:", Deukdeukgau n'avait pas trouvé de référence à Chromatics. J'aurais été mieux inspiré d'utiliser l'OEil de Sauron qui, lui, a trouvé :
http://guerrecivileetyaourtallege3.hautetfort.com/archive/2015/10/23/musique-392-5704946.html
Mais c'est une autre chanson. ;-)
Pour compenser, cette préfiguration du *Journal d'un crétin* (ou d'un "fier connard"[1] membre du club des 97%) :
https://www.youtube.com/watch?v=cChXhI5rfUc
[1] L'expression est de Fruttero & Lucentini, qui concerne un type de crétin en voie de disparition : le communiste (faussement) repenti.
Écrit par : Blumroch | 24/05/2022
edit/fix : "du club des 93%". Encore que 97% soit sans doute plus proche de la vérité du bétail.
Écrit par : Blumroch | 24/05/2022
Vico avait formulé une théorie des trois âges : celui des dieux, celui des héros, celui des hommes. Il n'avait pas prévu le quatrième, le nôtre : l’âge des nains (on peut penser à un autre... remplacement). Simak écrirait aujourd’hui *Smart City* pour raconter le flambeau arraché aux mains de l'homme et tombant, inutile, voué à s'éteindre définitivement, dans celles des singes. Un traducteur facétieux et respectueux de la tradition rendrait ainsi le titre : *Demain, les termites*.
Écrit par : Blumroch | 24/05/2022
A l'évidence, Harar[abrut]i et ses amis tarécolos euroschwabiens voudraient que les populations attendissent tranquillement d'être exterminées[2] en restant cloîtrées, si possible absorbées dans les univers virtuels des jeux vidéo comme dans *Ready Player One*, navet cinématographique éclairant. Pendant que le bétail rêve et se divertit, le berger prépare les couteaux.
Dès 1963, Zelazny avait écrit une nouvelle amusante sur les versions de l'évasion, "The Misfit". D'improbables curieux la trouveront ici aux pages 116 et suivantes (pagination du magazine), à condition de récupérer le PDF, la numérisation étant, comme toujours, inexploitable et donc inutile :
https://archive.org/details/Amazing_Stories_v37n10_1963-10_Gorgon776
Il en existe une traduction française dans "Le livre d'or" consacré à l'auteur, chez Presses Pocket.
Écrit par : Blumroch | 25/05/2022
On peut éprouver de l'estime pour les derniers vrais médecins courageux et compétents, mais seulement du mépris pour les médicastres et autres agents de santé corrompus par une industrie mafieuse. On pense toujours à Molière et à Romains, quand Daudet devrait, lui aussi, revenir en mémoire :
https://fr.m.wikisource.org/wiki/Les_Morticoles/Texte_entier
//
[...] Nous tirâmes de ses draps un malheureux atteint de cette affection bizarre que l’on appelle *hémophilie*. Ce mauvais jeu de mots signifie que le blessé aime le sang, alors que réellement il se contente de le perdre. Je remarque à cette occasion que les Morticoles se plaisent à employer les termes les plus extraordinaires, tirés du grec et du latin, quelquefois de l’hébreu, qui servent à masquer leur ignorance. C’est ainsi qu’un malade demandait un jour à Boridan : "Qu’est-ce que j’ai ?" Et il sortait une langue énorme et rouge. "Comment dit-on langue, en grec ? interrogea le flegmatique docteur. — *Glossè*, répliqua l’autre. — Donc, mon ami, vous avez une *glossite*."
//
Ce qui vaut bien une buzinite vérane et bourguignonne.
Écrit par : Blumroch | 25/05/2022
Blumroch > Le jargon de l'expert a toujours son petit effet, en bien ou en mal.
Écrit par : Pharamond | 25/05/2022
Aurais-je eu le courage de chercher les illustrations que c'était un jeu des deux images aussi rigolo que Bruno Lemerdre : une molécule d'acétone et une carte géographique montrant un point sur le plateau du Golan (point correspondant à un kibboutz). La réponse aurait évidemment été Chaim Weizmann, cas rare de vrai savant devenu président, comme le soulignait Bergier dans sa *Guerre secrète du pétrole*, apprenant à son lecteur la raison pour laquelle les angliches avaient soutenu la création d'un nouvel état source de nombreux... livres[1].
