statistiques web gratuite

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

08/06/2012

Où il est question de train, de Naples et de cigogne

0ecce36c-ae52-11e1-af80-b5c35bfe013e-493x500.jpg

Bon, voyons voir le portrait officiel de notre président ordinaire. Lui est en plan américain prêt à dégainer on ne sait quelle loi démagogique ou antifasciste, on croirait presque Gary Cooper dans Le train sifflera trois fois. Dommage qu'il ait le trait mou, mais ça il n'y peu rien, sinon un lifting. Quoique les récents effets du bistouri sur l'ancienne première dame ont dû l'épouvanter s'il y avait pensé. Passons à l'arrière plan. Là, c'est flou, c'est le palais présidentiel mais c'est flou. Il y a bien le drapeau français et celui de l'UE mais disposés comme des draps en train de sécher à une fenêtre, ce n'est plus l'Elysée c'est Naples. Il y aussi le drapeau national au faîte du Palais mais il est tout petit, on dirait une cigogne posée par hasard. Mais moi ce que j'en dis...

Commentaires

Il fait plutôt Gastounet, une espèce Doumergue, bien sûr en encore un peu moins enraciné (ah ! des présidents retirés à Tournefeuille, on n'en connaîtra plus).
Quant à cette affaire des pavillons, ça me donne le torticolis. Je renonce à suivre. En plus, la France s'est passé de drapeau pendant des siècles (tout comme d'hymne et fête nationaux...). Tout ça, c'est une fétichisme contemporain, auquel même le comte de Chambord a cédé.

Écrit par : Nathanaël | 09/06/2012

Oui, mais quand tout fout le camp il faut bien se rattacher à quelque chose, moi c'est le drapeau. Tant qu'il flottera il restera un peu de France. D'ailleurs, remarquons que la phase finale de l'agonie de la Nation a commencé avec la présence du drapeau de l'UE à côté du nôtre.

Écrit par : Pharamond | 09/06/2012

Les commentaires sont fermés.