20/12/2007
Le tour de France du patrimoine (choix absolument arbitraire) : Mulhouse (68)
19:31 | Lien permanent | Commentaires (0)
17/12/2007
Vision
Adrian Gottlieb
Portrait of My
20:52 | Lien permanent | Commentaires (0)
Solstice
En ce moment j'ai beaucoup de mal à écrire des notes pour mon blog. Les idées sont là mais une certaine lassitude ne m'encourage pas à les ordonner ni à les structurer. Peut-être cela ira-t-il mieux après les congés de fin d'année.
20:43 | Lien permanent | Commentaires (5)
Le ciel est par-dessus le toit
Le ciel est, par-dessus le toit,
Si bleu, si calme !
Un arbre, par-dessus le toit,
Berce sa palme.
La cloche, dans le ciel qu'on voit,
Doucement tinte.
Un oiseau sur l'arbre qu'on voit
Chante sa plainte.
Mon Dieu, mon Dieu, la vie est là,
Simple et tranquille.
Cette paisible rumeur-là
Vient de la ville.
- Qu'as-tu fait, ô toi que voilà
Pleurant sans cesse,
Dis, qu'as-tu fait, toi que voilà,
De ta jeunesse ?
Paul Verlaine
20:38 | Lien permanent | Commentaires (0)
Le tour de France du patrimoine (choix absolument arbitraire) : France
19:35 | Lien permanent | Commentaires (2)
12/12/2007
Le manteau
Carl Georg Hasenpflug
Vue d'une ruine de monastère
19:28 | Lien permanent | Commentaires (5)
Musique (49)
Try Yann
Ma chère maman je vous écris
Que nous sommes entrés dans Paris
Que je sommes déjà Caporal
Et serons bientôt Général
A la bataille, je combattions
Les ennemis de la nation
Et tous ceux qui se présentiont
A grand coups de sabres les émondions
Le roi Louis m'a z'appelé
C'est "sans quartier" qu'il m'a nommé
Mais "sans quartier", c'est point mon nom,
J'lui dit "j'm'appelle Pelot d'Hennebont"
J'y aquiris un biaux ruban
Et je n'sais quoi au goût d'argent
Il dit boute ça sur ton habit
Et combats toujours l'ennemi
Faut qu'ce soye que'que chose de précieux
Pour que les autres m'appellent monsieur
Et foutent lou main à lou chapiau
Quand ils veulent conter au Pelot
Ma mère si j'meurs en combattant
J'vous enverrais ce biau ruban
Et vous l'foutrez à votre fusiau
En souvenir du gars Pelot
Dites à mon père, à mon cousin
A mes amis que je vais bien
Je suis leur humble serviteur
Pelot qui vous embrasse le cœur
19:25 | Lien permanent | Commentaires (8)