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03/04/2016

Stockholm - Paris - Bruxelles

À travers le cas de Natascha Kampusch et de quelques autres séquestrées, ce reportage met en relief l'étrange lien qui unit bourreaux et victimes. J'ai immédiatement pensé à cette sorte de syndrome de Stockholm collectif observée actuellement entre les peuples européens et leurs dirigeants, les racailles, les migrants, etc.

Paradoxalement alors  qu'au niveau individuel les cas de syndrome de Stockholm tendent à être de plus en plus rares hormis c'est les jeunes - identité encore fragile, méconnaissance du syndrome - ils s'étendent à l'échelle du continent dans toutes les classes d'âge ; peut-être l'infantilisation de la population par les médias et la prise en charge par l'État est-elle un début d'explication.

Il est d'ailleurs assez révélateur de constater que ce phénomène assez difficile à comprendre car allant visiblement à l'encontre de l'instinct de conservation ait le nom de la capitale d'une des nations scandinaves quand on sait dans quel état d'envahissement elles se trouvent aujourd'hui.


Natascha Kampusch - 8 ans de calvaire