Blague à part, la fiche de police en angliche est instructive à plus d'un titre.
[1] On pourrait penser à d'autres développements, mais en dictature, ce serait risqué.
Écrit par : Blumroch | 26/05/2022
Remarque désopilante dans ce billet :
https://www.anguillesousroche.com/actualite/2-200-personnalites-espagnoles-de-premier-plan-font-lobjet-dune-enquete-pour-fausse-vaccination-contre-le-covid-19/
"Selon la police qui enquête sur les 2 200 faux certificats de vaccination Covid-19, les frais dépendaient de votre statut social. Plus vous étiez important, plus le prix était élevé."
Écrit par : Blumroch | 26/05/2022
Ze Mite :
https://www.youtube.com/watch?v=e-BIQ_thcG8
Écrit par : Blumroch | 27/05/2022
Blumroch > Les relations entre le sionisme et le fascisme n'étaient pas aussi claires qu'on le prétend aujourd'hui.
C'est normal, non ?
Mouais...
Écrit par : Pharamond | 27/05/2022
Le Léon de Fatal Combaz a souvent évoqué l'imminente fin d'Internet et de quelques autres nuisances grâce à une providentielle éruption solaire qui se fait encore attendre, au moins autant que Villiers lieutenant général émir du royaume de Francarabia. Ze Mite a deux ou trois choses, plus ou moins judicieuses, à dire sur le sujet :
https://www.youtube.com/watch?v=s7tpDPzLKbM
Écrit par : Blumroch | 28/05/2022
edit/fix : "ou de Mortal Kombaz".
Écrit par : Blumroch | 28/05/2022
JP est awaken mais n'est toujours pas près d'être woke :
https://www.youtube.com/watch?v=f7dutCWo48I
Écrit par : Blumroch | 28/05/2022
L'auteur de ces réflexions n'aimait guère le régime des partis, qui serait probablement censuré aujourd'hui pour avoir osé écrire :
//
La conclusion, c’est que l’institution des partis semble bien constituer du mal à peu près sans mélange. Ils sont mauvais dans leur principe, et pratiquement leurs effets sont mauvais.
La suppression des partis serait du bien presque pur. Elle est éminemment légitime en principe et ne paraît susceptible pratiquement que de bons effets.
Les candidats diraient aux électeurs, non pas : "J’ai telle étiquette" -- ce qui pratiquement n’apprend rigoureusement rien au public sur leur attitude concrète concernant les problèmes concrets -- mais : "Je pense telle, telle et telle chose à l’égard de tel, tel, tel grand problème."
[...]
Combien de fois, en Allemagne, en 1932, un communiste et un nazi, discutant dans la rue, ont été frappés de vertige mental en constatant qu’ils étaient d’accord sur tous les points !
//
Le parti, c'est le gang, et le gang, c'est la mafia.
Écrit par : Blumroch | 29/05/2022
@Pharamond : Digne de Tacite, l'image de la patrouille romaine sur le Rhin.
Écrit par : Blumroch | 29/05/2022
Blumroch > Mais comment vont vivre les influenceurs ?
Plus modestement l'image m'avait évoqué certains passages de "L'aigle dans la neige" de Wallace Breem.
Écrit par : Pharamond | 29/05/2022
@Pharamond : Petit dialogue philosophique classique à peine révisé :
A. (terriblement inquiet des perturbations que les méchants Poutine et soleil pourraient infliger au réseau Internet) -- Il faut bien que les influenceurs[1] vivent !
B. (narquois et inhumain) -- Je n'en vois pas la nécessité.
[1] D'autres nuisibles et parasites pourraient évidemment être mentionnés, eux aussi, qu'il soit ou non question d'Internet, mais en démocrassouille, mieux vaut garder le silence, surtout en l'absence de commandos de la sainte Vehme des nouveaux Gilets jaunes... qui n'existeront jamais.
