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Je suis entré en collision avec un brave homme dont les moyens intellectuels m'ont paru terriblement limités. J'ai donc eu la chance de parvenir à lui faire signer un constat qui m'est particulièrement favorable. Je pense que vous m'en saurez gré.
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Je suis entré en collision avec un camion arrêté qui venait en sens inverse.
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Je suis étonné que vous refusiez de payer cet accident sous prétexte que je ne portais pas mes lunettes comme indiqué sur mon permis. Je vous assure que ce n'est pas ma faute si j'ai renversé ce cycliste : je ne l'avais pas vu.
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Je suis restée malade à cheval sur deux mois.
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Je suis tombée enceinte après votre passage chez moi et de ce fait je voudrais vous poser une question au sujet de mon assurance-vie.
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Je suivais la voiture qui me précédait qui après que je l'ai dépassé m'a suivie, c'est alors, qu'elle m'a choquée en plein derrière, et m'a forcé par la choquer moi aussi le derrière de celle qui était devant
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Je suivais une voiture, quand celle-ci s'est arrêtée à un feu rouge à ma grande surprise.
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Je témoigne que j'ai tout vu. A mon avis je ne pourrai pas donner raison à Monsieur R... qui a tort, c'est pourquoi je vous laisse juge.
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Je vais prêter ma voiture à quelqu'un qui ne sait pas trop s'en servir, mais avant pouvez-vous me confirmer que vous paierez les pots cassés pour les accidents qu'il ne manquera pas de provoquer.
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Je viens d'acheter un camion en remplacement de mon ancien qui est décédé sur la table d'opération de mon garage local.
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Je viens d'apprendre incidemment que Mme Y..., à qui je viens d'acheter une maison en viager, a souscrit chez vous une assurance maladie accident. A l'occasion, et sans violer le secret professionnel, vous pourriez peut-être me dire un mot sur son état de santé.
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Je viens par la présente vous déclarer un accident. Je vous donnerai tous les détails quand j'aurai retrouvé mes esprits.
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Je viens, par la présente, vous déclarer un accident qui, pour être banal, n'en est pas moins inhabituel.
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Je vis avec une tierce personne.
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Je vis maternellement avec ma concubine.
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Je vois pas pourquoi je suis amputé de toute responsabilité, puisque l'autre ne savait pas conduire non plus.
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Je voudrais mon argent aussitôt que vous pourrez me l'envoyer.
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Je vous adresse comme convenu mon constat amiable. Pour être sûr de ne rien oublier, j'ai fait une croix dans toutes les cases.
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Je vous adresse sous pli la facture que vous m'avez réclamée. Si vous ne la recevez pas, vous voudrez bien me le faire savoir.
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Je vous demande de bien vouloir apporter une petite modification aux conditions particulières de mon assurance habitation. En effet, je suis bien le père des enfants de la dame qui vit avec moi, mais je ne suis pas encore son mari.
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Je vous demanderais de ne tenir aucun compte du constat amiable. Vous comprendrez en effet que je fus brusquement pris d'une émotion subite : arrière défoncé, présence de la police, choc psychologique, tout concourrait à ce que je mette des croix au hasard.
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Je vous écris comme suite à votre lettre qui m'est survenu hier, consistant mon accident. Vous dites que je suis responsable pour la priorité, mais j'ai lu les lois et voila ce qui en dérive: "Quand il y a un croisement entre deux routes dont l'une ne traverse pas l'autre, celle que est la plus petite doit s'arrêter la première". Donc il n'y a pas de priorité qui tienne. C'est la loi qui est la plus forte. Vous seriez bien aimable de réviser vos conclusions pour me remettre dans mon bon droit lequel je me trouve déjà par ailleurs.
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Je vous fais remarquer que ce croisement est très dangereux vu qu'il y a deux routes qui se croisent juste à partir de cette place-là.
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Je vous jure sur l'honneur que j'ai rempli de bonne foie le questionnaire que vous m'aviez remis avant de souscrire mon assurance maladie.
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Je vous serai obligé de m'adresser le courrier concernant mon accident à un de mes amis M. C... car, pour la passagère blessée, ma femme n'est pas au courant, et il vaut mieux pas. Je compte sur votre compréhension pour ne pas déshonorer un honnête père de famille.
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Je vous signale que j'ai été écrasé ce matin par un chauffard en état d'ébriété.
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Je vous témoigne mon grand mécontentement vous mettez tellement de temps à me rembourser mes accidents que c'est toujours avec celui d'avant que je paye les dégâts de celui d'après, alors n'est-ce pas que ce n'est pas sérieux de votre part.
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