Histoire... (47)

L'Opération Vistule

Je vieillis mal

Je n'ai plus confiance en les lois,

Je n'ai plus confiance en la police,

Je n'ai plus confiance en la justice,

Je n'ai plus confiance en les médias,

Je n'ai plus confiance en les dirigeants.

À part ça, ça va.

 

Musique (199)

Un peu de pop rock québécoise.

 

Marie-Mai

Qui prendra ma place ?

Toiles

Je n'irai pas voir Ces amours-là de Claude Lelouch...

 

...mais peut-être Priest de Scott Stewart.

Erreur sur la personne

Je ne suis pas dirigeant d'entreprise, mais je reçois régulièrement par e-mail des propositions d'aide au recouvrement de différentes sociétés spécialisées dans le domaine. Aujourd'hui, par exemple, une certaine Élise Bristol m'annonce que mes débiteurs font la fête avec mes impayés, vu que personne ne me doit le moindre euro la fête doit être bien triste.

Sonnez, trompettes !

Grâce à Un Fan j'ai l'adresse du nouveau blog de Uno. Après "À trop courber l'échine" et "Esangelie" voici : A moy que chault!

 

NAZI !

Longtemps on ne traitait de nazi une personne avec laquelle on avait un différent qu'en dernier ressort, l'insulte-accusation était une sorte de bombe atomique que l'on utilisait qu'après avoir épuisé les autres moyens de lutte. Bombe atomique qui faisait presque toujours son petit effet, on ne plaisante pas avec ces gens-là, Auschwitz, le bruit des bottes, les heures les plus etc. nous revenaient en mémoire. Seulement avec le manque de nuance qui caractérise notre époque, on en est venu à se jeter du nazi au visage pour un rien, même si la droite reste la cible privilégiée personne n'est à l'abri. Mais le nazi était un monstre unique pour une seule raison : la Shoah, et puisque presque tout le monde peut être un nazi à un moment ou un autre, presque tout le monde est capable de la Shoah. On pourrait en déduire que la Shoah n'est pas si "extraordinaire" que cela et le nazi pas si unique. Mais c'est justement cette conclusion que nos dirigeants (officiels ou occultes) cherchent à tout prix à éviter, à l'aide de la justice si nécessaire. On en vient encore à constater que plus rien ne veut rien dire aujourd'hui, mais surtout que la gravité d'une insulte, d'une accusation, d'un jeux de mot, d'une plaisanterie etc. ne se déterminera qu'après avoir statué sur l'intention de l'émetteur, ce qui est impossible mais dont les tribunaux se chargent pourtant avec zèle et avec les résultats que l'on sait.