Écrit par : Blumroch | 29/05/2022
Blumroch > La crise engendrera une sélection, une forme de darwinisme en quelque sorte.
Écrit par : Pharamond | 29/05/2022
@Pharamond : Je rappelle que le darwinisme enseigne la survie du plus adapté ("fittest"), pas du plus intelligent ou du plus estimable. Je ne suis pas absolument certain d'avoir envie de voir les plus adaptés à la sauvagerie.
Pour être juste, eux non plus ne souhaiteront pas cohabiter avec leurs opposés.
Les musicalmars ont disparu, les zikalamars les suivent lentement, mais impossible de résister à ceci :
https://www.youtube.com/watch?v=S-un0VLr44c
Le tranquille visage du mal (d'autres mettront une capitale à l'initiale) : en d'autres termes, une belle ordure. J'avions vu un condensé, et j'avions pas pu croire à autant de cynisme serein. Cette fumure n'a même pas l'air d'un méchant KlinKhon à la Schwab.
Faut être juste : moi aussi, je supprimerais volontiers une partie de l'humanité, mais en bien plus petit nombre, et pas sur les mêmes critères.
Dire qu'on trouve encore presque 100% de crétins pour refuser même de visionner ou de lire les preuves de ce genre. Je prédis un beau succès à l'opération "Vendanges vertes planétaires", et peut-être plus rapidement encore que les lucides ne le pensent.
Peut-être le dernier été. Si ce que j'ai lu est exact (maintenant, faut se méfier de tout, ou tout vérifier), le traitement pour le virus simiesque vient d'être interdit, comme l'avait été celui pour le vilain virus précédent. L'histoire est bien cyclique.
Écrit par : Blumroch | 30/05/2022
Epitaphe romaine qui se passe de traduction[1] :
BALNEA, VINA, VENVS CORRVMPVNT CORPORA,
SED VITAM FACIVNT BALNEA, VINA, VENVS.
[1] Pour d'éventuels spécialistes de l'Antiquité classique formés de nos jours chez les ricains (depuis quelques mois, on ne leur demande plus que de savoir lire -- un peu -- l'anglais) :
Les bains, le vin, l’amour, abîment notre corps ;
mais font aussi la vie, le vin, les bains, l’amour…
Écrit par : Blumroch | 30/05/2022
edit/fix d'un moment de distraction : "mais font aussi la vie les bains, le vin, l'amour...", évidemment.
Une dernière pour la route, empruntée à l'*Histoire de la vie privée*, dans la section écrite par Paul Veyne :
"J'ai vécu chichement tant qu'il m'a été donné de vivre. Alors je vous conseille de prendre plus de plaisirs que je n'ai fait. C'est ça, la vie : on arrive jusqu'ici et pas plus loin. Après, il n'y a plus rien. Je n'ai jamais suivi, moi, les conseils de quelque philosophe. Méfiez-vous des médecins : ce sont eux qui m'ont tué".
Non, improbable lecteur, vous ne traduisez pas à livre ouvert : ce n'est pas du latin. ;-)
Impossible de trouver en quelques minutes le texte original, Internet ne consentant à livre qu'une traduction anglaise :
"I lived meanly so long as it was given me to live, and I advise you to enjoy yourself more than I did. That's life : you get this far and no farther. I never heeded the advice of any philosopher. Beware of the doctors: they are the ones who killed me".
Le conseil final est d'une pertinence intemporelle, quand on n'a pas la chance de tomber sur un *vrai* médecin insensible aux ordres des Gates, BigPharma et autres foutriquet 2.0. Eviter les agents de santé camelots placiers en produits injectables aux effets indésirables, ce sera de plus en plus difficile, si on en croit les avertissements, déjà anciens, du docteur François Plantey et de quelques autres.
En tout cas, ne jamais écouter un philosophe, autoproclamé ou non.
Écrit par : Blumroch | 30/05/2022
Blumroch > Les joies du philanthropisme : on vaccine des populations jusqu'à ce qu'elles débordent de leurs pays puis on se dit qu'il faut réguler/éliminer parce que, vraiment, on est beaucoup trop nombreux sur terre.
Écrit par : Pharamond | 30/05/2022
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