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06/06/2016

Explication avec exemple

On confond trop souvent la dictature et la tyrannie. La première est l'établissement d'un régime autoritaire afin d’assurer la survie du pays en cas de crise, la seconde est un pouvoir qui se place au-dessus des lois dans le seul but de s'enrichir et de perdurer.

Exemple :

La France entre chaque jour un peu plus en tyrannie et il faudrait d'urgence l'établissement d'une dictature pour la sauver.

 

Commentaires

Faire la distinction est une chose, souhaiter la dictature en est une autre mais je comprend parfaitement le fond de votre pensée. Un petit peu comme si le monde était à l'envers et que la démocratie avait finalement par engendré les mêmes problématiques que vivent les peuples sous régime tyrannique...

Si seulement la solution était aussi simple...

Écrit par : lieux de drague | 06/06/2016

D'habitude, j'efface les commentaires dont le lien renvoie à un site commercial, mais cette fois je vais faire une exception. Autant ce commentaire a nécessité une certaine réflexion, bien différente des formules bidons toutes faites écrites dans ce genre de cas autant le site proposé porno-gay (attention si vous y allez c'est très explicite) est répugnant. On en arrive à une forme de grotesque surréaliste.

Écrit par : Pharamond | 06/06/2016

hihi
ce commentaire a été écrit par un robot !
encore plus fort que la censure, l'analyseur syntaxique qui vous sert des phrases toutes faires comme "Si seulement la solution était aussi simple...". L'idéologie dominante est tellement bête et répétitive que des machines suffisent à la reproduire

Écrit par : Mistersmith | 07/06/2016

D'une tyrannie à l'autre.

A vrai dire nous sommes rentrés depuis des décennies dans une ère totalitaire, exacerbée par des minorités vindicatives – une ère où la liberté de pensée est devenue crime de la pensée (inutile de faire un dessin), et qui viole, ici et maintenant, sans vergogne les principes mêmes de la Constitution.

Mais si pour contrecarrer cette tyrannie bien réelle on considère comme nécessaire l'établissement d'une dictature – qui invariablement débouchera sur une nouvelle tyrannie, une dose supplémentaire d'arbitraire et où les prétendus (ou vrais) résistants d'aujourd'hui seront eux-mêmes châtiés – je suis au regret de vous dire que jamais je vous suivrai sur ce terrain. Mais ça, vous vous en doutiez. Cela n'enlève rien au respect que je vous porte.

Et n'étant absolument pas masochiste je préconiserai la fuite, avec ou sans passeport.

Vous voyez, il est assez aisé au fond de clarifier la pensée de Laborit.

Écrit par : Danny | 07/06/2016

une fois accepté que la démocratie est impossible ou était un masque de la tyrannie, on voit tout de suite que l'on a seul le choix entre ces deux la seulement

Écrit par : Il Popolo d"italia | 07/06/2016

Mistersmith > Votre sagacité a permis de repérer le détail qui trahit le robot pourtant hautement sophistiqué à l’origine de ce commentaire. Je m'y étais laissé prendre.

Danny > Les gens qui me connaissent un peu dans la vraie vie vous diront que je ne suis pas violent, pourtant si je suis agressé physiquement avec brutalité je me sais capable d'essayer de réagir proportionnellement dans la mesure de mes capacités. Il en est de même avec la politique, je suis plutôt démocrate même si je ne suis pas dupe de ses limites et de ses bassesses. Une fois à droite une fois à gauche, mais sorti du même panier. Cependant même avec un gouvernement exécrable on pouvait espérer que la population réagirait aux prochaines élections, ce qu'elle faisait très souvent. Tout ceci était valable tant qu'on était entre nous, seulement, alors qu'on veut nous faire croire que le clivage droite/gauche signifie encore quelque chose, la lutte est maintenant entre mondialistes et nationalistes, entre métissage et identité, entre la pérennité de la nation et son effacement de l'histoire. Il s'agit d'un combat pour la survie. Je conçois qu'une dictature ne s'établira pas sereinement, mais tant qu'à avoir un régime autoritaire je préfère qu'il soit de mon côté car l'agonie nationale dans lequel nous sommes entrés entraînera invariablement des horreurs et elles se feront surtout à nos dépends. Si on est convaincu, mais on peut ne pas l'être, que les choses ne peuvent plus s'améliorer démocratiquement et que l'on court à notre perte on ne peut négliger l'option dictatoriale. Et la tyrannie potentielle qui lui succédera me parait être un problème secondaire, même si non négligeable, une fois le pays sauvé. Bien sûr la fuite est toujours possible, mais même sans être masochiste, ce n'est pas une solution prioritaire chez moi.

Il Popolo d'Italia > Sans le triomphe des idées mondialistes qui ont fini par nous amener à notre perte la démocratie m'allait plutôt bien. Reste à savoir si le mal n'était pas originellement dans le système démocratique.

Écrit par : Pharamond | 07/06/2016

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