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03/03/2007

Méchant garçon (10)

- Tu y crois, toi, aux escrocs avec des principes, aux gentlemen cambrioleurs et consorts ?

- Non. Par exemple, j'ai lu, je ne sais plus où, l'histoire d'une starlette du X. Quand elle a débuté, elle refusait certaines pratiques qu'elle jugeait dégradantes. Eh bien, quelque temps après, elle acceptait tout ce qu'elle ne voulait pas faire au départ et plus encore. L'argent, le contexte, et peut-être l'alcool ou la drogue, ont dû l'y aider. Tu me diras que ce n'est pas vraiment la même chose ; moi, je suis persuadé que si, quand on passe certaines limites, il n'y en a plus après.

Commentaires

C'est la grande arnaque, un mythe. Robin des Bois, etc.
Toutefois, il semblerait que les truands respectaient d'avantage la police par le passé, ils avaient un peu plus de principes, semble-t-il. Aujourd'hui les truands ne sont plus ce qu'ils étaient... ;)

Écrit par : profdisaster | 03/03/2007

Les anciens "mauvais garçons" comme on disait avaient plus ou moins conscience de leur "anormalité", ils n'étaient pas meilleurs mais se rendaient compte que le chemin qu'il avait pris pour divers raisons transgressait, au-delà des lois, les règles de vie en société. Aujourd'hui, notre "racaille", au mieux n'a aucune idée de ce qui se fait ou pas et au pire croit être dans son bon droit.

Écrit par : Pharamond | 03/03/2007

C'est tout à fait ça.

Écrit par : profdisaster | 04/03/2007

Oui (bon-jour), mais quand vous dîtes "notre racaille", vous vous en référez à quoi ?

Je sais - bien sûr - un peu, que : depuis le mot de Sarko (- un lien ? -) on "pousse" - un parler racaille - comme le volume du son... répandu, coutumier chez la jeunesse - de manière plus ou moins naturelle - et/ou symptomatique.

Si j'ai "posé" la question, c'est donc bien que j'avais ici une idée derrière la tête... Tremblez d'effroi !

Pensants à ceux/celles qui - non contents d'êtres "anormaux" (mais non de cette "anormalité", de naissance - qui aura fait nos différences, nos joies et nos souffrances...), vont dire, la bouche scotchée (là vôtre, à leur idée), que c'est VOUS qui le serez bientôt et demeurez (sans faute).

En fait les pauvres, il ont confondu anormalité... et anomalie, non ? (parce que ça les fait sentir grand(e)s...).

Seulement voilà... les mots - et ce que - de nous, ils recouvrent - sauraient aussi être traîtres... ou magiciens.
Affaire à suivre que celle de ces mots-là.

Sinon... j'aime bien que votre texte - Pharamond - explicite la boule de neige n'ayant pas fait son avalanche - la limite n'ayant pas encore été dépassée... affaire d'intériorité, sans doute - et de logique - voire, de l'intelligence d'une émotion ?

Écrit par : Marie Gabrielle | 05/03/2007

Les codes d'honneur .. tout se perd mon pôve Monsieur !!!

Écrit par : cile | 05/03/2007

Marie Gabrielle : Quand je parle de racaille je me réfère à la racaille, ce n'est pas Nicolas Sarkozy qui a inventé le terme. Pour le reste, ce doit être moi, mais je ne suis pas sûr d'avoir entièrement compris votre commentaire.

cile : "Les codes d'honneur", peut-être pas, ce n'était pas des samouraïs non plus.

Écrit par : Pharamond | 05/03/2007

Merci pour votre douceur à me faire remarquer que j'y arrive rarement du premier coup (singeant alors le "net") . En fait... j'observe le risque de cristallisation d'une situation vue sous l'angle social d'un côté - et de l'autre, son effet de résonnance à nous parvenir au travers des échanges, et je "vois" deux types de racailles : la première originale, avec le meilleur et le vraiment pire que vous rapportez ; et l'autre : un succédané de racaille à se réjouir secrètement d'une situation dangereuse au titre de cette abscence de principes, que vous observiez finement. Réjouissance tout à fait malsaine à se vouloir "dans le coup" (ému, amoureux, sévère, intervenant...), mais cad "SUR un (LE ?) coup" -mais QUEL coup ? Ne s'agirait-il pas de ce qui rendrait à coup sûr tout principe (moral) caduque ?

Après... je le reconnais, je me suis un peu laissé emporter, dans un comm. pourtant sans précédent... néanmoins, je conçois bien que norme et principe seraient une réalité siamoise confrontée à l'anomalie d'un système absolutiste, cad à ce qui en passe par une expérimentation de : l'instinct, l'intuition, l'amour, l'indépendance d'esprit, la liberté de coeur, etc.

Le rapport entre mon comm. et la note, maintenant... rien d'autre que la relation, quand sur une planche placée très haut, deux personnes riquent de tomber au moindre croche patte... une synthèse un peu imagée du rapport normé à ce fameux principe dit de réalité. (Merci de votre degré de tolérance à mon égard... merci à tous !).

Écrit par : Marie Gabrielle | 06/03/2007

...un dernier mot auquel je pense effectivement : au moins, les gentlemen cambrioleurs, c'était leur PROPRE carte de visite, qu'ils laissaient en partant... et pas - quoi ?!

Donc... tout à fait d'accord avec vous... (encore une fois ?)

Écrit par : Marie Gabrielle | 06/03/2007

Marie Gabrielle : C'est déjà plus clair, peut-être les dernières zones d'ombres disparaîtront-elles à vous lire plus souvent ?

Écrit par : Pharamond | 06/03/2007

Les commentaires sont fermés.