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08/06/2012

Fait chaud !

Léo Ferré

C'est extra

(L'homme était méchamment fêlé mais quelle chanson !)

 

Commentaires

Oui, enfin c'est pas comme ça à tous les coups. Le sublime ne sait être banal. Et puis, "avant", tout allait moins vite. Il prend son temps, le père Ferré, comme les bouchons de la Nationale 7 de nos juillets d'alors. D'ailleurs, la mode est paraît-il au "quicky". Mais qu'en pensent-elles ? On ne le saura jamais, comme d'habitude. S'il est un domaine où elles esquivent...

Écrit par : Nathanaël | 09/06/2012

1969, l'époque était à une relative innocence ensoleillée de beauté, la bassesse des temps mercantiles, la religion de l'orgueil et du ventre, n'avaient pas encore TOUT subjugué.

Ferré sur scène, c'était l'idole qui foudroie. Rien de moins.

Ferré méchamment fêlé, peut-être... mais vous et moi savons, que le poète "exilé sur le sol au milieu des huées, ses ailes de géant l'empêchent de marcher."

Écrit par : Danny | 09/06/2012

Nathanaël > Je crois qu'aujourd'hui encore, le temps d'une danse ou d'une soirée, on peut vivre de tel instant magique.

Danny > Ferré était Ferré, je ne crois pas que son public cherchait à essayer de tout comprendre.

Écrit par : Pharamond | 09/06/2012

"Une danse [...], une soirée", certes... mais C'est extra chante aussi d'autres étreintes, me semble-t-il. C'est à cela que je faisais allusion. Faurissonisme facile, sollicitant moins le texte que le maître de l'Allier ne le fit avec le Sonnet des voyelles.

Écrit par : Nathanaël | 10/06/2012

Ces autres étreintes sont la conclusion (presque) logique des premières et closent justement la chanson.

Écrit par : Pharamond | 10/06/2012

Les commentaires sont fermés.