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24/06/2016

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Le discours de Nigel Farage pour la victoire du "leave" :

Nigel Farage : "L'UE s'écroule et se meurt, nous sommes la première brique à tomber"

Source : Égalité et Réconciliation

Le jeu des deux images (246)

Comme son nom l'indique il s'agit de deux images qui doivent vous permettre par analogie de deviner l'identité d'une personnalité vivante ou défunte.

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Leave, but...

Je me suis trompé, malgré la menace du marasme économique annoncé par les "experts", les oracles de malheur du show-biz et toute l'artillerie lourde que l'establishment est capable de déployer dans ces moments, les Britanniques ont courageusement décidé de sortir de l'UE. Je n'imaginais pas la chose possible, sans doute influencé par l'aboulie générale de mes compatriotes tellement "Charlie", leur couardise et leur vénalité, je ne croyais plus un peuple européen capable de décider par lui-même de son destin. N'oublions pas que les Français étaient majoritairement contre la sortie du Royaume-Uni. De quoi je me mêle ? Un tel niveau de lâcheté, de soumission et de conformisme se passe de commentaire.

Cependant ne crions pas victoire trop tôt. Je dis victoire parce que si tout se passe bien, un précédent sera créé et montrera que l'UE n'est pas une finalité inéluctable ni dans le sens de l’histoire comme on veut nous le faire croire et une machine à cliquet où il est impossible de faire machine arrière. Mieux, l'UE risque de se défaire comme une pelote de laine ou d'exploser en cas de pérennisation de la crise ou de son aggravation. Cependant Bruxelles n'a pas dit son dernier mot et a derrière elle toute la logistique de l'UE, elle a aussi l'appui de Washington et des banques. Tout ce qui fait notre monde, en somme. Le chemin pour s'extraire du piège européiste risque d'être long et tortueux. Les pressions et les mesquinerie pour contrarier la vie des Britanniques ne vont pas manquer pour leur faire regretter leur choix, le tout répété et amplifié par les médias à la solde du Système. Et une fois la situation bien dégradée, pourquoi ne pas les faire voter à nouveau ? La "démocratie" post-moderne n'est pas à ça près et les scores étaient serrés ce 23 juin. Dans ce cas ce sera infiniment pire puisque les thuriféraires de Bruxelles pourront enfin montrer un exemple négatif de ce qu'il advient quand on obéit pas. Non, ne nous réjouissons pas encore, ce que nous réserve l'avenir risque d'être très amer.